Susciter Le Rejet Du Lecteur

Théâtre sacré  tragédie (Tibre)  comme le théâtre sacré (Garmier) met en scène la Bible, d’Aubigné met en scène les guerres de religion  tragédie humaniste. D’Aubigné ‘‘donne à voir’’ au lecteur des tableaux qu’il anime. Œuvre de témoignage sur les horreurs de la guerre, il veut les rendre tangibles au lecteur. Mais c’est un mélange des registres (pathétique, lyrique, satirique, réaliste,…)  écriture baroque : violence des sentiments exprimés, inconstance de la destinée, fragilité, surabondance

grand éloge de la paresse. Nous y étudierons alors tout d’abord la part du lyrisme qui est un attribut incontournable de la poésie, puis nous nous intéresserons à la partie humoristique du poème et enfin nous regarderons comment Saint- Amant réussi à rejeter et à se moquer de la préciosité à travers ces quelques vers. Le lyrisme est une expression musicale des sentiments du poète. Dans ce sonnet on retrouve beaucoup d’élément qui caractérisent le style lyrique. L’utilisation de la première personne

la caricature et l’agressivité des ridicules. | Oratoire | Expression qui cherche à persuader le lecteur. Emploi massif du je/nous/vous. Interrogations et apostrophes. Questions oratoires. Anaphores. Images contrastées, impératif, phrases amples, présence d’antithèses… On lui rattache la variante polémique caractérisée par la violence des attaques, le dénigrement, le rejet… | Identifier le genre littéraire Les genres du récit | Le théâtre | La poésie | Racontant

acteur par ses réactions et ses propos exagérés. Les personnages s'affrontent entre eux et le lecteur devient spectateur de la scène tout comme Meursault. Effectivement, de façon paradoxale, ce dernier est exclu de son procès et ne semble pas réellement s'y intéresser. Il porte un regard extérieur et naïf sur les événements qui l'entourent. Cette scène absurde devient presque comique ce qui peut amuser le lecteur. Ensuite, j'admire le personnage de Meursault. Son indifférence à l’égard du monde qui l'entour

L’Anglais en question semble être un philosophe, plein de raison, contemporain, John Locke. « Plein de Lumière et d’humanité » est un groupe binaire renseignant le lecteur sur son intelligence, sa raison, sa sensibilité. Louis de Jaucourt procède presque à la citation de la pensée de John Locke « Les nègres […] ne sont point devenus esclaves par le droit de la guerre. » Chaque Homme dispose de sa liberté par un droit

d’étude : La poésie du XIXème siècle au XXIème siècle Œuvre intégrale : Baudelaire, Les Fleurs du mal , 1857 Parcours de lecture : Alchimie poétique : la boue et l’or Séance : Lecture linéaire 1 : « Au lecteur », poème liminaire Aperçu sur l’œuvre et sur l’auteur Le recueil Les Fleurs du mal est divisé en 6 sections de longueurs très inégales puisque

mettre en chemin vers un philosophe, à aborder une philosophie, il est bon de nous demander ce que nous y cherchons. Ce que nous en attendons. La chose semble absurde: ce n'est pas le lecteur qui apporte ses attentes, mais bien le philosophe qui offre un discours inédit, et la seule chose qu'a à apporter le lecteur, c'est sa disponibilité, sa capacité à recevoir ce que précisément il n'attendait pas, ne pouvait ni découvrir seul ni même s'y attendre: la parole du philosophe quel qu'il soit est originale

dans un témoignage avec la formule « je vis », d’un événement présenté comme authentique. Montaigne relate un événement qui lui est réellement arrivé et dont il à été le témoin oculaire, présence d’anecdotes réelles qui le rend crédible face à son lecteur. Grace à l’appuie de nombreux détails précis et d’un compte rendu objectif on peut affirmer que nous sommes dans un récit circonstancié où Montaigne s’efforce de donner l’image la plus précise et la plus fidèle de cette créature qu’il a eu l’occasion

autodérision Épidictique comique Thème 2 Araignée animal/ plante répugnants Éloge du pou Crapaud, poète une personne exclue Éloge du peigne Figure de 3 style antithèse Comparaison (l5 et 6) personnification hyperbole interpellation du lecteur Comparaison animalisation métaphore vers 10 Personnification vers 16, 37 antithèse vers 18, 42 Morne = triste chétif = maigre persifleur = railleur = moqueur les quartes texte du corpus sont des poésie en vers (texte A,C,D) tandis que

vers une Beauté transcendante, « idéale ». Et en effet, la description de la charogne est, certes, horrible, mais elle invite également le lecteur à réfléchir sur les fonctions de l’art. Comment le poète nous invite t-il à mener cette réflexion ?* Nous verrons d’abord qu’il fait un peinture macabre de cette charogne, pour susciter une vive réaction chez le lecteur, au moyen également d’un jeu d’oppositions. Enfin nous analyserons les enjeux de cette description, articulés autour des thèmes du memento