Suétone

Titus s’est épris de la reine de Palestine, Bérénice, pendant la campagne de Judée (70 après J-C). Devenu empereur à son tour, il veut épouser la reine, mais la loi romaine s’y oppose. La tragédie est l’illustration de la phrase de l’historien latin Suétone : « invitus invitam dimitis » (« il la renvoya malgré lui, malgré elle » ). Le personnage d’Antiochus est inventé par Racine. Le dénouement (V, 7) doit apporter une issue au conflit tragique et fixer le sort des personnages. La préface de Bérénice

quatre ouvrages publiés sous le nom de Tacite : la vie d’Agricola, la Germanie, les Histoires et les Annales. Un cinquième ouvrage intitulé: Dialogue des orateurs , prête à controverses. Il est plutôt attribué à Quintilien, Pline le Jeune et Suétone qu’à Tacite car le style de cette dernière œuvre est radicalement différent de celui utilisé par Tacite dans ses manuscrits précédents. Il s’agissait là du premier essai de Tacite. Ce dernier sortait à peine de l'école, et c'est certainement là ce

Catulle (en latin Caius Valerius Catullus) était un poète romain. Selon Suétone, il serait né à Vérone en Gaule cisalpine ou peut-être à Sirmio (aujourd'hui Sirmione) sur le lac Benacus (aujourd'hui lac de Garde) en 87 avant J.-C.. Il mourut en 54 avant J.-C., à Rome, où il passa la plus grande partie de sa vie. Sommaire [masquer] 1 Biographie 2 Le cénacle de Catulle 3 L’œuvre de Catulle 3.1 De l’élégie à l’épigramme 3.2 Catulle, poète néo-alexandrin 3.3 Éditions et traductions 4

violente tempête faillit détruire sa flotte; un autre en Gaule, devant Gergovie, où une légion fut mise en déroute; et le troisième sur le territoire des Germains, où ses lieutenants Titurius et Aurunculeius périrent dans une embuscade. Suétone, Vie de César, XXV – vers 120 César (…) sans perdre de temps (…) marche sur Cénabum, ville des Carnutes, qui tout récemment instruits du siège de Vellaunodunum, et croyant qu'il durerait plus longtemps, rassemblaient des troupes qu'ils devaient

rencontre le succès avec chacune de ses pièces : en 1671 avec Bérénice, où Racine a voulu conserver l'image idéalisée d'un Titus renonçant à l'amour pour obéir à la raison d'État, qui s'est installée dans l'imaginaire sous l'influence de l'historien Suétone. On peut voir ainsi dans cette tragédie comme un reflet de la monarchie absolue et de l'exemplarité de Louis XIV. La princesse Palatine, puis Voltaire, se feront l'écho de l'analogie qui était née dans l'esprit de certains contemporains entre cette

règna de janvier à avril 69. Sa vie : Othon, de son vrai nom Marcus Salvius Otho est issu d'une famille de notables. Son grand-père est sénateur, son père proconsul d'Afrique sous Tibère, et est élevé au rang de patricien par l'empereur Claude. Selon Suétone, Othon était un personnage assez peu recommandable puisque les auteurs voient chez lui une complicité homosexuelle avec l'empereur. En janvier 69, il est criblé de dettes et voit alors ses rêves d'ascension au pouvoir s'écrouler. Il décide de se débarasser

est caractérisé par une floraison remarquable des arts et des lettres, valant au « siècle d’Auguste » de rester une référence culturelle mythique. Pour ce qui est de son apparence, on peut se référer à l'historien romain des ier et iie siècles, Suétone, et à son ouvrage Vie des douze Césars : « Auguste était d'une rare beauté, qui garda son charme tout le long de sa vie […] Ses yeux étaient vifs et brillants ; il voulait même faire croire qu'il y avait dans son regard une autorité divine et, comme

en armes en Italie. Il viola donc la loi du Sénat romain. Aujourd'hui, franchir le Rubicon signifie qu' une personne se lance irrévocablement dans une entreprise aux conséquences risquées. Alea jacta est : Selon les historiens Plutarque, puis Suétone, puis Appien, ces paroles furent prononcées par César, le 12 Janvier -49 lors du passage du Rubicon. Jules César prononça cette phrase,car, comme il n'a pas respecté la loi du sénat disant qu'il est interdit de franchir le Rubicon en armes, sa destinée

qui indique qu’Arsace va partir et qu’Antiochus se retrouvera donc seul et pourra faire son monologue. Cette pièce est une tragédie classique avec un thème trouvé dans l’histoire romaine. « Invitus, invitam, dimisit » est une citation latine de Suétone (Malgré lui, malgré elle, il la renvoya). Bérénice est la pièce la plus classique qui pousse à son maximum l’application de la théorie racinienne telle que définie dans la préface. Les premières scènes mettent en place l’exposition contenant l’impératif

est une pièce de théâtre de quatre actes écrite en 1939. Il sera ensuite retouché à de nombreuses reprises. Avec L'étranger et Le mythe de Sisyphe, cette pièce fait partie du cycle de l'absurde. Camus s'est inspiré de l'œuvre de l'historien latin Suétone, Vie des douze Césars, qui décrit un Caligula devenu soudain tyrannique et lunatique après seulement six mois de règne. Caligula est un prince, relativement aimable jusque-là, qui s'aperçoit à la mort de Drusilla, sa sœur et sa maîtresse, que « les