Susciter Le Rejet Du Lecteur

Donc le plaisir de la lecture du lecteur et primordiale pour captivé l'intention de celui-ci sur l'objectif de l'auteur . En effet il y a des genre «ennuyant» ,long et compliquer c'est le cas de l'essaie ou le roman . Alors que le comte et l'apologue sont de cour récit dans lesquelles les événement y sont schématiser et ramener a leur signification symbolique, sans l'abondance des détaille. Les personnage eux aussi sont schématiser .Il n'intéresse pas le lecteur en tant qu'être existant individuellement

 LES REGISTRES Le texte littéraire vise à produire une émotion sur le lecteur. Le registre traduit cette impression particulière que produit un texte sur la sensibilité du lecteur, qui peut aller du plus grave au plus joyeux (faire rire ou pleurer…). Les registres sont d’abord associés à certains genres (le tragique à la tragédie, l’épique à l’épopée, le comique à la comédie…).Mais ils dépassent les frontières de ces genres qui ont parfois disparu (L’épopée disparaît en tant que genre au

justifier l’esclavage en utilisant un ton neutre et objectif. Toute fois les arguments avancés sont d’une telle absurdité qu’ils suscitent… En donnant à entendre les arguments des esclavagistes et en les ridiculisant, il parvient à convaincre ses lecteurs du contraire de ce qu’il avance, on note l’efficacité de l’argumentation indirect fondée sur l’emploi de l’ironie. Supplément au voyage de Bougainville, Diderot Introduction : Cette œuvre est conçue comme un dialogue opposant 2 façons

d’un être aimé. Ceci nous conduit à nous demander dans quelles mesures le poète se sent-il mal aimé dans ce corpus. Afin de répondre à cette question nous verrons en quoi le poète est un être mélancolique et dans quelles mesures celui-ci peut être rejeté par la société de son époque. Tout d’abord, à travers les textes de Verlaine (texte A), Baudelaire (texte B) et Corbière (texte C), le poète utilise le registre pathétique pour montrer sa mélancolie, son mal-être. Ce spleen que ressentirent

destiné à légitimer le coup d'état. Prés de 7 millions d'électeurs émettent un vote favorable au Prince-Président, contre moins de 650.000 opposants. Un an plus tard, Louis-Napoléon se fera élire empereur sous le nom de Napoléon III . Cette politique suscite l'indignation de Victor Hugo, qui se rallie au camp républicain. Contraint à s'exiler dans les îles anglo-normandes, Hugo écrit "Les Châtiments" (1853), un recueil de 6000 vers où il exprime une réprobation violente et passionnée : "six mille vers

d’images saisissantes la face sombre de son esprit. Le ciel est par exemple comparé à un mur de caveau alors que l’Espoir, placé en contre-rejet, disparaît comme un navire qui coule dans le dernier tercet. Il reste que l’expression de sentiments personnels, variés chez Baudelaire, semble rester essentielle à sa poétique. Extrait 4 : S’adressant à son lecteur, le poète ne se contente pas d’exprimer. Il cherche à faire partager des idées. En effet de nombreuses causes ont donné naissance à de

s’effritent puis tombent. La vieillesse est décrite dans son ensemble par une accumulation d’adjectifs posés bout à bout, tous plus écrasants les uns que les autres. La touche finale est apportée par le rejet du dernier adjectif, « hideux », qui est accentué. leurs yeux traduisent le désir que suscite en eux cette fraîche jeunesse. Hugo extériorise sa profonde aversion (« comme je les hais »), visible aussi par la ponctuation expressive et abondante. Il se révolte une fois encore contre ces vieux, rongés

I- Un art de la mise en scène Hugo-poète emprunte souvent ses effets à Hugo-dramaturge. C'est la cas dans ces vers où, explicitement, le tyran interpelle des complices. On peut y voir aussi un sorte de monologue intérieur que le lecteur entendrait grâce à un artifice comparable à ceux utilisés au théâtre. Un tel discours n'a, bien sûr, jamais été prononcé mais le procédé est saisissant. Nous voici à l'écoute d'une pensée brute et non d'un discours politique élaboré, dès lors au fondement même

montre l'antithèse entre "jeune" et "vieux" qui tous cherchent à l'éviter. Enfin de par sa solitude la Vérité apparait comme un personnage pathétique. L'auteur la désigne tout d'abord par l'expression "la pauvre vérité" qui attire la compassion du lecteur tout comme la métaphore filée de la mendiante. En effet, le fabuliste assimile la Vérité à une vieille femme quêtant l'hospitalité. Elle est « seule sur un chemin » et cherche "un asile où pouvoir habiter" puis explique à la Fable : "aux passants

poèteaffirme que la modernité est liée à l'esthétique de la surprise. Nous pouvons définir la modernité comme étant le caractère de ce qui agit en conformité avec son temps . En ce qui concerne la surprise, elle représente ce qui est inattendu et suscite l’étonnement. De ce fait, nous nous interrogeons en quoi ces aspects de la modernité sont présents dans les poèmes du recueil alcools ? Afin d’y répondre, nous allons dans un premier lieu exposer en quoi la Modernité dans Alcools repose sur une esthétique