Susciter Le Rejet Du Lecteur

les actions possibles de la littérature. En quoi la littérature peut-elle être un facteur de changement dans le monde ? Nous allons y répondre en deux parties, tout d'abord nous verrons que la littérature a pour rôle de persuader et convaincre le lecteur et nous exposerons ensuite ses limites. Les textes engagés sont sans doute un grand facteur de changement dans le monde. Les auteurs cherchent à faire passer un message à travers leurs textes, qu'ils soient sous forme de chanson, poésie, roman

le poète réussit il à travers son art à révéler et exprimer la notion de liberté .C’est au travers de ses poèmes engagés que le poète peut dénoncer des situations ou la liberté se retrouve bâillonnée .C’est aussi à travers son rejet des conventions que le poète peut susciter ou suggérer la liberté. Eluard dans son affirmation « le poète de son temps mène les hommes au combat » définie la fonction essentielle de la poésie qui dépasse sa valeur purement artistique et devient un moyen d’expression

texte narratif raconte un événement et en situe le déroulement dans le temps et l’espace. Le texte descriptif tente de dépeindre (pour le lecteur) un lieu, un personnage, une classe sociale, etc. L’accent est donc mis, généralement, sur la précision du vocabulaire. Le texte argumentatif peut se retrouvrer dans un roman. Sa fonction est de convaincre le lecteur ou l’interlocuteur d’adopter un point de vue, une idée. Le présent a différentes valeurs : - il exprime l’action immédiate ou en cours, -

littérature n’a pas besoin d’être charger d’une mission. Il choisit le beau, parce que à travers le Beau, le poète peut élever l’homme au-dessus du quotidien, le beau est un pouvoir immense. Pour lui, le but sacré de la poésie, c’est de susciter des émotions chez le lecteur, de le faire surpasser le banal, laideur pour atteindre l’idéal. À la différence des Parnasse, Baudelaire ne refuse pas l’existence du sujet lyrique, il ne doit pas être froid, impersonal, neutre, objectif. Pour lui, il faut qu’il ait

et si : insiste encore sur l’opposition → il n’est pas fait pr ça - mais : rejet total de Julien - manie : presque obsession - odieuse : insupportable - : juxtaposition qui pose la cause de ce rejet- presque jaloux, renforce le côté paysan pour qui lire est qqch de futil→ portrait opposé entre Julien et sa famille il est à partPartie 2

métamorphose – Franz Kafka La métamorphose est une longue nouvelle sur la solitude, la monotonie et le rejet par la société de l’anormalité. A travers ce récit, Kafka met en scène Gregor Samsa soudain métamorphosé en un « énorme cancrelat ». Franz Kafka ne dévoile pas les sentiments des personnages mais les retranscrit pour faire ressentir ce sentiment de mal être au lecteur. Il racontera les efforts de la sœur, Grete à l’égard de Gregor et la méfiance des parents. Gregor comprendra l’attitude

par les personnages ; les codes et règles classiques sont rejetés (drame), au profit d’une « libération de l’art ». Hugo dit ainsi qu’il faut représenter « le sublime comme le grotesque ». 3: Le Voyageur au-dessus des nuages, Friedrich, peinture, vers 1818 L’auteur recherche avant tout à exprimer des sentiments, des sensations, souvent contradictoires ou excessifs ; le texte est généralement écrit à la première personne, pour que le lecteur puisse s’identifier aux personnages. On observe ainsi l’essor

L’interprétation de la métaphore n’est possible que grâce au rejet du sens propre, dont l’incompatibilité avec le contexte oriente le lecteur ou l’auditeur vers le processus particulier de l’abstraction métaphorique », « c’est cette intervention de l’incompatibilité sémantique qui permet d’expliquer l’effet comique ou ridicule produit par certaines métaphores » . Michel Le Guern explicite son idée en donnant un exemple de Voltaire qui suscite la drôlerie. Mais la métaphore, et la figure de style en général

notre siècle »(…) « et tandis que l’honneur de tant de carnage et barbaries fidellement rapportées à nos oreilles me frappoit l’imagination, je conclus en moi-même de marcher en la piste de la mort et te monstrer, ami lecteur, l’infirmité et misère de notre condition. » (Préface au lecteur du Mépris de la vie). Mais la méditation de la mort est aussi naturelle à son tempérament. Reprenant mot pour mot un texte de Montaigne, il déclare : « A ceux qui voudront affirmer que la mémoire du trépas peut rarement

affectif. Ce spectacle suscite une réaction émue de candide : « Eh ! Mon Dieu ! » comme en témoigne l’usage des exclamations et interrogation suscitant surprise et pitié de même que l’adjectif hyperbolique « horrible ». La bonté de Candide se traduit dans l’appellation affectueuse : « mon ami ». La description précise et cohérente donne une impression de vérité. Cette neutralité entre en décalage avec l’ « état horrible » de l’esclave et a pour but de faire réagir le lecteur. En outre, cette