Suis Je Responsable De Mon Inconscient

le commandement d'un son qu'il décrit comme venant de l'intérieur de son esprit. Pour lui éviter la prison, son avocat plaide la folie, ce qui reviendrait à reconnaître qu'il n'était pas responsable de ses actes au moment des faits : qu'il ne savait pas ce qu'il faisait. Selon l'opinion générale, un acte édicté sous l'emprise de la folie est un "acte gratuit" : n'ayant aucune justification rationnelle, il entraîne la non responsabilité de son auteur. Ainsi, selon la législation, un fou ne peut

fondamentaux Conception de l’homme « L’homme est un être unique, qui a des attentes et des besoins bioligiques, psychologiques, sociaux, culturels, et spirituel : un être en perpétuel devenir et en interaction avec son environnement, un être responsable, libre et capable de s’adapter, un tout indivisible ». Conception de la santé La santé est un « état dynamique, susceptible de variations, qui nécessite un processus d’adaptation de l’homme à son environnement. Cet état le rend apte à assumer

mentale : le conscient caractérisé par la vigilance, le préconscient formé par l'ensemble des processus disponibles, provisoirement inconscients mais accessibles à la conscience et l'inconscient siège des activités psychiques inaccessibles à la conscience car des forces de refoulement s'y opposent. Le sujet repousse les idées ou images qui représentent les pulsions inconscientes. . A partir de 1920, Freud introduit de nouveaux concepts et élabore une nouvelle conception de psychisme humain : le Ca qui

théoriques : L'accès a l'inconscient étant impossible, cela ne peut être que théorique. Par ailleurs, la connaissance des mécanismes de cet inconscient permet de comprendre un certain nombre de phénomènes sociaux tel que les préjugés par exemple. Enfin, le fait d'effectuer certaine action dirigées par notre inconscient pose une question morale : peut on être responsable d'un tel agissement ? Freud rappel tout a d'abord que son hypothèse est contestée par ses contemporains scientifique ce a quoi il oppose

grande part de notre comportement échappe à notre conscience, comme celle qui dépend de la seule action du corps. Certes nous pouvons prendre conscience que notre cœur bat, que nous mettons un pas devant l’autre, mais ces actions sont par ailleurs inconscientes, parce qu’elles sont mécaniques. La conscience suppose un écart de soi à soi. L’animal est quasiment dès la naissance tout ce qu’il est. Cet écart de soi à soi conduit l’homme à réfléchir sur lui-même, sur sa condition dans le monde et au milieu

philosophique, la liberté désigne la possession du libre arbitre. Cependant, le choix est-il la seule condition qui permet l’a liberté ? Également, il ne faut pas oublier notre inconscient qui nous prive de notre liberté puisque celui rend le sujet absent de lui même, il n’est plus maitre de soi. Notre inconscient nous prive de nos choix. Ainsi, nous nous demanderons la liberté peut être acquise à condition d’avoir le choix. Nous verrons dans un premier temps si nous avons réellement le choix

notion de transfert/contre-transfert. C'est la part fantasmatique inconsciente générée par le patient sur le soignant (transfert) ; ou du soignant sur le patient (contre-transfert). Le phénomène est dis positif lorsqu'il permet au patient de rejouer inconsciemment certains conflits qui lui permettent une avancée sur sa guérison et lorsque le soignant accepte inconsciemment ce rôle. Si le patient rejoue des blocages inconscients et que le soignant les accepte également comme une part de vécu désagréable

Descartes). L’âme n’est donc pas soumise aux lois de la nature et l’homme est donc libre. Ainsi l’homme s’il veut être libre doit domestiquer ses passions par sa raison et sa volonté. On peut être libres. II) Inconscient et déterminisme psychique A) Spinoza et le déterminisme psychique Spinoza,Ethique, introduction de la 3ème partieSpinoza, XVIIe siècle, originaire des Pays-Bas Rappel  : il existe 2 susbtances opposées :matière/esprit

pourra jamais se débarrasser totalement de sa propre conscience et de ce qu'il a conscience d'être. Il y a donc contraction avec cette conscience. On ne peut pas en même temps être nous même mêmes et différent de nous-mêmes. Celle-ci nous rend donc, responsable de nos propres actes, de nos propres sentiments et de nos propres émotions. Elle est la cause de nos actions. Elle nous pousse à choisir ce que nous allons considérer comme juste ou injuste, ce qu'il faut faire et ne pas faire. Ainsi, elle nous

Peut –on se fier au sentiment de liberté (réalité) ou n’est-ce pas plutôt qu’une illusion (une perception déformée de la réalité) ? L’être humain est-il libre ? On pense que là où il y a choix, il y a liberté. En choisissant, l’homme devient responsable des conséquences de son choix ; il assume parce que son choix a été libre. Le terme liberté semble apparaître lorsque un choix est à faire et qu’il est réalisé sans contrainte dite apparente .Nous disons alors que cette action se décline en toute