Suffrage Universel 1848

à la fin de la 2 ème république . Le résultat d’un compromis entre les monarchistes et les républicains , on inscrit le principe de la dissolution de façon très encadrée .  1. Le chef de l’état doit pouvoir dissoudre la chambre élu au suffrage universel direct .  Renvoi au parlementarisme dualiste , cette dissolution par le chef de l’état doit rétablir l’harmonie entre les pouvoirs en cas de conflit . 1. Le chef de l’état ne peut dissoudre qu’avec l’accord du sénat .  Les monarchistes

Il s’agit d’un extrait de De la démocratie en Amérique, écrit en 1848 par Alexis de Tocqueville. Ce-dernier était un sociologue, historien, philosophe politique du XIXème siècle, d’origine aristocratique, mais dont les idées étaient favorables à la démocratie. Du fait de son héritage familial et des persécutions subies par ses parents sous la Terreur, il craignait avant tout les agitations populaires et les révolutions. Cela étant, il était d’accord avec les objectifs de 1789. L’ensemble de ses œuvres

La République française ne s'est dotée d'un président qu'à partir de 1848 (sous la IIe République). Depuis lors, cette fonction a été assumée par vingt-trois présidents, qui ont constitué les chefs de l'État français de 1848 à 1852, de 1871 à 1940 et de 1947 à nos jours, sous les IIe, IIIe, IVe et Ve Républiques. Ils ont tous résidé au Palais de l'Élysée à Paris, à l'exception d'Adolphe Thiers. Depuis l'élection du président au suffrage universel direct en 1962, il s'agit de la fonction politique la plus

qui a démarré au 18éme siècle avec le remplacement de la monarchie par la République Française. Jusqu’en 1780, le modèle de référence est le citoyen-propriétaire et à partir de 1791  différents suffrages vont être mis en place. A- La démocratie réservée aux élites économiques 1791 : Le suffrage censitaire et indirect Emmanuel-Joseph Sieyès considérait que le vote est une fonction et que par conséquent seuls les individus ayant les capacités (intelligence et niveau économique) d’exercer

Il défendra au Parlement ses positions anti-esclavagiste et libre-échangistes, et s'interrogera sur la ||Empire colonial français|colonisation]], en particulier en Algérie. Ce « libéral-conservateur »[6] se fera aussi témoin du « rapetissement universel » emporté par la promotion au pouvoir d'une classe moyenne « ne songeant guère aux affaires publiques que pour les faire tourner au profit de ses affaires privées » (Souvenirs) En 1842, il est élu conseiller général de la Manche par le canton

difficile. Le droit de vote était à l’origine censitaire (réservé à une partie de la population, dans ce cas, c’était les personnes de la haute société, les hommes fortunés qui bénéficiaient de ce droit). C’est de manière progressive que le suffrage universel masculin apparaît définitivement sous la Troisième-République. Définition de l’éligibilité : L’éligibilité est un droit qui fonctionne avec le droit de vote, c’est la possibilité pour une personne de se présenter à une élection dans le but

commence par le groupe le plus riche, certains groupes les moins riches ne votent jamais. Les catégories les plus pauvres dans la république romaine ne votent pas (les prôles n’ont comme fortune que leurs enfants). C’est ce classement qui formera le suffrage censitaire appliqué. Fascination pour l’antiquité durant la révolution. Le bourgeois, législateur révolutionnaire du 18e a reçu une éducation gréco-latine, c’est un homme imprégné par l’antiquité. Il a fait des études de droit en latin… La mode

pouvoir être électeur ou éligible, il faut donc un certain niveau de fortune. Jusqu'en 1848, la France a connu un régime censitaire. On a finit par associer souveraineté populaire et régime censitaire. La revendication de la souveraineté nationale apparaissait plus démocratique. En 1848, au moment de la II république, est votée la loi sur le suffrage universel. Cette loi a été abrogée en 1849. Le suffrage universel direct a été rétablit par Louis Napoléons Bonaparte en 1851 après son coup d'Etat.

régime qu'essaie d'instaurer l'impératrice Eugénie. Ce gouvernement provisoire, présidé par le Général Trochu et qui comprend Gambetta et les trois « Jules », Ferry, Simon et Favre, proclame la République au balcon de l'Hôtel de Ville de Paris, comme en 1848 : c'est un gouvernement de défense nationale, censé faire la guerre à l'Allemagne, et un gouvernement de fait qui s'est autoproclamé. Mais ce gouvernement ne pouvait signer la paix avec l'ennemi, ni donner une nouvelle Constitution, faute d'une légitimité

femme et de la citoyenne stipulait que  « la femme nait libre et demeure égale à l’homme » et qu’elle avait le droit de manifester ses opinions. Or ce principe fondamental a été bafoué en France, jusqu’en 1944 par le suffrage universel masculin. 2° Pour obtenir le suffrage universel féminin, elles ont crée différentes affiches suggérant le droit de vote. Leur principal argument est le fait d’être une femme : pouvoir réaliser des choses qu’un homme ne pourrait pas accomplir, comme endiguer l’immoralité