Strophe

engagés dans la résistance incitent la population française à la révolte à travers leurs textes. C'est ce genre de poème que nous offre Louis Aragon avec « Le Musée Grévin » issu du recueil du même nom. Nous analyserons seulement les 7 dernières strophes de ce recueil. Ce texte à été imprimé à Lyon sous le pseudonyme de François la colère et fut publié en volume par les Éditions de Minuit , clandestinement. En quoi ce poème est un texte engagé ?. Dans un premier temps nous verrons que ce texte

deux cents ans en arrière à chaque fois qu’il entend la musique, il s’invente une scène à partir de la musique. Chaque quatrain représente une étape dans ce voyage sentimentale. La strophe 1 évoque l’aire de la musique, la strophe 2 représente le temps, la strophe 3 représente l’endroit ou se projette Nerval et la strophe 4 parle d’une dame. Les idées de Nerval se précises au fur et a mesure que le poème se termine. La Dame : l'élément essentiel du poème est clairement mis en valeur car elle est citée

« N’écris pas » Au début et fin de chaque strophes , 3 syllabes. (Anaphore) - Défense d’écrire. « N’écris pas ! » Fin des strophes (Modalités exclamatives) - Supplication - Ton plaintif. Vers 2 ; 8-9 ; 13 Métaphores Vide, manque, souffrance de l’absence et la séparation. Tirets après « N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - «  - » tiret

alors qu'elle n'a que 13ans. L'auteur développe le thème du temps qui fuit en l'associant à la tentation de l'amour. Ce poème en octosyllabes est composé de 3sizains (des strophes de six vers) et écrit en ancien français, les rimes sont suivies puis embrassées. Il invite Cassandre à aller voir une rose dans la premiere strophe mais se désespère de la voir fanée dans la deuxième, il en tire donc une leçon pour Cassandre en lui disant de profiter de sa jeunesse car maintenant elle est encore jeune

du locuteur : « nous voulons » b) Une opposition avec d’autres courants littéraires → Ces courants sont personnifiés par ce qui les représente. → Le procédé d’écriture des Lumières strophe 5: Pointe assassine, esprit cruel, rire impur (comparaison avec ail basse cuisine) → La poésie romantique dans la strophe 6 à travers l’évocation de l’éloquence. → La poésie Parnassienne qui prône le travail de la forme du poème : forgé, lime. « Sculpte, lime, cisèle; Que ton rêve flottant Se scelle

dans la construction. 1/ Dissonance entre le fond et la forme · Apparence lisse et régulière : 4 strophes de 4 vers chacune = harmonie. Mais : coupes irrégulières aux v. 3 et 5. => Rythme faussé, premières brisures. · Rimes bancales de la 3e strophe : veule – gueule. => Mimétisme : vers boiteux comme l’albatros à terre. · Altère le schéma des rimes croisées dans la dernière strophe = presque des rimes plates. La différence est ici plus graphique que sonore. => Comme l’albatros handicapé

lune »; répété au 9ème vers → _ clarté, atmosphère particulière (allitération en « l » aux vers 8 et 9) par la lune : fête nocturne en plein air. _ titre du poème. Personnages principalement absents : _ présents qu'aux 2 premières strophes, disparaissent ensuite. _ insistance sur le décor : statues, marbres (métonymie) Décor: _ parc, bois, grands arbres, fontaines => fait référence aux tableaux dont il s'est inspiré. _ personnifié : vers 10 et 11 des oiseaux

traduit ici en étudiant par exemple la manière dont les propos des femmes sont insérés dans un cadre descriptif ou narratif (strophes 1, 2, 4, 9 notamment), et surtout la manière dont ils sont juxtaposés. Vous constaterez que leur disposition n'obéit pas au suivi linéaire (strophes 3 et 17), même si on discerne parfois l'esquisse d'une structure de dialogue enchaîné (strophes 5 et 6). Mais l'aspect décousu du poème affecte aussi les rapports du vers et de la phrase : relevez dans ce poème des rejets

souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine, Poèmes saturniens, 1866 Forme du poème : Le poème est composé de trois strophes rédigé en sizain et écris en mètres courts (4 syllabes). On dénote également la présence de rimes pauvres et suffisantes tout au long du poème. Celles-ci sont majoritairement masculines et semble être croisées. De plus

poème se trouve ainsi placé sous le signe de la musique et du chant. L’esthétisation de l’émotion passe par la mise en forme musicale de l’expression. A la lecture, on perçoit déjà la multiplicité des échos, des résonances d’un vers à l’autre, d’une strophe à l’autre. On retrouve en cela une des caractéristiques du lyrisme. Cependant, Verlaine invente un lyrisme original, un lyrisme impersonnel si on peut risquer cette expression paradoxale. En effet, le sujet de l’énonciation est absent du premier