Sublime

objet sans histoire qui se déploie en nous et qui finit par nous regarder. L’art nous libère de notre regard intentionnel et découvre la réalité d’une perception non intentionnelle dans laquelle l’objet déploie son être. C - Transition critique : le sublime submerge la perception humaine. Il faut donc reconnaître que notre perception humaine usuelle n’est pas la perception même du réel. Nous savons pas ce qu’est percevoir comme une chauve-souris. Nous ignorons la réalité de sa perception. Cependant

manquent de profondeur puisqu’ « on ne les voit souffrir ». Pour Flaubert, il n’y a « ni vérité, ni grandeur » dans les Misérables, « c’est une façon de flatter le populaire ». Hugo aurait-il donc échoué dans son entreprise ? Les Misérables, à force de sublime, deviennent-ils une œuvre schématique et symbolique, plus que réaliste et véritable ? Faire des Misérables la peinture de son siècle et bien au-delà, la peinture de l’humanité, tel a été le but de Hugo. Les Misérables ont pour vocation d’être le

bétail » LE CYGNE : Blanc, pur, il symbolise la métamorphose. Il est ridicule sur terre, hors de son élément. Il est également antithétique : -(v.35)  « riducle et sublime » -(V.34) « Je pense à mon grand cygne et à ses gestes fous » Alitération en « s » => SOUPIR -(V.35-36) « Comme les exilés, ridicule et sublime et rongé d’un désir sans trève ! » Alitération en « i » =>DOULEUR référence au CHANT DU CYGNE. (légende) LA NEGRESSE : Son portrait est bâti sur des antithèses :

spécialités : l'œuf Extra et l'œuf Sublime. Un œuf Extra nécessite 1 kg de cacao, 1 kg de noisettes et 2 kg de lait. Un œuf Sublime nécessite 3 kg de cacao, 1 kg de noisettes et 1 kg de lait. Il fera un profit de 20 fr. en vendant un œuf Extra, et de 30 fr. en vendant un œuf Sublime. Combien d'œufs Extra et Sublime doit-il fabriquer pour faire le plus grand bénéfice possible ? Formulation du problème Notons x1 le nombre d'œufs Extra et x2 le nombre d'œufs Sublime à produire. Le chocolatier cherche

caricature, sublime du ton (=vénérable). Tout se passe comme si l’allure générale de la silhouette commandait la description du personnage, « durement » > champ lexical négatif, comparaison à la fièvre. Blazius > sonorités douces, Pluche > sonorités dures, gutturales, assonances en I. Les deux personnages sont ici des doubles négatifs l’un de l’autre. Stigmate d’une dégradation, dénaturation. D’un côté l’ascétisme opposé à un hédonisme de bien-être. II. Les deux jeunes, sublimés. a) Un couple

eux un regard de clinicien, plutôt que de logicien ? La frustration ne nous en dit-elle pas plus sur le sujet et le désir que sa satisfaction ? Sont-elles vraiment opposées ? III. Le désir doit être sublimé pour être satisfait Le désir ne peut selon Freud se satisfaire de la réalité sans se sublimer : elle lui est en effet contraire et il doit généralement se contenter de substituts imaginaires. Freud remarque que les aspirations fondamentales des individus ne s'accordent pas avec les exigences

les jalons qui donc « roule, pulvérise, éclats, goutes d’or ». L’or se justifie de deux manière différentes : la lumière du soleil jaunâtre du début des soirées et, par ailleurs, l’or est un métal précieux ce qui connote un moment précieux et qui sublime et magnifie la bicyclette. Peu à peu, au fil du texte la bicyclette se métamorphosera, des formes les plus lourdes elle prendra les formes les plus légères. En effet, tout en suivant les métamorphoses de la lumière, la bicyclette sera associée à

doit être un drame romantique. C'est un mélange de styles tragique et pathétique, appelé dans le drame romantique sublime, avec le comique, burlesque ou encore l’héroïcomique. C'est donc un mélange de styles opposés. Au contraire de la tragédie classique, le drame romantique veut donc que les genres se mélangent sur la scène comme dans la vie réelle : ils veulent que le sublime soit mélangé au grotesque. C’est une première différence avec la tragédie classique. 2. Objectifs représenter le

Couleau dans son article « Sublime et grotesque »13. Il s’agirait là d’une fusion entre le trivial et le sublime dans l’idée de ce que doit être un roman selon Félix Davin : « C’est la fusion terrible du trivial et du sublime, du pathétique et du grotesque ; enfin, c’est la vie telle qu’elle est, et le roman tel qu’il doit être »14. Contrairement à Victor Hugo qui préfère le contraste visant à créer davantage de sublime : « le contact du difforme a donné au sublime moderne quelque chose de plus

l'enfance. Dans l'art les tendances infantiles ne sont ni refoulées, ni satisfaites mais déplacées quant à leur but. L'artiste emporte son enfance avec lui et investit ailleurs, en un autre lieu l'énergie inapaisée de ses désirs infantiles: on peut sublimer aussi dans la science, la philo… Le travail artistique est proche du travail de deuil puisqu'il s'agit par l'art de supporter l'insupportable de sorte que la souffrance peut devenir productive.. Même si dans la création d'une œuvre , la fantaisie