Surnaturel

effrayait le roi Jacques Stuart. L’apparition de Méphistophélès va changer le déroulement de l’action ; on assiste à des pratiques de la magie et des démons font leur apparition dans la narration. Mais, malgré l’apparition de ces nouveaux personnages surnaturels, on n’apprend rien d’extraordinaire ; Docteur Faust utilise la magie pour des choses insignifiantes : il moque les gens et visite l’Univers sur un dragon, mais il fait rien pour changer le monde comme il avait fait des plans. Le pouvoir magique

yeux ! » et « À quoi diable rêvait-il ? Quelle nouvelle lubie avait pris possession de sa trop excitable cervelle ? Quelle affaire de si haute importance pouvait-il avoir à accomplir ? » Le scarabée a un rôle déterminant, il a quelque chose de surnaturel (on a l’impression qu’il est en or) mais en même on pourrait croire qu’un tel insecte existe vraiment. Le narrateur croit que William est fou, il hésite à croire à la réalité. Une grande partie du texte est entourée de mystère ; on se popse

CONCLUSION Le roman se termine sur un symbole de fatalité puisque le train continue son chemin sans qu'on puisse l'arrêter, nous montrant que, malgré la mort des chauffeurs, la vie continue, imperturbable. De plus, il s'achève sur une vision surnaturelle (monstre), et est ponctué de phrases comme "Elle retombait durement dans l'angoisse du réel", "L'ordre naturel était perverti" qui prouvent que le rêve et l'irréel sont préférables à la réalité pour les personnages parce qu'ils servent à masquer

peut ajouter que le chiffre trois est récurrent dans les contes : Les Trois Souhaits de Charles Perrault, Boucle d’or et les trois ours, les trois essais de la reine pour faire mourir BlancheNeige, etc…), un « beau château » v. 28 et le pouvoir surnaturel et maléfique de la jeune femme dont le regard « laissait mourir d’amour tous les hommes à la ronde » v. 2. b) la réécriture de la légende … D’autre part, le poème « La Loreley » est fortement inspiré d’une légende inventée par le poète allemand

les douze magiciens mystérieusement apparus « s’evanouirent frappés à mort », comme des forces maléfiques. On assiste également au déchainement de l ‘orage et a sa fin à la fin du. Le poème relate un orage et le surgissement violent d'un événement surnaturel, puis un retour au calme, a l’ordre naturel des choses. Dans «Les Ponts », le décor évoque progressivement les ponts, les rives d'un canal, puis une tète puis disparait brutalement dans la dernière. La encore, la poésie révèle son pouvoir

éléments mystérieux apparaissent dans le récit et qui font appel au fantastique. L’enfant est tellement terrifiée « c’était quelque chose de plus terrible même que la terreur » (l. 84,85) que l’on peut imaginer qu’elle est possédée par un pouvoir surnaturel « cet état singulier qu’elle ne comprenait pas » (l. 91, 92). Le seul moyen qu’elle trouve pour retourner à la réalité est de compter jusqu’à 10 et de recommencer, comme un jeu qui pourrait la rassurer : « elle se mit à compter à haute voix un,

voit comme un fou ou un malade : :l.14,l.34 II) La modernisation du mythe d’Œdipe A) Le registre fantastique - Jocaste en fantôme : didascalie fait d’elle un pers onirique+« paraître » souligne son évanescence - Croyance surnaturelle expliquée par Jocaste : sub. de cause l.3 : seuls les aveugles voient les fantômes, ce qui est confirmé par la réplique énigmatique de Tirésias : l.15 : « ils »= Oe. et Antigone sous la « bonne garde » de Jocaste qu’il peut donc voir, lui aussi

ANALYSE SEMIOTIQUE DU CONTE « BABA YAGA » Introduction Le texte qui nous est propose à l’analyse syntaxico-narrative, s’agit d’un conte merveilleux dans la mesure où il y a présence du personnage surnaturel « Baba Jaga », celle-ci est toujours représentée comme une sorcière unijambiste (jambe d’os), vivant dans une chaumière sur des pattes de poule, sans porte, ni fenêtre. C’est une vielle femme affreuse, cruelle et qui mange des êtres humains surtout des enfants, en plus elle est

«maudits» car ils ont un pouvoir de mort sur «ceux qui (l)'ont regardée», indication encore de sa passivité mais aussi menace à l’égard de l’évêque qu’elle se plaît d’ailleurs à interpeller comme pour le prévenir du danger. Sorcière, son pouvoir surnaturel lui est étranger, elle l'exerce contre son gré sans le maîtriser et elle en est la victime, elle est elle-même ensorcelée. Cinquième distique : Elle précise que ses yeux sont «des flammes», ce qui renvoie à la brûlure de la séduction. Et, par

caches. « Le boucliers » : le metal vient temperer l’epanchement feminin. « Armoire a doux secrets » : Baudelaire cherche toujours la profondeur. V24 : la femme procure son seulement un plaisir charnel, mais aussi spirituel. V31 : un pouvoir surnaturel est attribue a la femme. Dans cette strophe il ya le mariage entre mouvement prospectif et mouvement alternatif. V 29-30 : les 2 sorcieres sont les jambes, c’est l’image renversee des jambes dans la robe. « Dans un vase profond » : la profondeur