Surmoi

le monde extérieur." Pour lui, c’est la psychanalyse qui peut nous faire comprendre l’inconscient, lui-même retenue pas le ‘’sur moi’’. Le Surmoi représente une intériorisation des interdits parentaux, une puissance interdictrice dont le Moi est obligée de tenir compte. L’être humain subit durant son enfance, une longue dépendance qu’exprime le Surmoi. Le surmoi est cette voix en nous qui dit “il ne faut pas”, une sorte de loi morale qui agit sur nous sans comprendre son origine. Le « sur-moi » nous

est agressive envers elle mais elle tentera de l’imiter pour lui prendre son mari. L’Oedipe est donc l’expression de désirs « inconvenants » non refoulés par l’enfant. Les adultes devront repousser ces désirs incestueux dans ce qui s’appellera le Surmoi qui est l’héritier direct de l’Œdipe. Ainsi donc, passé ce stade, l’enfant ne devra plus voir le parent du sexe opposé comme l’objet d’une pulsion sexuelle. L’enfant va y renoncer progressivement. Le garçon y renoncera par l’angoisse de la castration

conscience morale a elle aussi été façonnée par les autres. En effet, si l’on admet la deuxième compartimentation freudienne de l’esprit, alors le Surmoi serait alors le trieur de nos désirs profonds vers notre conscience. Cependant, qui façonne ce Surmoi ? S’il me vient un désir de tuer mes parents mais que je ne le réalise pas, c’est bien car mon Surmoi rejette cette idée et cela car ce n’est pas moral. Mais qui fabrique ma conscience morale ? Ce sont les autres. Par exemple, pendant la récréation

manière personnelle. Dépasser le stade oedipien est un long chemin d’intégration de la personnalité. Pour Freud c’est le complexe de castration survenant au sortir de cette période qui amènerait l’enfant à une période de latence puis de formation du Surmoi. Pour autant, faut-il obligatoirement que le père représente une menace de castration en réprimant la sexualité par son autorité pour qu’un petit garçon marque la fin de son oedipe ? C’est probable mais je pense qu’il est nécessaire de garder une

systèmes dotés de fonctions différentes «le Ça, pôle pulsionnel de la personnalité, le Moi, instance qui se pose en représentant de la totalité des intérêts de la personne et (...) le Surmoi, enfin, qui juge et critique1» L’analogie la plus criante est entre le destinateur (qui détient le système de valeurs et juge) et le Surmoi («qui juge et critique»). Celle qui existe entre le sujet (qui représente le Moi) et l’opposant (qui est le Ça) mérite en revanche une explication. Le psychisme humain fonctionne

le cadre théorique mais voir comment le théorique évolue de façon permanente. L’inconscient est centrale : idées, comportement… Freud va opérer la révolution, l’inconscient serait le chef d’orchestre du fonctionnement psychique : Ca, Moi et Surmoi. « Le Moi n’est pas maître de sa demeure » La psychanalyse ne se résume pas à la découverte de l’inconscient, l’inconscient n’a pas de localisation cérébrale (Freud a essayé de trouver sa localisation). L’inconscient ne peut pas être visualisé

guérir de certaines maladies. La publicité essaie de réveiller le ça. b) Le surmoi Il s’agit de la morale, de l’éducation, des règles qui ont été intériorisées par l’individu. Il englobe tout ce qui censure. Le ça et le surmoi sont deux contraires. c) Le moi C’est la manière dont chacun trouve un équilibre pour essayer de concilier le ça et le surmoi. Il peut être plus ou moins inhibé. La publicité peut essayer de jouer sur les deux aspects. Un

éponyme du fait qu’elle porte le nom même de son personnage principal, Yvette est publiée en 1884. Le problème qu’il semble largement poser ici, dans sa nouvelle, est celui du « combat intérieur contre nos désirs et nos pulsions », celui de l’égo et du surmoi, surtout dans la mise en scène des personnages tels que le nanti Jean de Servigny, et Yvette, d’ailleurs protagonistes principaux, appartenant à deux mondes bien distincts. Jean de Servigny, « était connu par ses noces autant que par son esprit, par

sommes gouvernés par des pulsions ou des tendances contre lesquelles nous ne pouvons rien ou sommes nous condamnés à subir « ça » ? Dans les topiques Freudienne, Freud affirme que le « ça » demande et le « surmoi » interdit. Le « ça » désignant les dynamiques aveugles des pulsions vitales et le « surmoi » désignant la censure inconsciente. Pour lui, le rêve serait « la voie royale » qui mène à l'inconscient. Sommes nous piégés dans le désordre du rêve ?

sociosanitaires et notion de valeurs.  = c’est l’adaptation aux règles socioculturelles en vigueur.  2) Le module théorique de Freud  2 topiques (= organisation psychique)  - le 1er : système inconscient, préconscient et conscient  - le 2ème : ça, surmoi et moi  ► l ’inconscient : pour Freud « c’est l’enfer qui nous gouverne », pour Lacan « c’est la mémoire de ce qui a été oublié » = c’est le lieu des désirs et des fantasmes refoulés. On explore l’inconscient grâce à l’analyse , les rêves, l’hypnose