Suffrage universel

meurt donc avec son investiture, le 1er juin 1958. II. Les nouvelles institutions A/ La dyarchie du pouvoir exécutif (un président de la République "supérieur" au premier ministre) 1. Le président de la République * En 1958, il est élu au suffrage universel indirect (par environ 75.000 électeurs) et pour sept ans. * Rôle d'arbitre international. * Pouvoirs considérables du président de la République : - Nomination du premier ministre. - Présidence du Conseil des ministres

Depuis 1974, ce sont tous les hommes et femmes français de plus de 18 ans. Ils élisent par suffrage universel direct les 577 députés de l'Assemblé Nationale, élus pour 5 ans. ( Il y a un député par circonscription). Les citoyens élisent aussi les représentants ou "grand électeur" qui à leurs tours élisent les 321 sénateurs, élus pour 9 ans. Depuis 1962, les citoyens élisent par suffrage universel direct le Président de la République. Le Sénat et l'Assemblée Nationnal forment le Parlement

particularité principale de la Ve République, pensée par le général de Gaulle et insaturée par la Constitution de 1958, est un chef de l’exécutif fort. La légitimité de ce Président de la République s’est accrue par le fait qu’il soit désormais élu au suffrage universel direct. Pourtant, malgré ses importantes prérogatives, le principe d’irresponsabilité politique du Président est posé par la Constitution de la Ve République, à l’exception de cas de haute trahison, non définie par cette Constitution. Etre

tout de même des pouvoirs (parfois partagé avec le PM, parfois des pouvoirs propres), et donc une responsabilité : en cas de Haute trahison mais aussi pour la politique de fait, surtout depuis la réforme de 1962 sur l’élection présidentielle au Suffrage universel direct. En quoi consiste ce rôle d’arbitre ? Dans quelles circonstances le président de la République est-il responsable de ses actions ? Quels pouvoirs le texte fondamental de 1958 lui confère t’il malgré ce rôle d’arbitre ? Le président

participation politique reconnus et de plus, n'ayant pas accès à l'instruction. Mais l'instabilité politique connue durant le XIXe siècle permet à cette population d'apprendre peu à peu le langage de la vie politique. De plus, après l'instauration du suffrage universel masculin, malgré une politisation lente au sein des campagnes, tous les partis politiques comprennent que le vote paysan pèse lourd. C'est pourquoi la paysannerie devient le centre d'intérêt des politiques, ce qui permit aux Républicains de

Elle proclame le droit au travail, au secours public et le droit d’insurrection en cas d’oppression. L’égalité devient le premier des droits de l’Homme. Le changement de perspective est total. La constitution introduit le suffrage universel direct et met fin au système de suffrage censitaire. La constitution introduit le référendum. Les lois n’entraient en vigueur qu’après un délai de 40 jours. Il pouvait y avoir des assemblées primaires du peuple dans les départements qui pouvaient faire opposition

féminin qui dura près d’un siècle après le suffrage universel masculin. SYNTHESE ET CONCLUSION : « Ma question était quel a était l’évolution du droit de vote pour les femmes en France ? » D’abord les femmes ont créé des organisations comme les suffragettes... afin de revendiquer le droit de vote pour les femmes. Ensuite elles ont revendiqué par tous les moyens : manifestation, affiche, slogan… Au bout d’un siècle de luttes après le suffrage universel masculin les femmes obtiennent le droit

1962 : l’élection du Président de la République au suffrage universel direct (et non plus par un collège électoral élargi). 2) Depuis 1962, le régime peut être qualifié de présidentialiste (Gicquel) ou de semi-présidentiel (Duverger), hors période de cohabitation évidemment. Il s’agit d’un régime dans lequel le pouvoir est concentré entre les mains du Chef de l’Etat en raison, d’une part, de son mode d’élection au suffrage universel direct, et, d’autre part, du soutien inconditionnel

les pratiques gouvernementales du général De Gaulle (socialistes + radicaux (plein pouvoirs et école privée), l’UNR (contre l’indépendance de l’Algérie), MPR (Europe), Indépendant (renvoie de A. Pinay)). Cependant referendum sur l’élection au suffrage universel (63 %) et élections législative de novembre 1962. II La monarchie « «républicaine » gaullienne 1) Stabilité et expansion économique * Une stabilité : * 3 premiers ministres (Debré, Pompidou, Couve de Murville) *

Chef d’état : François Hollande : Le chef de l'État (président) français est élu pour cinq ans au suffrage universel direct, il préside le Conseil des ministres,où sont nommées les grand fonctionnaire, il possède donc le pouvoir exécutifs, droit de graçe, nomme le 1er ministre, chef de la diplaumacie, promulgue les lois et il est le chef des armées. Il peut dissoudre l'Assemblée nationale et, en cas de crise grave, exercer des pouvoirs exceptionnel Élisabeth II : Reine du Royaume-Uni