Surmoi

d’une nouvelle partition de l’appareil psychique. Il détermine trois instances : ça, surmoi et moi. L’individu est dominé par des forces qui nous apparaissent inconnues et impossibles à maîtriser : le ça. Le ça nous pousse , dans le ça règne le principe de plaisir, c’est là que se logent nos exigences les plus insoutenables et nos désirs les plus extravagants. Pour tempérer les pulsions du ça il y a le surmoi, sorte de gendarme qui est soumis au principe de réalité et qui sert à tempérer les pulsions

classes de maternelle : 2 à 6 ans  Le principe de dérivation:  Trouver des dérivatifs à la réalisation des  fantasmes et désirs  Le jeu, les contes  Un point fort du développement II – L’enfant en classes de maternelle : 2 à 6 ans  Evolution du surmoi   L’enjeu de l’éducation parentale:  – Signifier les limites à la toute­puissance des désirs de  l’enfant,  – Réglementer leur réalisation,   L’issue de la « crise oedipienne »: le processus de  sublimation  – Déplacement  de  l’investissement 

Annexe 25: Inconscient, conscience, déterminisme et liberté. Freud et Sartre.1. L'inconscient. Analyse de la notion, premières tentatives de fixation conceptuelle. Le mot d'"inconscient" apparaît fréquemment dans nos usages quotidiens: on qualifie en effet d'"inconsciente" la personne qui ne se rend pas compte du danger qu'elle court ou du danger qu'elle fait courir aux autres (en allumant par exemple un feu en forêt en plein été). Pourquoi parle-t-on de cette personne comme d'un "inconscient"

Pour lui, elle est incarnée par le père de famille mais toute autorité parentale peut être potentiellement abusive en aliénant le sujetde manière inconsciente (Surmoi) et qui fera l’objet de dépendance, de faiblesse à l’égard des parents. L’enfant s’identifie au père, aux parents, internalise leur autorité et la transforme en l’instance Surmoi parental (et non du modèle des parents) et idéal du Moi. 2) La sexualité infantile et le cas du petit Hans Dans ses Trois Essais sur la théorie sexuelle (1905)

conte de fées s’adresse au lecteur dans un langage symbolique qui traduit un matériel inconscient .Ils font appel simultanément à notre esprit conscient et inconscient sous ces trois aspects :le ça,le moi et le surmoi et également aux besoins d’idéaux de notre moi .Les concepts de ça,moi,surmoi sont développés dans la méthode psychanalytique de Freud .Le ça est présenté comme ce qu’il y a de plus primitif chez l’homme ; c’est l’ensemble des pulsions ,de ce qui est inconscient,l’énergie qui nous pousse

en grande partie inconsciente. Le « ca » sollicite le « moi » pour qu’il l’autorise à se satisfaire. Le « moi » est une sorte de digue face au « ca » . L’IDEAL DU MOI : C’Est-ce à quoi on veut s’identifier. LE SURMOI : L’autorité social intériorisée sous la forme d’interdits. Le « surmoi » inhibe, refoule les pulsions du « ca » qui doivent être interdits. La culture suppose donc une trajectoire d’apprentissage et d’intériorisation par laquelle chacun voit sa personnalité façonnée par les exigences

expliquer que la libido est plastique, modelable. Ainsi, nous pouvons détourner la libido vers des buts qui ne sont pas sexuels. Le surmoi renvoie à l’intériorisation des interdits. Il y a une part consciente et une part inconsciente du moi. La personnalité se construit à travers la gestion des exigences du surmoi et du ça. Le moi subit des influences inconscientes du surmoi et essaye de répondre aux intérêts du ça en faisant des compromis. Il gère l’angoisse produite par les désirs refoulés et la culpabilité

sont considérés comme des troubles de la raison, donc comme des troubles moraux. Cette conception de la maladie mentale n’a pas disparu, même avec la révolution freudienne. En effet les freudiens considèrent la maladie mentale comme une faillite du surmoi. Ce dernier n’a pu se mettre en place faute de l’impossibilité de liquider le complexe d’Œdipe. Cependant ce que Freud apporte à l’anthropologie, c’est une nouvelle conception de l’homme qui destitue le moi de sa prétention à gouverner l’esprit humain

éveille en lui l’angoisse de persécution. (rancune du à la frustation,haine du à la résignation etc) Les pulsions destructrices à l’égard d’un autre provoque le sentiment que l’autre pourra devenir hostile. soi : personne entière = moi + ca+ surmoi le moi est dans le soi, le moi existe est fonctionne dès la naissance. Le moi est à l’origine de l’introjection et la projection. un enfant qui accepte de se nourrir montre que l’enfant est capable de surmonter la frustration. introjection :

individuelle mais également sociale et culturelle qu’est le surmoi. À partir de là, les mouvements et les relations qui se dessinent entre tous les personnages de l’œuvre mettent en scène des formes différentes de surmoi et des positions ou réponses vis-à-vis d’elles. Notre but, n’est donc pas d’associer à certains personnages telle figure surmoïque comme on pourrait spontanément le penser, faisant par exemple de Créon l’incarnation même du surmoi féroce et obscène. Cette démarche ne serait qu’une lecture