Strategique Soprema

recherche d’accord entre l’EST et l’OUEST, l’équilibre de la terreur à permis la signature du traité à Moscou en 1972 sur la non prolifération des armes nucléaire ainsi que sur les essaies nucléaires. les accords SALT 1 (règlent les armements stratégiques au moins en partie) s’ouvre à HELSENKI en 1969. Les accords SALT 2 s’ouvrent en 1973 : les deux supers grands s’engagent à empêcher une guerre nucléaire entre eux. *la promotion des échanges : échange d’information sur la conquête de l’espace

(armes chimiques et biologiques, mines antipersonnel, balles explosives..). Le droit de la maîtrise des armements complète les traités internationaux relatifs au désarmement (SALT, FCE, START, ...). Les négociations sur la limitation des armes stratégiques, mieux connues par l'acronyme SALT, abréviation de l'anglais Strategic Arms Limitation Talks, sont les noms donnés aux processus de négociations entamés en 1969 entre les États-Unis et l'URSS, qui aboutissent à la conclusion des traités de SALT

de la Chine et de l’Inde. 3° - Les accords SALT En 1968, s’engagent des négociations sur la limitation des armes stratégiques (Strategic Arms Limitations Talks - SALT). Après de longs pourparlers, 4 ans, Brejnev et Nixon signent le 26 mai 1972, les accords SALT I. Ils reconnaissent l’égalité en capacité de destruction réciproque et "gèlent" en partie les armements stratégiques. Dès 1973, s’ouvre des négociations SALT II, en raison de l’apparition de nouvelles armes n’entrant pas dans les catégories

plus gagner une guerre nucléaire. En conséquence, l’équilibre politique devient obligatoire. C’est pourquoi les accords SALT I (Strategic arms limitation talks) sont signés en 1972. Les eux puissances se contentent d’un statu-quo dans le domaine stratégique pour éviter une destruction du monde. Si elles s’affrontent, c’est désormais dans les pays du Tiers-Monde, comme au Vietnam de 1964 à 1975. 4. Richard Nixon expose ses raisons pour continuer la coexistence pacifique avec les Soviétiques dans un

diplomatie.gouv.fr - Institut Français des Relations Internationales : http://www.ifri.org/ - Centre d’Etudes et de Recherches Internationales : http://www.ceri-sciencespo.com/ - Fondation pour la recherche stratégique : http://www.frstrategie.org/ - Institut de Relations internationales et stratégiques : http://www.iris-france.org/ - Centre Thucydide : http://www.afri-ct.org/ 

- 1084 p. : cartes US 327.1 ATT Béard, Francis ; Carteron, Thierry ; Taillefer, Raymon... [et al.] ; sous la dir. de = under the direction of Richard v. Dobenik Dictionnaire français-anglais et anglais-français des relations internationales et stratégiques = English-French and French-English dictionary of international and strategic relations Paris : Ellipses, 2007. - 563 p. Complémentaire de l’ouvrage publié aux Presses universitaires de Perpignan par Jean-Louis Trouillon (voir ci-dessous), ce document

Grâce à la coopération des forces alliées, les forces allemandes étaient défaites, Hitler était mort et l'Europe était défendue. Mais cette coopération connu sa fin à la suite de la conférence de Yalta en février 1945. Elle remit en plan la confrontation des deux idéologies. Cette confrontation, maintenant racontée dans les pages de l'histoire sous le nom de guerre froide, transforma la scène internationale où conflits majeurs, compétition, espionnage et chambardements politiques font rage. Le

d’études sur l’intégration et la mondialisation (CEIM), le Centre d’études des politiques étrangères et de sécurité (CEPES), la Chaire C. A. Poissant de recherche sur la gouvernance et l’aide au développement, la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques, la Chaire de recherche du Canada en politiques étrangères et de défense canadiennes (PEDC), la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques, le Centre d’études sur le droit international et la mondialisation

l'IRIS, au Centre d'Etudes Transatlantiques (CET) et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l'Université du Québec à Montréal, Canada. Il a dirigé de 2006 à 2009 le bureau de l'IRIS à Taiwan. Il enseigne présentement à l'Université du Québec À Montréal (UQAM) en tant que titulaire par intérim de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Il s'est spécialisé dans les questions nucléaires, la politique étrangère des États-Unis

SYNTHÈSE DE CONFÉRENCE « LES MÉDIAS ET LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE AMÉRICAINE : QUELS IMPACTS SUR LE CANADA ? » Conférence organisée par l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l’UQAM et par l’Institut canadien du Woodrow Wilson International Center for Scholars à Washington en partenariat avec le Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) Montréal, 9 décembre 2003 Document préparé par Sébastien Barthe Frédérick