Stupidité

embuche dressée Et le commencement de ma perdition Quand même tu serais une embuche dressée Et le commencement de ma perdition Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer ? Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut le premier, dans sa stupidité, S'éprenant d'un problème insoluble et stérile, Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté ! Celui qui veut unir dans un accord mystique L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour, Ne chauffera jamais son corps paralytique A ce rouge soleil

Les périphrases " ce grand nombre de coquins" et ces six bêtes " désignent l'équipage, le cortège de Philémon qui est traîné par des chevaux et suivi par des courtisans. Elles mettent en parrallèle les animaux et les admirateurs pour montrer la stupidité de ceux-ci. De plus, le tutoiement cherche à mettre le personnage sur le même pied d'égalité que le moraliste. Ainsi, il est remis à sa place d'homme commun. 5) La leçon finale s'adresse à la fois au personnage et à tous ses semblables. Elle

plaies" qui contribuent à la perpétuation de la pauvreté. L'éradication des "cinq plaies" devient ainsi une nécessité si l'on veut éliminer la pauvreté. L'ignorance renvoie à un manque d'information ou de connaissances. Elle se distingue de la stupidité qui est un manque d'intelligence, mais aussi de la naïveté qui est un manque de sagesse. Ces trois caractéristiques sont souvent confondues. L'apathie se caractérise par une indifférence, un sentiment d'impuissance qui empêche les individus de changer

que je me venge" ligne 26. Ce qui prouve bien le manque de fondement des arguments du loup. Nous avons donc là des arguments de qualité inégale, ce qui démontre bien que même si le loup ne fait pas preuve d'intelligence, mais bien plutôt de stupidité par rapport à l'agneau, celui-ci n'en devient pas moins inférieur à cause de sa faiblesse, et le loup prend le rôle de juge en accusant l'agneau en toute impunité.

le racisme en islam n’est pas une opinion, c’est un délit. Est-ce un crime d’être malade ? Ou encore d’être noir ? Si des enfants de 11 ans réagissent de tels, c’est qu’ils ont été influencé par des adultes. De tels comportements révèlent de la stupidité, ils ne sont pas guidés par la peur de l’Ebola mais puent le racisme. Récemment, un marocain a égorgé un sénégalais. La question n’est pas est-ce du terrorisme, mais plutôt est-ce de peur d’être contaminé par l’Ebola ou de racisme ? A noter que le

la 1ère Guerre Mondiale qui y sont évoqués. Avec le support assez inattendu de la BD, il aborde des sujets sensibles, tel que : L’impuissance et la souffrance des soldats. Le cas des soldats fusillés pour l’ exemple (mutineries de 1917). La STUPIDITÉ de ce conflit est largement mis en évidence. -Analyse de l’œuvre : Cette Bande-Déssinée, est un récit de fiction qui suit la vie de Poilus dans les tranchées. Les Poilus suivis sont des hommes du peuple rétranchés dans leurs réfléxions et leurs

de focalisation interne et qui est majoritairement investi par le point de vue de Frédéric, on voit l'intrusion du narrateur. De la ligne 32 à 34, il critique même son personnage par sa béatitude même pour le panier à ouvrage. Il veut montrer la stupidité du personnage (Tout comme plus tard avec la ''négresse'', il la voit comme un rayon de soleil). Il idéalise cette personne avant de la connaître. Flaubert montre que son personnage a une tendance à la dérive. On voit dès le début que son personnage

un boomerang neuf : comment puis-je me débarrasser de l'ancien ? > > POURQUOI Les établissements ouverts 24 heures sur 24 ont-ils des serrures et des verrous ? > > Maintenant que tu as souri au moins une fois, c'est à ton tour de répandre la stupidité et d'envoyer ce message à quelqu'un que tu veux faire sourire. > > En d'autres mots, envoie-le à tout le monde : on a tous besoin de sourire tous les jours...

cette poussière des vieux cabinets de ménestrels » (l.14). Cette phrase, en apparence anodine, montre le mépris du narrateur externe envers l'héroïne. Pour lui, les ouvrages lus et admirés par Emma (dont les « regards éblouis » l.30 trahissent la stupidité) sont niais et imprudents (« niaiserie du style » l.27, « imprudences de la note » l.27). C'est le décalage entre ces deux visions qui donne l'impression que le narrateur se moque de la naïveté du personnage principal. Ce dernier n'a plus grand chose

est absurde et atroce : ch3 (l.19-20) « c‘était un village abare que les Bulgares avaient brulés, selon les lois du droit public » Elle provoque la mort de centaines de personnes et fait la fierté des princes ch3 (l.14-15) « Enfin, tandis… -la stupidité des militaires. -la pauvreté qui conduit à la mendicité. -l’hypocrisie et le fanatisme religieux. D’abord chez les protestants hollandais qui refusent d’aider un frère dans la peine. Ensuite chez les catholiques portugais où l’inquisition espionne