Sur Quoi Ma Conscience Morale Fonde T Elle Sa Légitimité

activer notre propre entendement, à ne pas nous reposer sur les conclusions d’autrui, à sortir de la condition de mineur conduit par ses tuteurs. Nous examinerons d’abord ce qui caractérise l’autorité, ce qui la fonde, quels sont ses effets et à quoi elle s’oppose. Puis nous verrons en quoi nous vivons une crise de l’autorité et comment elle se manifeste particulièrement dans la transformation du statut des enfants. Et nous poserons la question du sens d’une démarche qui chercherait à la restaurer

social à partir de la science politique. Les modèles pour penser la société viennent des sciences de la nature. Auguste Comte est considéré comme le fondateur des bases de la « sociologie ». 2. La sociologie : la chose. Une définition par l’objet ? Sur quoi travaille la sociologie ? Quel est l’objet sur lequel elle porte ? La sociologie est l’étude de la société. Mais la notion de société pose problème. Elle peut être représentée comme un corps unifié et organiste (on peut parler de « pathologies sociales »…)

ou une option ? Une fois la société constituée, se pose la question de son fonctionnement. L’enjeu devient alors méthodologique. Faut-il une instance pour gérer la société ? A-t-elle la faculté de s’autogérer Problème de l’apparition et de la légitimité de l’Etat. Entre Etat ultra minimal et Etat providence, quel choix doit faire la société pour se réaliser L’histoire du rapport entre la société et l’Etat est marquée par une opposition croissante. Au début on ne les distingue pas puis progressivement

hellénistique 2) l’âge classique : tension et ruptures * apogée et contradictions d’une critique prescriptive * de l’esthétique à la critique créatrice Chapitre II : des certitudes aux mutations 1) la critique, une science en quête de légitimité * divisions de la critique au XIX siècle * la littérature, objet de science ? * le point de vue de l’Histoire sur la littérature 2) la critique créatrice * Sainte-Beuve et la question de l’auteur * Proust : à la recherche du moi créateur

qui t’obéissent, écarte promptement ton vaisseau de notre rive : nous sommes innocents, nous sommes heureux ; et tu ne peux que nuire à notre bonheur. Procédés : interpellation, apostrophe, invective. Utilisation de l’impératif présent P2 (autorité morale du vieux Tahitien). Le tutoiement renvoie à la simplicité des mœurs tahitiennes marquées par l’égalité et la fraternité mais renforce aussi l’agressivité de l’apostrophe : Bougainville est personnellement mis en cause et accusé. Ce « tu » sera celui

linguistique afin que chaque monde devienne en même temps le sien. Il s’ensuit qu’être citoyen du monde revêt une double définition au sein d’une réflexion philosophique : c’est à la fois le sentiment ö 9 d’appartenance à une communauté universelle, fondée sur des valeurs propres à l’homme, et la capacité à communiquer dans un contexte de diversité linguistique et culturelle. Par conséquent, entreprendre une étude sur l’enseignement de la philosophie et de l’éthique dans un contexte plurilingue, s’explique

critère de distinction qui est le rôle de contrainte socialement organisé. (Texte n° 4) tous les mots ont une polysémie : il y a plusieurs significations c’est le cas du mot ‘morale’ au sens large : coutumes et les usages en vigueur dans une société On peut donner a moral un2e sens : la morale personnelle : il peut y avoir la morale sociale, personnel et les ind qui ont un autre point de vue du bien et du mal Ex : au 18e le marquis de Beccaria fait un plaidoyer contre une certaine conception de la

droit. Pour Easton il est hors de question de réserver une fonction à un acteur. Il y’a des acteurs sociaux (société civile) qui vont exprimer leur demandes. L’analyse des fonctions est plus complète. Elle porte sur la question de savoir : qui fait quoi ? Cela permet d’avoir une vision des dynamiques des systèmes politiques. §3 Les dynamiques des systèmes politiques Le droit à souvent une fonction de stabilité, il garantit les droits et libertés. Le système politique est en perpétuel évolution

les systèmes de règle moral et religieux. Ces systèmes ne sont pas identiques mais ils entretiennent une relation étroite. I) Le droit et la morale Moral : pas de véritable définition. C'est la science du bien et du mal. Ensemble de règles de conduite qui sont considérées comme bonnes. (exemple : il ne faut pas tuer quelqu'un). La morale édicte également des normes de comportement. Elle a pour objet de dire ce qui est bien et ce qui est mal. A la différence du droit, a morale relève du for intérieur

parties du corps humain, la procréation médicale assistée, les manipulations génétiques, le clonage thérapeutique, la recherche sur l’embryon posent des problèmes moraux inédits. Ecartelée entre principes et cas particuliers, la bioéthique tente de trancher sur des questions à la fois techniques et morales. I. Les fondements moraux de la bioéthique 1. Les principes fondamentaux Le risque biologique ou biorisque peut qualifier tous les dangers que des organismes vivants, allant des bactéries