Sumitomo

strictement interdite. © Techniques de l’Ingénieur, traité Mesures et Contrôle R 460 − 5 RÉSEAUX DE CAPTEURS À FIBRES OPTIQUES ____________________________________________________________ ____________________________________ Corporation, Sumitomo ou Ericsson), et les essais site se sont multipliés, aussi bien dans le domaine initial de la surveillance de câbles de puissance (National Grid, MANWEB et BICC en Grande-Bretagne, Felten & Guilleaume en Allemagne ou EDF en France), que dans celui

155 252 156 172 157 118 158 142 159 135 160 102 161 162 325 163 177 164 180 165 89 166 178 167 193 168 176 Company RWE Medtronic US Bancorp American Express Alcon Lukoil Deutsche Bank Nintendo Hennes & Mauritz Intesa Sanpaolo Santander Brasil Sumitomo Mitsui Financial Societe Generale SabMiller United Parcel Service Walmex Bristol Myers Squibb Iberdrola Mitsubishi Volkswagen Banco Brasil Visa Altria Group Diageo Colgate-Palmolive Eli Lilly Ford Motor Blackrock Research In Motion Inditex Gilead

récapitulée dans la carte suivante : 3) - Classement des sociétés les plus capitalisées en 2006 : L’unité en milliards de Dollars 42 | P a g e Juin 1987 Société IBM (E.U) Exxon Mobil (E.U) General Electric (E.U) Tokyo Electric Power (Jap.) Sumitomo Mitsui (Jap.) Toyota Motors (Jap.) General Motors (E.U) Nomura HDG (Jap.) BT Group (G.B) Du Pont De Nemours (E.U) Capitalisation 90.18 44,07 36.93 32.50 26.10 25.25 24.67 23.20 20.41 20.09 Juin 2006 Société Exxon Mobil (E.U) General Electric (E

est constitué principalement de participations croisées entre différentes filiales ainsi que de participations bancaires. Dans la mesure ou des banques très puissantes font, elles-mêmes, parties de ces groupes gigantesques (par exemple, la banque Sumitomo, contrôle indirectement le groupe du même nom), la propriété du capital est extrêmement contrôlée (salariés, filiales, banques...) et donc parfaitement stable. De fait ceci permet d'avoir une vision a très long terme sans se soucier le la rentabilité

conglomraux est constitu principalement de participations croises entre diffrentes filiales ainsi que de participations bancaires. Dans la mesure ou des banques trs puissantes font, elles-mmes, parties de ces groupes gigantesques (par exemple, la banque Sumitomo, contrle indirectement le groupe du mme nom), la proprit du capital est extrmement contrle (salaris, filiales, banques...) et donc parfaitement stable. De fait ceci permet davoir une vision a trs long terme sans se soucier le la rentabilit immdiate

sur 1 an (%) Performance du cours sur 5 ans (%) 24% 39% 26% -5% 10,7x Echantillon sectoriel 21% 25% 15% +6% 14,6x En milliards d'€ Pays Capitalisation boursière au 31/12/2007 Sources : Tenaris Argentina 17,9 Vallourec France 9,8 Sumitomo Metal Ind. Japon 15,0 TMK Russie 6,5 Chiffre d’affaires, marge d’EBITDA et marge nette issus de OneSource (données 2006). Performance du cours et capitalisations boursières issues de Bloomberg au 31 décembre 2007. Répartition géographique

(contrôle ex post). Il est courant, en effet, que la banque principale détache des directeurs pour assurer le redressement d'une entreprise cliente, comme en témoignent le cas spectaculaire de la restructuration du constructeur Mazdapar la banque Sumitomo au lendemain du premier choc pétrolier (Pascale et Rohlen, 1983) ou les 42 cas étudiés par Sheard (1994). La banque principale est particulièrement bien placée pour contrôler I'entreprise cliente, d'autant qu elle en est également actionnaire (dans

spécialisés de bon niveau ; 87 publications dans la période de référence) et participation à plusieurs congrès. Les relations contractuelles sont d'excellente qualité. Nombreux contrats renouvelés, en particulier avec des industriels : Bayer, Sumitomo, BASF, Syngenta) et des organismes internationaux (OMS).  Appréciation sur le rayonnement, l’attractivité, et l’intégration de l’équipe ou du projet dans son environnement : L’équipe est Centre collaborateur de l’OMS pour l’évaluation

fer et crée des entreprises nouvelles. Une fois consolidées par l’État, ces entreprises sont privatisées et passent sous le contrôle de grandes familles japonaises ; c’est la naissance des zaïbatsus dont les plus connues sont Mitsui, Mitsubishi et Sumitomo. Celles-ci prennent alors la forme de sociétés par actions. Pour accompagner ces évolutions, le Japon met en place des institutions nouvelles ; création du yen (1871), de la Bourse (1878), de la Banque centrale du Japon (1882) et se dote de diverses

par Michelin en 1990 cité par Prat dit Hauret (2004) permet d’illustrer ces propos : « le nombre de producteurs de pneumatiques diminuera sensiblement au cours des vingt prochaines années, et ne survivront que les producteurs de grande taille. Si Sumitomo rachète Uniroyal, je perds une manche dans la course à la taille (qui est aussi une course à la survie), et une telle occasion ne se reproduira pas compte tenu des tailles et des caractéristiques des « petits » producteurs. […] J’investis donc, même