Suis Je Une Chose Qui Pense

échapper à notre connaissance. Cependant, deux types d’expérience semblent remettre en question cette certitude immédiate : - tout d’abord, il arrive que ce que nous pensons être soit en décalage, voire en contradiction avec ce qu’autrui perçoit et pense de nous. Nous nous rendons alors compte que ce que notre conscience nous donne à observer ne constitue qu’une illusion, tributaire de notre propre point de vue, de nos projections et de nos fantasmes. Dans ce premier cas, nous avons donc l’impression

intérieur, de l'expérience interne dans la diversité de leurs manifestations autrement dit à une conscience psychologique. Être conscient suppose la distinction entre un sujet qui pense et un objet qui est pensé. Lorsque la conscience porte sur soi on parle de conscience réflexible. Le sujet pensant devient l'objet de sa pensée. Le terme renvoie également à la connaissance du bien et du mal = conscience morale, connaître ce qu'est le bien et le mal. Le cas de conscience ou examen de conscience c'est

comprendre, mais surtout saisir quelque chose qui nous échappait parfois auparavant. Exemple : prendre conscience de la gravité de son acte, avoir conscience de soi. Sens 3 : sens cartésien. La conscience désigne une sorte de lieu, le lieu des représentations, quand on dit « en ma conscience ». Synonyme d’esprit, d’âme. La conscience de l’homme est ce qui fait de lui un être singulier. Cf. Acception de Descartes, le cogito. Le conscience, c'est le « je pense ». Sens 4 : sens phénoménologique. La

qu’admettre la différence suivante : supposons que je regarde le soleil, je dirai sans hésitation qu’il est réel ; mais quel sens y aurait-il à dire que le soleil est vrai ? Lorsque j’affirme que quelque chose est réel, je ne fais rien d’autre que reconnaître son existence. La vérité semble exiger autre chose qu’une telle reconnaissance. Dans notre exemple, ce n’est pas le soleil lui-même qui peut être dit vrai ou faux mais notre représentation ou notre jugement : si je dis « cela est le soleil » en désignant

d'avoir des pensées qui nous viennent spontanément, sans forcément l'avoir voulu. A ce moment là, dans le langage courant, nous disons « je pense », le sujet est mis en avant et domine en quelque sorte l'action de penser. Néanmoins, nous ne contrôlons pas toujours cette action, la pensée traverse notre esprit contre notre volonté, le sujet n'est donc plus à l'origine de cette dernière mais c'est bien la pensée qui régit notre esprit. Mais si ce n'est pas le sujet ou le « moi » qui pense, qu'est-ce

qui renvoie à quelque chose sans lien direct avec cette chose. Il faut déduire ce que signifie le code pour pouvoir comprendre le message, ce qui est sa fonction première. Nous pouvons alors nous demander si le langage permet seulement la communication ou s’il a d’autres dimensions. Si on dit que le langage est seulement un moyen de communication cela voudrait dire que la pensée est indépendante au langage. Cependant le langage n’a- il pas un rôle dans l’action de la pensée ? C’est pourquoi dans

fois. ». Tout ces gens ont au moins raison sur une chose : La vie est une chance éphémère à laquelle, selon les croyances, ont a le droit qu’une fois ou du moins de laquelle on n’a aucun souvenir lorsque l’on passe de l’autre côté de la barrière. Mais beaucoup de personnes pense que lorsque l’on dit fait de ta vie un rêve, c’est nécessairement ou réservé au riche ou flamber toutes ses économies dans des choses inutiles. Personnellement, je pense que le rêve est accessible a toutes les personnes qui

gouvernements de soi ». L’homme est définit comme étant une chose qui pense, un animal doté de raison, de conscience. Quand il perd sa conscience, il redevient un animal de nouveau. Toutefois, l’homme n’est pas toujours conscient : il y a des choses qui échappent à sa conscience comme la respiration, la circulation sanguine, le passage des ondes, etc. (inconscient physiologique) II. 1) Le cogito cartésien : * DESCARTES : « je pense donc je suis » => conscience directe, immédiate *

commun : les rêves, comme les peintures, sont issus de la réalité, et même avec beaucoup d’imagination ils ont besoin au moins de couleurs et ça c’est impossible à inventer 2.2 Le doute appliqué aux sens en résulte à des acquis * Pour chaque chose il faut caractère simples et universels qui sont la forme corporelle (figure des choses) et l’étendue (quantité, nombre, lieu, temps, …). * Contrairement aux sciences qui reposent sur des choses complexes, les sciences qui dépendent de choses

GREEN CHAPITRE IV La représentation de chose entre pulsion et langage* Il y a cent ans, Freud fut admis comme spectateur au théâtre des passions hystériques d'une Salpêtrière qui sentait alors le soufre, malgré la rigueur toute scientifique du magistère de Charcot. Dans le rapport qui rend compte de son séjour à Paris, il écrit : « Je subis l'attrait de cette personnalité et me résolus bientôt à ne fréquenter que ce seul hôpital et à ne suivre l'enseignement que de ce seul homme »1. Pourtant il