Style tintinnabuli

Analyse d’un poème de Charles Baudelaire : « Le revenant ». Le Revenant : Comme les anges à l'œil fauve, a Je reviendrai dans ton alcôve a Et vers toi glisserai sans bruit B Avec les ombres de la nuit, B Et je te donnerai, ma brune, c Des baisers froids comme la lune c Et des caresses de serpent D Autour d'une fosse rampant. D Quand viendra le matin livide, e Tu trouveras ma place vide, e Où jusqu'au soir il fera froid. F Comme d'autres par la tendresse, j Sur ta vie

MÉTHODOLOGIE : le commentaire de texte Rédaction de l'introduction : (soignez-là, cela mettra votre correcteur/lecteur dans de bonnes disposition) Amorce ou phrase dite « d'accroche ». Brève présentation de l'auteur dans son époque, dans un mouvement littéraire au besoin. Présentation du texte : « Le texte (le passage) que nous allons étudier est un extrait de … ; au début du chapitre ... » Situation du passage étudié (résumer, au présent, ce qui vient de ce passer dans le récit). + nature

industries «  (lignes 16-17), « augmenter leurs richesses «  (ligne 17). Ainsi, Voltaire utilise l’ironie pour amplifier ces erreurs, feignant de valoriser le discours de son adversaire pour mieux exposer ses incohérences. Mais grâce à certaines figures de style, le lecteur ne comprend pas le texte au premier degré, comme une condamnation du despotisme oriental et des ses représentants, on peut relever l’oxymore « heureuse stupidité «  (ligne 21), puis une seconde (ligne 27) « vertus dangereuse «. Grâce à

frappante de termes de liaison (asyndètes) crée l’illusion d’une succession d’actions mécanisées : « L’asile est à deux kilomètres du village. J’ai fait le chemin à pied. J’ai voulu voir maman tout de suite. » (l. 46 à 48). [Asyndète : Figure de style qui consiste en l’absence de coordination entre des éléments de même niveau syntaxique.] Conclusion partielle Découverte d’une intériorité, certes. Mais d’une intériorité particulière qui, si elle semble s’offrir totalement au lecteur

Les figures de style (2nde) 1) Les figures par analogie : - La comparaison : La comparaison établit un rapprochement entre deux termes, le comparé et le comparant, à partir d’un élément commun et grâce à un outil de comparaison : Ex : « comme, pareil à, ressembler à, tel, semblable à, … » - La métaphore : La métaphore assimile complètement deux idées ou réalités (sans outil de comparaison). Lorsqu’une métaphore est développée par plusieurs termes, on parle de métaphore filée. Quand

Comment comprenez-vous la première phrase (lignes 1-2) ? (0,5 point) m 6. Lignes 7 à 14 : a) Relevez quatre termes se rapportant au champ lexical de la nature. (0,5 point) b) À qui est associé ce champ lexical ? (0,5 point) c) Quelle est la figure de style utilisée à chaque fois ? (0,5 point) d) Quels termes désignent le narrateur ? Que veut-il montrer par le choix de ces termes ? (1,5 point) m 7. a) Quelle est la cause de l’erreur de l’enfant ? (0,5 point) b) Où s’est passée cette mésaventure ? (0,5

« Romeo et Juliette » de W.S - Acte I, Scène 5 En premier lieu … Dans la scène du coup de foudre, où Romeo aperçoit Juliette pour la première fois, Shakespeare à repris certains clichés encore très présent à l’heure actuelle. La scène est écrite sous forme de monologue où sont exprimées les pensées de Romeo. Presque simultanément, apparait le coup de foudre haineux de Tybalt, envers Romeo. On peu se demander en quoi cette scène est-elle à la fois un élément « clé » de l’histoire, et une parfaite

Les moyens pour persuader persuader convaincre, qui fait appel à la raison ; persuader = émouvoir, séduire, manipuler, orienter le jugement Il existe trois principaux moyens de persuasion :  les moyens lexicaux,  les tonalités ironique et pathétique,  les procédés rhétoriques et stylistiques. 1. Les moyens lexicaux Comment repérer les moyens lexicaux ? Pour persuader son destinataire, le locuteur a la possibilité de se servir du lexique de deux façons. 1.1 Le lexique appréciatif

revision Les figures de styles : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison.Ex

emphatique qui accumule les figures de style : « cette ruine » (hyperbole soulignée par la diérèse), « ces pauvres habitants » personnification pathétique, « le noir rivage » métonymie évoquant les enfers (les arbres aux enfers ?) « la faux du temps » allégorie. Accumulation d’images évoquant la destruction et la mort. (il a a une vision tragique des choses et s’exprime comme un intellectuel pédant). En revanche, pas de figures de style chez le sage : son style est celui du bon sens, de la raison.