Surmoi

en effet c’est une partie du psychisme qui a son fonctionnement propre dont le sujet n’a pas conscience. L’inconscient regroupe les zones d’ombre du sujet, c’est-à-dire, selon Freud, Le « ça » et le « surmoi », le « ça » étant l’ensemble des désirs régis sous la notion de plaisir, et le « surmoi » les interdits moraux intériorisés par le sujet. L’homme n’est donc pas libre de lui-même, il ne peut pas lutter, son destin est donc lié à la fatalité. Cependant l’inconscient ne serait-il que fatalité

du développement peut se passer sans problèmes. A partir de la puberté, au lieu d'expériences réparatrices, le sujet vit une éclosion de la psychose (entre 16 et 25 ans). Dans les psychoses, le Moi prend le parti du ça pour détruire la réalité du Surmoi. Il la remplacera par une néo-réalité qui est le délire . Ce délire sera bâti sur les exigences du ça. La personne psychotique n'a pas conscience de sa maladie . Les processus psychiques sont de type primaire. L'angoisse y est majeure, envahissante

et à la pulsion d'auto-conservation. Dans sa deuxième topique (ça, moi ,surmoi) vers 1920, il relit l'agressivité à la pulsion de vie (Eros), d'auto conservation et la pulsion de mort, d'auto-destruction (Thanotos). Plus précisément l'agressivité serait ''la source d'une relation objet ''ou'' à soi-même ''ou ''bien un conflit entre le moi et le surmoi'', puisque que l'on sait que le ça, le moi et le surmoi forment le psychisme de l'individu et qu'ils servent à réduire les conflits

mécanismes de la conscience que l’on peut avoir de soi, comme le montrent les travaux de Freud. L’inconscient est l’activité psychique se déroulant hors de la sphère consciente. D’après Freud, l’appareil psychique est composée du Ça, du Moi et du Surmoi. Le Ça est un réservoir pulsionnel visant à réduire les tensions afin de procurer du plaisir. On distingue les pulsions de vie et les pulsions de mort qui sont en conflit. Ces pulsions possèdent une énergie qui n’est jamais anéantie, mais elles peuvent

affirmant que ce moi, auquel chacun s’identifie, n’est qu’un petite partie de ce que nous sommes psychiquement. Il ne s’agit plus de penser le Moi comme dominé et maîtrisé potentiellement par un Je transcendant, mais de situer ce moi comme dominé par un Surmoi et un Ça eux-mêmes en bonne partie inconnaissables. En révolutionnant l’appareil psychique humain, Freud en offre une redéfinition dans laquelle non seulement l’inconscient définit l’homme

et, le parricide où nous voulons tuer celui du même sexe que nous. Nous avons des pulsions, des désirs que Freud a classé en trois catégories : le ça, le moi et le surmoi. Dans le ça on trouve le réservoir d'énergie psychique, c'est-à-dire toutes les pulsions. Dans le moi il y a l'homme qui se défend contre celles-ci. Et dans le surmoi ; ces pulsions sont soit autorisées soit refoulées, réprimandées. Ce sont des pulsions qui n'arrivent pas à s'extraire car on s'y refuse. C'est l'objet de la psychanalyse

libre-action des êtres humains. Le Ça est la faculté ou l’humain obtient ce qu’il désire et ce qu’il veut. Il s’agit de la forme la plus primitive de l’appareil psychique. Le Moi suis le médiateur. Il est le principe de réalité des désirs du moi et du surmoi. Le Surmoi est la police intérieure. Les apprentissages et valeurs inculquées prennent forme dans cette instance. Une liberté totale est malheureusement impossible puisque tout être humain est marqué par ses trois instances à proportion différente. L’humain

en doute. Freud nous aide à comprendre ce problème. Il dit qu’il existe autre chose que la conscience. Il définit trois niveaux de vie psychique : le ça, le moi et le surmoi. Le ça représente les pulsions comme la colère et les désirs. Le moi qu’on pourrait appelé la conscience a pour fonction se défendre contre le ça. Et le surmoi est tout ce qui est intériorisé. Nous pouvons contrôler uniquement notre moi, les désirs ou les pulsions peuvent donc prendre le dessus et nous nous sentons alors « hors

c'est à dire le pénis du père. De plus, elle attribue une très grande importance au surmoi, c'est à dire l’instance supérieure qui domine la société. Celui ci peut engendrer des conséquences plus ou moins variées sur l’enfant. En effet, si le surmoi maternel est trop terrifiant pour que l’enfant puisse affronter sa mère, cela pourra conduire à l’Homosexualité. Elle s’oppose clairement à Freud pour qui le surmoi ne part que du complexe d’Œdipe comme on le voit dans son article « Le développement

toujours entre l’eros (notre instinct de survie) et tanatos (l’energie de la mort, on se prepare a la mort), tout les decisions qu’on prend sont liees a ces deux poles Ca : impulsions naturels, tjrs avoir du fun Moi: adulte, équilibre entre ca et surmoi Surmoi: parent chez toi, controle de nos emotions Déséquilibre dans notre personnalité = desequilibre aux niveaux des poles Il cherche toujours la bariere, ce qui nous empeche de faire certaines choses Le jeu nous permet de nous rééquilibrer selon lui