Stupidité

ans. Maurizio est décrit comme une superstar de l’art contemporain.Il pratique le paradoxe, la provocation, l'humour et l'ironie féroce. Maurizio, cherche en permanence à tourner en dérision l'art et le monde qui nous entoure, son idéalisme et sa stupidité, ses ambiguïtés, sa cruauté. Cattelan crée des œuvres mémorables qui font toujours scandale et donnent lieu à toutes sortes d'interprétations. La plupart des œuvres de Maurizio Cattelan, sont des sculptures assez morbides. Comme par exemple

d’être personnellement accusés, les peuples occidentaux ont tendance à trouver des raisons bidon pour expliquer les problèmes qui leur explosent au visage. Les troubles environnementaux sont une source de ces raisons boiteuses, et la principale stupidité trouvée pour les expliquer est le taux de croissance élevé de la population mondiale. Si la démographie mondiale continue d’évoluer à ce rythme, et elle continuera, la population de la planète atteindra les 10 milliards de personnes en 2060. À

marquer son indignation face à l’inutilité de la guerre. De plus, le mots ‟ héroïque” fait preuve de l’ironie de l’auteur parce qu’il veut montrer à quel point la guerre déshonore l’homme. Aussi, en disant qu’un massacre est héroïque, il montre stupidité de la guerre. Bref, la violence absurde et l’association des conflits avec le courage nous amène à croire que la guerre n’a aucun sens.

l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves... ») : cette rhétorique est très efficace pour favoriser l'abolition de l'esclavage. Cette rhétorique montre qu’on exploite les armes de l'adversaires pour mieux en montrer la stupidité. «L’esprit des lois » de Montesquieu et « le Nègre de Suriname » de Voltaire sont des textes du 18e siècle qui attaquent les esclavagiste de l’époque. Montesquieu énonce les prétendues raisons d’adopter l’esclavage, et Voltaire utilise une sorte

paragraphes ne sont pas numérotés, et précisent les modalités d’application de l’interdiction de « lire », puis de « penser » : gradation dans l’absurde. Mais tout le texte est encadré par les expressions « sottise et bénédiction » et « palais de la stupidité » : registre ironique du texte. 2. Que dénonce exactement Voltaire dans ce texte ? Voltaire dénonce dans ce texte : L’Eglise : « il a semblé bon à Mahomet et à nous de condamner, proscrire, anathématiser ladite infernale invention de l’imprimerie

sont pas par rapport au géants le centre de l’univers. La répétition de « Sachez» → les philosophes méprise la stupidité des hommes et de la société L’accumulation « l’épée, la faim, la fatigue, l’intempérance...» → le philosophes apprend a M. que les Hommes sont mauvais. II- La Guerre a

Citons pour exemple le passage (page 3-4), où nous pouvons voir que les deux parties se disputent pour savoir qui est celui qui pue ou encore dans le passage (page 4) où ces derniers débattent sur la météo. Le langage vide de la pièce montre bien la stupidité du débat et qu’en temps normal, ce genre débat n’a pas lieu d’être vu que nous sommes tous égaux. D’un bout à autre de cette pièce, nous avons essayé de dénoncer, à travers le théâtre absurde, l’absurdité du racisme, de la discrimination qui sont

est un. C’est alors que j’appris une nouvelle dépense inutile qui m’était passée inaperçue : dix francs de pourboire ! Quelle honte ! J’en eu le souffle coupé tellement ces actes de générosité aussi importants que faramineux étaient d’une infâme stupidité ! Je fus décidé à reprendre en main et à gérer comme il se doit les comptes. Paul avait aussi des amis. Il était joyeux de les voir mais était aveuglé par le bonheur et ne se rendait pas comptes qu’il était pauvres. Ils ne mettaient sûrement pas

gaspiller le temps qu’elle nous avait libéré. Parmi tous les objets qui nous font gaspiller notre temps, se distinguent la télé et l’ordinateur. Pas besoin d’expliquer ici où chacun peut faire sa recherche soi-même. Alors l’équilibre stable de la stupidité et de la bêtise humain se maintient malgré les conditions nouvelles. Pour terminer, j’ajoute brièvement mon avis sur ce sujet. Appeler la technologie « un avantage » ou « un désavantage » cela importe peu, la question est toujours ce qu’on fait

d'animaux dont la place au sein du groupe est bien définie. Je trouve ce livre divertissant par la répartition des rôles : d'un côté, l’on a l'extravagance et l'ineptie des "combines" montées par les "méchants", et de l'autre côté, la niaiserie et la stupidité des "gentils". Le livre dans sa totalité est une métaphore burlesque ; j’y ai lu toutes les manœuvres, plus saugrenues les unes que les autres, pour que le chef cochon parvienne à ses fins, ce qui renvoie aux machinations de Staline pour instaurer