Suis Je Toujours Responsable De Mes Actes

- Espérance L’action intellective peut s’exercer pour elle-même : contemplation  l’homme contemple le divin en lui-même  l’homme comme parcelle de dieu. Le bonheur suprême est l’acte de l’intellect. 3 types d’actes : - actes rationnels - actes vitaux raisonnables - actes vitaux non rationalisables (digestion…) L’éthique a pour objet le suntheton (acte du corps accompagné de raison) ; la phronésis (prudence) =éthique du suntheton. La phronésis donne une valeur supplémentaire à nos actions vertueuses

société commerciale (ex : S.A.R.L, S.A, S.A.S etc) ? La notion de commercialité est liée à l’entreprise qui réalise des actes de commerces. Il est important de connaitre comment on détermine si un acte est un acte civile ou de commerce, c’est-à-dire les critères de qualifications des actes passés par l’entreprise. Section 1 : Les actes de commerces I. Les critères des actes de commerces L’acte de commerce s’oppose à l’acte civil (=acte qui est passé entre des particuliers pour leurs propres besoins

n’est rien d’autres que ce qu’il fait. Le radicalisme : Dieu n’existe pas mais des valeurs a priori à l’expérience oui. Principes : - Subjectivité - L’homme serait ce qu’il a projeté d’être et non ce qu’il veut être - L’homme est pleinement responsable - L’homme se choisit en choisissant tous les hommes  Il crée une image de l’homme qu’il choisit - L’homme est angoisse car l’homme s’engage et ne peut échapper à sa responsabilité devant l’humanité. La mauvaise foi comme échappatoire. Mais l’angoisse

avoir conscience de soi-même ; c'est-à-dire avoir conscience de sa propre unité et permanence dans le temps. Une personne se reconnaît comme étant le sujet de sa propre vie, et comme étant l'auteure de ses actes et pensées. Elle peut donc se sentir responsable de ce qu'elle a fait, et responsable de ses engagements : en d'autres termes, elle a conscience de sa liberté. Cela lui confère une dignité morale. C'est cette différence de dignité morale qui amène Kant à affirmer que l'on peut « disposer

DUCHARNE Marine – DM philo sur J.-P SARTRE, l’être et le néant (la censure). Ce document est un texte de Jean Paul Sartre extrait de l’Etre et le Néant, 1943. Ce texte s’interroge sur le processus de la censure. Selon Freud, il y a des actes conscients que nous ne pouvons pas vraiment expliquer en faisant appel seulement à la conscience. L’hypothèse de l’inconscient serait donc d’expliquer des choses inexpliquées comme la censure mais aussi expliquer mieux ce que l’on expliquait avant

Peut –on se fier au sentiment de liberté (réalité) ou n’est-ce pas plutôt qu’une illusion (une perception déformée de la réalité) ? L’être humain est-il libre ? On pense que là où il y a choix, il y a liberté. En choisissant, l’homme devient responsable des conséquences de son choix ; il assume parce que son choix a été libre. Le terme liberté semble apparaître lorsque un choix est à faire et qu’il est réalisé sans contrainte dite apparente .Nous disons alors que cette action se décline en toute

infraction fin/but. Règle générale en droit. Exemple : abus de confiance. Si la règle entre en concurrence avec un texte spécial qui vient sanctionner dans des cas précis des dirigeants de sociétés, on retient toujours le texte spécial sur le texte général. Ce principe n’est pas toujours respecté par la jurisprudence et la jurisprudence comme la doctrine ont fait un nouveau critère tiré des valeurs protégées. Néanmoins dans le cas où après observation du fait matériel et des qualifications possibles

avec le premier ministre. Dans ce régime on doit avoir un exécutif à deux têtes parce que le chef de l'État est politiquement irresponsable. Donc quand le chef de l'État prend des dispositions c'est le chef du gouvernement qui est responsable à sa place, responsable devant le parlement. Si l'assemblée est en désaccord avec le chef de l'État elle renverse le premier ministre. Le premier ministre est le fusible du président. Ceci permet de mettre une certaine stabilité, une certaine continuité des

narcissique » infligée à l’humanité selon Freud, parce qu’elle la priverait de son libre-arbitre et d’une réelle connaissance de soi, n’implique-t-elle pas une dépossession de soi au sens où l’homme ne serait plus le maître de lui-même, de ses actes et de ses pensées? Toujours ignorant des motifs inconscients qui le poussent à agir, il perdrait du même coup sa liberté, sa lucidité et deviendrait de ce fait le jouet de forces obscures. Le problème sera donc de savoir dans ce devoir si la théorie de l’inconscient

Sujet : la conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? Problématique : en quoi notre conscience permet a la fois la totale liberté de nos actes mais aussi en modèle les limites en nous fessant relativiser nos actes et donc restreint nos actes I. La conscience perceptive m’arrache à l’inertie du monde et m’élève à la liberté del’initiative. Ce par quoi j’appartiens au règne du vivant et non au règne de l’inerte, du. La conscience implique ma possibilité de réagir voire d’anticiper