Stigmates

groupe de résistants, un homme de couleur, à genoux, vêtu d’une chemise blanche. Cet homme rappelle le Christ, de par sa posture, bras écartés comme le Christ sur la croix, et de par les entailles sur la paume de sa main droite qui font penser aux stigmates de la crucifixion. Poitrine offerte, il s’expose pour protéger les autres. Il symbolise le martyr pour la liberté de la nation espagnole, face à la brutalité aveugle des oppresseurs. Le condamné acquiert une grande dignité due à ce symbolisme. Il

promesses faites et non tenues, leur impatience devant une évolution trop lente, et comment leur sens de la justice était froissé devant les différences de soldes entre les Blancs et les Noirs, et comment leur sens de la dignité était blessé par des stigmates du temps colonial tels que le tutoiement ou la priorité de la peau blanche devant un guichet ou un comptoir. La plupart de leurs plaintes étaient fondéesla plupart de leurs demandes étaient mesurées. Toutefois, sous une forme courtoise et même fleurie

« hante » force maléfique comme dans les contes, même âgé il s’en souvient. « 1 seule image » traumatisme, c’est un symbole, on sent que le problème se situe ici. Il est hanté et il ne voit que le mal, la destruction, son inconscient porte les stigmates de cette guerre, déjà il retranscrit tout sur ses carnets en étant adolescent (plus tard ce seront des statues, il fabrique des fantômes durs, à partir d’une matière brute) Dans le 3ème paragraphe, description du chemin pour aller au Lac Noir, on

dépendance et la relation aux services sociaux. Enfin, dans un troisième temps, les « marginaux » ne peuvent plus guère espérer une réinsertion économique ou sociale, ils sont dans une situation d’ « infra-assistance » et n’ont plus qu’à « résister au stigmate », à travers les attitudes de « marginalité conjurée » (avec une attitude de résistance à la disqualification, même si le changement de comportement et d’identité paraît inévitable) ou bien de « marginalité organisée » (avec la rationalisation de

MARTIN Olivier, L'analyse de données quantitatives : L'enquête et ses méthodes, Paris, Armand Colin, 2009. Outils théoriques Cuche, Denys, La notion de culture dans les sciences sociales, 4e édition. Paris: la Découverte, 2010. Goffman, Erving, Stigmate : les usages sociaux des handicaps, Paris: éditions de Minuit, 1975. Grignon, Claude, Le savant et le populaire : misérabilisme et populisme en sociologie et en littérature, Paris: Gallimard Le Seuil, 1989. Hoggart, Richard, La Culture du pauvre :

courageuses. Déjà, elles débordent de nos frontières. Que ceux tentés par l'aventure se joignent à nous.» Grisante, l'invitation, est lancée. Encore faut-il refuser notamment «de se taire» et de se faire récupérer. «Refus de la gloire, des honneurs, stigmates de la nuisance et de l'inconscient et de la servilité... refus du cantonnement dans la seule bourgade plastique.» Cet impératif besoin de solidarité est ressenti en communauté «avec les assoiffés d'un mieux-être». Dans ce voyage, «les frontières

III - La signification de ce portrait A) Une allégorie de la souffrance - Les mains de Catherine Le Roux sont évoquées avec le mot « témoignage ». Cela nous fait penser au mains du christ. Elle est dune sorte de martyre et donc, elle porte les stigmates de la passion du christ sur ses mains. Elles deviennent un symbole de la souffrance au travail, c’est donc une allégorie. - Elle a été exploité : « un demi-siècle de servitude », évoque la douleur de cette femme. Servitude vient de servus qui veut

« racisme sans race » : que pensez-vous de cette expression ? 11. (p. 34-35) La stigmatisation sociale, le racisme, sont-ils des phénomènes individuels ? 12. (p. 36) Donner un exemple de « contre-stigmatisation ». 13. (p. 35-36) A quelle condition un stigmate social serait-il « indélébile » ? (p. 40) A quelle condition les marginaux peuvent-ils efficacement stigmatiser les établis ? 14 (p. 39) Expliquer la phrase suivante à partir d’un exemple : « Les marginaux passent pour anomiques, tant collectivement

destructeur. Le principal crime de la guerre aux yeux du poète est de séparer les amants. Au-delà du drame amoureux, le spectacle des ruines de Brest, transformé en paysage de cauchemar, désespère le poète. En effet, la guerre cesse mais elle laisse des stigmates dans le cœur des hommes. Ce désespoir s’exprime par une métaphore et une comparaison. La métaphore se situe au vers 50 et n’est pas originale pour désigner la violence et le malheur (l’orage) car elle s’applique à la pluie. La comparaison est celle

du péché. Dès que le diagnostique est posé, le lépreux est écarté de la société. Lors de leurs déplacements, les malades doivent se faire connaître en agitant une crécelle. Leur exclusion n’est pas totale car la maladie rappelle les stigmates du Christ, ainsi Saint Louis lavait les pieds des lépreux. o C / L’Église face à l’hérésie cathare. L’épisode cathare se déroule au pied des Pyrénées dans le Languedoc.