Structure Electre

lui à Argos, sa ville natale. Electre apparaît et maudit la statue de Jupiter. Elle exprime son souhait de voir un jour son frère Oreste revenir venger la mort de son père et délivrer Argos. Oreste se présente à elle sous un faux nom. Elle lui raconte que sa mère l'a reléguée au rang d'esclave et qu'elle déteste le roi et la reine. Oreste lui dit qu'à l'extérieur de la ville, les gens vivent heureux et sans remords. La Reine Clytemnestre survient et annonce à Electre qu'elle doit se rendre à la cérémonie

bon marché. Ils expriment l’âpreté qui fait le fonds de l’histoire californienne (chapitre XIX). C’est la tyrannie de Clytemnestre et d’Égisthe qui font régner la crainte. Dès lors, nul ne protestera contre le traitement injuste infligé à Oreste et Electre par leur propre mère. Elle paraît même se réjouir de l’annonce de la mort de son fils si l’on en croit Kilissa, la nourrice (Les Choéphores, v.737-739). Cette injustice, on peut la penser comme le résultat de notre ignorance selon Pascal. Éloignés

Corpus Ce corpus est composé de trois textes. Les textes proposés sont ceux de Pierre Corneille, Médée écrit en 1635, de Victor Hugo, Lucrèce Borgia en 1833 ainsi que le texte de Jean Giraudoux Electre (1937). Ils ont été écrits à trois périodes différentes (l’un au XVIIe siècle, l’autre au XIXe et le dernier. Ce sont trois extraits de textes théâtraux appartenant au genre tragique. À travers ces pièces, nous pourrons voir comment s’exprime la violence de ces trois femmes. Tout d’abord, nous

ELECTRE, Acte I scène 3 Egisthe et le Mendiant Introduction: Jean Giraudoux (1882-1944), écrivain et diplomate, réécrivit au XXème siècle des mythes antiques avec une mentalité moderne, comme le faisait déjà Anouilh ou Sartre. Ses pièces, comme Ondine (1939) ou La Guerre de Troie n'aura pas lieu (1935), relevait d'un nouveau type de théâtre appelé la tragédie moderne. Parmis les grandes œuvres qu'il écrivit dans les années 1930, Electre fut sans doute l'une des plus célèbres. La première représentation

vieillard barbu, que les deux voyageurs trouvent des réponses à leurs questions. Découragé par la situation de la ville d’Argos, Oreste décide de renoncer à sa mission et de quitter la ville. Mais la rencontre de sa sœur, Electre, va tout changer. Seule révoltée dans la ville, Electre, qui ne reconnaît pas son frère révèle qu’elle attend son frère qui viendrait punir les assassins de leur père, délivrer la ville et instaurer un nouveau régime. Ne pouvant plus tolérer la rébellion d’Electre, le roi proclame

présentée du point de vue des citoyens qui donnent un par un leur avis : « mon avis le voici », « c’est aussi mon avis ». D’autre part, les didascalies sont beaucoup plus présentes dans le monologue ce qui permet de se représenter la scène à travers Electre dans Les Mouches : « silence. Puis cris de Clytemnestre », « les cris cessent ». Quant à la scène d’Agamemnon, les cris sont directement émis par la victime même qui crie « Hélas ! » à deux reprises. Dans une seconde partie, les deux scènes

Réinterprétation du mythe chez SartreIII. Une relecture philosophique de la pièce ConclusionIntro: Sophocle écrit Electre, une pièce de théâtre tardive du tragédien dont on ne connaît pas la date de création précise, mais qui a du probablement être crée vers 414 av. JC. Elle s'inscrit dans le cycle mythologique des Atrides. Clytemenestre, accompagnée de son amant Egisthe, tue son mari Agamemnon. Leurs fils, Electre et Oreste vont devoir venger leur père, en tuant leur mère et Egisthe. Jean Paul Sartre reprend ce

Clytemnestre condamnée par son propre crime. Épisode 1 Electre (fille d'Agamemnon et sœur d'Oreste) : comme les femmes du choeur, Electre s'indigne des offrandes funèbres que sa mère envoie au tombeau du mari qu'elle a elle-même tué: «dans ce palais, leur dit-elle, nous cultivons la même haine.» - le Coryphée instruit Electre et lui indique la prière qu'il doit adresser aux âmes défuntes: -Le Coryphée … et contre les coupables -Electre: Que dois-je demander? Instruis mon ignorance. - Le Coryphée:

rappellent le thème du tombeau. Opposition : le vent ramène le souvenir des proscrits contrairement au bâteau qui les emmène. "Grèce" rappelle le pays d'Harmodius, et renvoie à son histoire. Invocation à la déesse de la vengeance (cf. la tragédie Electre de Sophocle : les dieux doivent armer les vivants). "Voix dans l'air" : Ce sont des anonymes qui parlent. "C'est l'heure" : répétition du premier vers. "Profitons" : insiste sur l'urgence d'agir, après, on ne pourra plus. Parrallélisme soulignant

Tout d'abord, Pylade est le confident d'Oreste, il est son "ami si fidèle". LE HÉROS DÉVOILE CE QU'IL CACHE AUX AUTRES! Dès le début nous comprenons qu'Oreste aura un destin tragique "L'amour me fait ici chercher une inhumaine.". En effet son nom rime avec Funeste. Oreste se fait passer pour un personnage malheureux. La tirade d'Oreste a un rôle pour le spectateur, qui a de nombreuses infos pour comprendre la pièce. C'est le rôle d'une scène d'exposition. De plus il s'agit d'une véritable scène