Stoïcisme

322 avant J-C) Réflexion métaphysique (sens de l’existence, présence d’un Dieu…) Socrate, Platon, Aristote C) Philosophie post-aristotélicienne (322 avant J-C – 529 après J-C) Réflexion sur la morale ( Epicurisme (« Carpe diem »), puis Stoïcisme (pour redresser le laisser-aller) Epicure et Epictète 529 : fermeture de l’école d’Athènes II La philosophie du Moyen-Age et de la Renaissance * au Moyen-Age : Philosophie chrétienne attachée au dogme catholique. Réalisme. Recherche de la

Epicuriens se reconnaissent dans un courent de pensée qui est le libertinage ( les libertin refuse le dictât de la religion et vont a l'encontre des doctrine chrétienne) Les stoïciens, eux, se reconnaissent dans un courants de pensée qui s'appelle le stoïcisme. Les Stoïciens étaient les partisans de la doctrine du Portique ou enseigné le philosophe Zénon. Les stoïciens et les Epicuriens recherchent à guider l'action ou à interprêter les faits que ce soit d'ordre politique ou économique . Ces idées ont

mais berce aussi le lecteur par son art oratoire, en effet Montaigne allie la pertinence d’arguments convaincants à un style frappant et persuasif. Ainsi Montaigne a ainsi adouci sa pensée par rapport à d’autres de ses textes mais rappelons que stoïcisme et épicurisme se rejoignent dans l’acte de philosopher.

encore fidèle à Socrate. La référence à la figure de Socrate a également une force polémique. En se fondant sur l'attribution du concept stoïcien de constance à Socrate, Sébastien Prat analyse à la fois les rapports que Montaigne entretient avec le stoïcisme et le rôle que Socrate y joue. En effet, l'objectif de Montaigne semble de distinguer la constance de Socrate de celle des stoïciens pour, contre la seconde, favoriser la première. En effet, Socrate ne cherche pas, à la différence de Caton ou de

c’est mauvais (les livres remplacés par les hommes) Le véritable sage n’est pas celui qui vit que pour lui-même il doit aider les autres, les instruire. Contraire de la philosophie épicurienne (rester en retrait) -> Philosophie de désengagement Le stoïcisme -> doit rester avec la foule tout en restant sage. -> Philosophie en quelque sorte sociale Les cyniques sont entre les deux philosophies (dorment dans des tonneaux, insultent…). -> Ils bouleversent les conventions, les règles sociales.

bonheur est-il durable ou éphémère ?4 I. Bonheur et désir4 A. L’hédonisme4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès)4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure)5 B. Le stoïcisme6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle)6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas6 b. Modifier nos désirs7 c. La vertu, c’est le bonheur7 d. Être conscient des maux qui nous guettent7 e. Conclusion8 2. Un Stoïcien original :

propre portrait : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même » Mais il dépeint principalement ses pensées, il veut voir plus clair en lui-même, dans ce qu’il appelle son « arrière-boutique » . En vieillissant, il se démarque peu à peu du stoïcisme et de son pessimisme pour se rapprocher de l'épicurisme.

procurent du plaisir Plaisirs naturels et non-nécessaires : dépasse la limite naturelle Plaisirs non-naturels et non nécessaires : pas de limite naturelle (infinie) Ataraxie : 3 sources (crainte des dieux, crainte de la mort, fatalité) 4. Stoïcisme Tout ce qui existe est matériel (choses, idées, volonté, dieux) Le vide n’existe pas La matière en mouvement L’univers change constamment Toute cause est l’effet d’une cause précédente qui à son tour l’effet… Soit un événement est nécessaire

théâtre de la cruauté: Médée entretient elle même sa cruauté au point que le spectateur sorte du spectacle terrifié et épuisé. (Car l'objet de la tragédie latine, les préoccupations dominantes sont sur le stoïcisme et il s'agit donc pour l'auteur tragique de produire un repoussoir. Le souhait du stoïcisme c'est de nous purger par l'horreur. 17 siècles plus tard, Corneille reprend Médée, œuvre de jeunesse mais avec sa "patte". "A vaincre sans péril, on meurt sans gloire": vers si célèbre de Corneille

éprouve un grand bonheur. Sa définition du bonheur serait donc de vivre le moment présent, profiter des choses simples telles que le son de l'eau, observer ce qui nous entoure et être en contact avec la nature. Un rapprochement peut être fait avec le stoïcisme, qui consiste à ne pas penser à ce qui ne dépend pas de nous et vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre le bonheur.