Succès Et Echec Du Front Populaire

en 1880-1913 avec la Belle Epoque, le début de la lutte des classes. Rupture en 1914 avec la Première Guerre mondiale. La fin du XXè pourrait être en 1990 avec la chute du communisme soviétique. C’est le siècle des grandes idéologies et de leur échec politique. Il pourrait sinon avoir fini lors de l’attentat du 11 septembre 2001. Lors de la conférence de Doha (capitale du Qatar) en novembre 2001, la Chine adhère à l’OMC. Evènement important : la Chine a connu une croissance de 10% depuis 34 ans

va leur être bénéfique, il y a une croissance significative. En 10 ans, le parti triple ses effectifs. C'est le premier parti de militant en France. On oppose parti de militant à parti de notable ( Droite). Mais le parti a un souci d'éducation populaire (bibliothèque, loisirs, encadrement globale du militant) ainsi le militant assiste à la vie du parti. C'est un lieu de vie, de société. Il devient le premier parti militant de France, il se dote d'un journal (l'Humanité). Le PUSFIO augmente régulièrement

Janvier 1946 ) les 3 grands partis → PCF ( Parti Communiste Français – communiste , écologiste , anticapitaliste ) SFIO ( Section Française de l'Internationale Ouvrière – socialiste , marxiste ) MRP ( Mouvement Républicain Populaire – démocrate chrétien , centriste ) fondent une alliance → Tripartisme ( coalition gouvernementale entre 1946 – 1947 par ces trois principaux partis politiques d'après-guerre ) et se répartissent les ministères . Cependant , ce gouvernement

est la France. Cependant, le New Deal a servi d'exemple dans plusieurs pays. La politique consistant à lutter contre la crise par une augmentation des prix et des salaires, au lieu de recourir à la traditionnelle déflation, inspira le Front populaire après son succès électoral de 1936. Mais, comme aux États-Unis, il se heurta à l'incompréhension des milieux d'affaires qui considéraient cette expérience comme une préface à un régime socialiste, alors qu'elle prétendait seulement sauver le régime capitaliste

avec l'évolution sociale. Là, il va la précéder, la forcer, il va forcer la population française à se concevoir autrement. La Révolution française est sociale, morale, mais aussi institutionnelle. Si elle est un succès au niveau social, en revanche au niveau institutionnel elle est un échec. Elle ne parvient pas à instaurer un régime politique stable. On est passé de la monarchie à une nouvelle monarchie, l'échec est plus complet encore quand Napoléon tombe et est remplacé à nouveau par les Capétiens

continuité de sa propre identité. [...] Pourtant, si l'on peut dire que la culture immigrée est vécue à la fois comme un enjeu et comme un instrument de lutte, il faut considérer que cet enjeu est lui même ambigu. Car l'immigré doit se battre sur deux fronts à la fois, parfois contradictoires : il doit affirmer, d'un côté, des spécificités nécessaires pour assurer la cohésion du groupe et, de l'autre côté, il doit aussi refuser les différences culturelles assignées par le pays d'immigration lorsqu'elles

parlementaires divers droite. Elle est en outre flanquée à l'extrême droite d'un groupe parlementaire de 35 députés du Front national décidé à ne pas lui faciliter la tâche. Le Parti socialiste, de son côté, peut se féliciter d'avoir recueilli 31 % des voix et 207 élus. Le principal parti de gouvernement depuis 1981 ne connaît donc pas d'échec cinglant, ni de désaveu populaire, ce qui signifie aussi pour François Mitterrand la possibilité de se maintenir à l'Elysée. Résultat qui fait presque figure

(partage effectué lors de la conférence de Potsdam) ; en imposant des gouvernements pro-soviétiques dans les pays d’Europe centrale et orientale occupés par l’Armée rouge (à l'exception de l'Autriche), pays qui deviendront plus tard des « démocraties populaires ». Le coup de Praguede février 1948 en Tchécoslovaquie – l'une des rares réelles démocraties d’avant-guerre en Europe de l’Est – fut l’expression la plus visible, pour l’Ouest, de cette politique, et fut perçu comme la manifestation de la volonté

rapidement une succession d’échecs : il ne réussit pas à réformer l’administration du royaume, et passe pour un roi absolutiste ; il hésite entre libre-échange et contrôle de la circulation des grains, mécontentant les négociants et effrayant les couches populaires ainsi qu’une partie de la cour ; il soutient l’indépendance des États-Unis, au prix d’une campagne militaire très coûteuse et sans aucune compensation ; enfin, il ne maîtrise pas l’opinion publique, abreuvée de pamphlets et de libelles qui déshonorent

culmina lorsque l’ambassade américaine à Saigon elle même fut prise d’assaut. L’offensive du Têt s’avéra sur le plan militaire un échec douloureux pour les armées nord vietnamiennes: cette offensive devait susciter un soulèvement populaire général et visait dans le même temps un écrasement des forces americano-sud vietnamiennes. Ces deux objectifs furent manqués et leur échec marquèrent même l’efficacité des troupes sud vietnamiennes et de leurs alliés américains, quant à la population sudiste, loin