Sur Ma Mere Tahar Ben Jelloun

modèle de référence. Ces écrivains, dont Koffi Kwahulé fait partie, ont signé un manifeste, « Pour une littérature-monde en français » paru dans Le Monde des livres le 16 mars 2007. Celui-ci a été signé par 44 écrivains et dramaturges dont Tahar Ben Jelloun, Edouard Glissant, Nancy Huston ou encore Wajdi Mouawad et Amin Maalouf. Des écrivains et dramaturges de l'entre-deux, de l'exil, de la diversité, aux langues multiples, avec en commun une langue, le français. Se dessine en creux dans cette proclamation

1 – La civilité : - Le respect à l’égard des autres Dans la ruelle * « Des groupes de femmes s’étaient formés […] Elles étaient une vingtaine qui manifestaient bruyamment leur douleur » p : 83 - 85 Dans la maison (les voisins) * « Ma mère remportait auprès des voisins un gros succès » p : 14 2 – La solidarité : - Quand Lalla Aicha aide son mari en vendant tout ce qu’elle possède, quand il a fait faillite ; * « les malheurs de Lalla Aicha, la vente de ses bijoux […]

blesse mon prochain d’où qu’il soit, me blesse profondément ». Salam, Shalom- Hicham Ayouch Ce témoignage est un appel à la tolérance et à la paix et notamment entre juifs et musulmans. Son auteur Hicham Ayouch, tiraillée entre deux cultures (sa mère étant juive et son père musulman) se déclare musulman et juif et nous fais rire en parlant de sa «  schizophrénie identitaire » qui signifierait entre autre que sa partie musulmane et sa partie juive serait en désaccord. Il insiste sur la symbiose

années. 1. LES PREMIERS TEXTES Quelques auteurs, des fonctionnaires de l’administration coloniale pour la plupart, publient leurs textes (romans, nouvelles, poèmes). Le titre qui inaugure cette la série de productions littéraires en Algérie est Ahmed ben Mustapha, goumier de Benchérif. D’autres écrits appartenant à ce qu’on appelle le roman colonial émergent et révèlent quelques auteurs qui parviennent à s’affirmer grâce à leur talent de conteur. Ces derniers appliquent globalement les conventions réalistes

de Khadra est un de ses principaux atouts. Il est le plus souvent très évocateur, que ce soit dans les descriptions de la mer, du terrain vague comme dans celle des marginaux qui sont les héros du livre. Mais il n’a pas la poésie de celui de Tahar Ben Jelloun, ni le souffle baroque de celui de Boualem Sansal. La description bigarrée de tous ces marginaux où certains reconstituent une sorte de mini-Etat et d’autres ne s’abandonnent à aucune autre dépendance que celle du cœur est une belle idée. Mais

document 2, montrez le rôle qu’elle joue par rapport au texte de Lévy-Strauss (document 1). N’oubliez pas de citer le texte. (2 pts) Cette photo intitulée « La Sieste » est en noir et blanc ; elle présente une famille d’indiens au repos : père, mère et enfants – probablement – y reposent côte à côte, presque nus, à même le sol. Elle illustre bien le texte de Levy-Strauss puisque divers points évoquent la misère de ces gens : ils sont « couchés à même la terre », on devine alentour des « palmes »

1971 Françoise Mallet-Joris, membre depuis 1971 Michel Tournier, membre depuis 1972 Didier Decoin, membre depuis 1995 Françoise Chandernagor, membre depuis 1995 Jorge Semprún, membre depuis 1996 Bernard Pivot, membre depuis 2004 Tahar Ben Jelloun, depuis 2008, Patrick Rambaud, depuis 2008, Les dix membres de l'Académie Goncourt se réunissent chaque premier mardi du mois dans leur salon, au premier étage du restaurant Drouant, rue Gaillon, dans le deuxième arrondissement de Paris

politique en décrivant le drame algérien et le massacre quotidien et dont la prédominance de l’esprit de contestation. Citons ainsi, Rabah Belamri, Rachid Mimouni, Tahar Djaout, Amine Zaoui… Depuis les années 1980, on assiste pourtant à une réapparition du récit. Les écrivains maghrébins de langue française, notamment Tahar Ben Jelloun, Rachid Mimouni, ont recourt au genre romanesque en imitant un modèle d’écriture appelé le "modèle ancestral". Il recouvre à la fois les genres narratifs oraux

concept de littérature-monde au détriment du concept de littérature francophone. Cet événement a été suivi tout de suite de la parution de l’ouvrage intitulé Pour une littérature-monde. Les signataires de ce manifeste sont : Muriel Barbery, Tahar Ben Jelloun, Alain Borer, Roland Brival, Maryse Condé, Didier Daeninckx, Ananda Devi, Alain Dugrand, Edouard Glissant, Jacques Godbout, Nancy Huston, Koffi Kwahulé, Dany Laferrière, Gilles Lapouge, Jean-Marie Laclavetine, Michel Layaz, Michel Le Bris, le

F. Dostoievski : Crime et châtiment N. Gogol : le manteau A. Tchekov : la Cerisaie M.Gorki: la Mère A. Pouchkine: Eugène Oneguine B. Pasternak : le Docteur Jivago A. Soljenitsine: L’Archipel du Goulag