Suivi Budgétaire

comme le niveau minimal du taux d'intérêt en dessous duquel on ne peut descendre, l'élasticité de la demande de monnaie au taux d'intérêt tend vers l'infini, il n'y a pas d'épargne sur sur actifs financiers à ce niveau. Selon Keynes la politique budgétaire doit alors prendre le relais. Si on est déjà au plein emploi, on peut penser ensuite que la politique monétaire n'aura que des effets inflationnistes. Elle n'a donc pas vocation à être mobilisée en toutes circonstances. En zone intermédiaire

Surtout dépenses militaires, projets technologiques, conquête aérospatiale (NASA à Houston). 2) Politique Conjoncturelle Les plans budgétaires : En France : Budget en déséquilibre mais plus subit que voulut à cause des guerres coloniales. Aux EU : Véritable politiques Keynésiennes sous Kennedy dans les 60’s. Policy Mix (Politique budgétaire expansive + tax cuts) =réduction du gap d’Okun. En 65. En RFA : La politique des sociaux démocrates s’inscrit dans le keynésianisme « loi

soutien de la demande 1) Selon J. M. KEYNES, « à long terme nous sommes tous morts » 2) La nécessité de l’intervention de l’Etat pour soutenir la demande effective, un premier aperçu de la théorie keynésienne 3) La mise en place de politiques budgétaire et monétaire expansives pour soutenir la croissance économique et favoriser le plein emploi a) Une politique de relance par le budget de l’Etat b) accompagnée d’une politique monétaire expansive B. En période de croissance effective trop forte

disent que cela est insuffisant étant donné l'ampleur de la crise). Selon l'économiste anglais Keynes, une politique de relance économique est basée sur deux leviers, qui, agissant ensemble, permettent le retour à la croissance : la politique budgétaire et la politique monétaire. Nous nous demanderons donc dans quelle mesure une politique de relance est-elle aujourd'hui souhaitable en France et ensuite si elle est techniquement réalisable ? I - Une politique de relance est souhaitable

de leur objectif, par la suite, nous verrons leurs conséquences sur les fluctuations économiques, et pour finir, nous analyserons les limites de ces mesures. Parmi les deux principaux instruments utilisés, on retrouve tout d'abord la politique budgétaire que l'on peut surnommer de manière plus large, la politique économique. Celle ci est une politique « exogène » car celle-ci est mise en œuvre par l'Etat et est l'ensemble des mesures consistant à manipuler les impôts et dépenses publiques afin d'amortir

au moins momentané, d’une politique budgétaire restrictive pour une politique de relance (politique keynésienne). La France a mis en œuvre une politique de relance à partir d’avantages fiscaux (le paquet fiscal), c’est-à-dire des réductions d’impôts pour les catégories moyennes et supérieures. Cette politique apparaît risquée à cause de la crise financière. D’autre part, les marges de manœuvre de la France sont limitées car elle a déjà un déficit budgétaire. Deuxième idée : le problème d’une

politique budgétaire 1.1. L’origine de la politique budgétaire 1.2. Les contraintes de gestion de Maastricht 1.3. La dette de l’Etat français 2. La croissance de la dette publique et son impact économique 2.1. Le déficit et les générations futures 2.2. De la rigidité des critères de Maastricht La politique budgétaire constitue, avec la politique monétaire, l’un des principaux leviers de la politique économique de l’État. Elle consiste à utiliser certains instruments budgétaires (dépenses

politiques économiques, conjoncturelles et structurelles. Les politiques conjoncturelles ont des objectifs de court terme et visent à lutter contre les déséquilibres de l’économie. Ce sont principalement les politiques budgétaires et monétaires. - La politique budgétaire consiste à influencer la conjoncture à partir des dépenses et des recettes de l 'Etat. Elle est décidée par chaque gouvernement européen sous la contrainte des limites fixées dans le cadre européen (PSC) Cf : la Règle d’or

l’emploi. Une politique de rigueur a pour objectifs la stabilité des prix et l’équilibre extérieur. Les différents instruments politique monétaire : taux d’intérêts (pour la relance, baisse des taux – pour la rigueur, hausse des taux) politique budgétaire : dépenses publiques, investissements publics, grands travaux politique fiscale : impôts politique sociale : revenus de transferts politique de revenus : SMIC, indexation des salaires sur les prix 

des différents états ont dû mener des politiques de relance à travers la politique budgétaire, c'est-à-dire à court terme et qui consiste à utiliser le budget pour atteindre certains objectifs. De ce fait, nous nous demanderons si, au sortir de la crise financière de 2008, les politiques budgétaires actives ont permis d'en atténuer les effets. Nous étudierons donc dans une première partie I-les politiques budgétaires actives ont permis d’atténuer les effets de la crise a) Constat * Utilisation