Suspense

qui donne un réalisme absolu à l’histoire. Par ailleurs, le suspense est maintenu tout le long du récit. On ne connaît que tardivement l’identité de Maître Frenhofer et on reste sur le qui-vive jusqu'à la découverte de l’œuvre. On espère découvrir un tableau d’un rare réalisme, le portrait d’une femme à la beauté étincelante et au final on reste sur sa faim car on ne saura jamais à quoi ressemble cette Belle Noiseuse ; le suspense est maintenu jusqu’au bout. En outre, j’ai supposé que cette

caractéristique du style oratoire. Dans la question il nous présente le cas extrême de l'homme qui a perdu son fils unique depuis deux mois, qui est accablé de procès et qui semble cependant ne plus y penser. Pascal amène la réponse en entretenant le suspense : « ne vais en étonner point ». Avant d'apporter une solution à peine convenable, il est tout occupé par une partie de chasse. Le commentaire de Pascal est bref et ironique : « il n'en faut pas davantage ». · b) L'auteur reprend le paradoxe de

jeune fille "pensive" et la décide à dire OUI. => La Nature apparaît complice des amants, cause ou reflet de leur désir. 3° AXE : LA MISE EN SCÈNE DU COUP DE FOUDRE La rencontre est dramatisée, un effet de mystère et de suspense est créé par : 1) Le coup de foudre : Dés qu'il voit la jeune fille, le poète est fasciné : "je crus voir une fée". La jeune sauvageonne est décrite comme une apparition surnaturelle. L'embrasement amoureux est immédiat. La scène se déroule

pathétique. A l'inverse, la Fable apparait comme un personnage flamboyant, riche et séduisant qui est donc supérieur à la Vérité. Son entrée est remarquable, elle frappe les "yeux" de la Vérité et est décrite avec un effet de suspense "à ses yeux vient se présenter / la fable", ce suspense est accentué par le rejet. La Fable effectue donc une arrivée digne d'une actrice. L'auteur décrit ensuite la richesse de son habillement par une juxtaposition : la fable est "richement vêtue, portant plumes et diamants

(alternance récit/ description ; effet de suspense en fin de chapitre…happy end ) o Les thèmes : Selon le double objectif : instruire et divertir induisent des thèmes choisis  Repérage intéressant de l’évolution de la thématique (cf le dépassement actuel des tabous traditionnels : mort sexe …) o L’objet et l’image : - La longueur du texte s’adapte au public visé - Le titre est court et évocateur : laisse entrevoir l’action à venir ou un suspense ; évoque un lieu ; contient le nom

Thérèse Desqueyroux, François Mauriac, Ch.1. Lecture analytique, extrait 1, de « L’avocat ouvrit une porte » à « trouve autre chose… », p.23 à 25. Questions : Comment cet incipit réussit-il à créer le suspense ? Qu’est-ce qui fait l’intérêt de ce début de roman ? En quoi cet extrait constitue-t-il l’incipit ? Louis Aragon affirme : « Le roman, c’est la clef des chambres interdites de notre maison », en ce sens que le roman permet de dévoiler les méandres secrets de notre for intérieur et

grâce » met en valeur, non seulement sur le plan de la structure mais également par la contradiction des termes la terrible hésitation d’Hermione. Elle est dominée par ses sentiments : «  Je tremble… » Les multiples hésitations d’Hermione créent du suspense pour le spectateur, elle alterne d’une façon très vive, les arguments en faveur de la mort de Pyrrhus et les arguments contraires à cette décision, quel choix va-t-elle faire ? Le vers suivant : «  A le vouloir ? Hé quoi ? C’est donc moi qui l’ordonne 

l’honneur, du pouvoir et des contraintes. Racine rédige en 1670 Bérénice, pièce dans laquelle la tragédie nait de l’affrontement des deux héros : Titus et Bérénice. Le besoin d’une supériorité de l’un sur l’autre marque fort le lecteur très tôt, et le suspense crée dure jusqu’à la dernière réplique. La passion que lie Titus à Bérénice détruirait celle qu’il a pour Rome et ce dernier se retrouve face à une décision où l’Empire remporte la bataille, durant laquelle le spectateur assiste aux réflexions personnelles

Dans une deuxième articulation nous avons les sentiments de la Marquise de San Réal , qui apparaît comme une harpie, un animal furieux. ON voit donc toute la dimension du crime passionnel dans l’extrait proposé . Ce dernier est la touche finale , le suspense tombe. L’homosexualité est révélée . A cela s’ajoute le lien de fraternité entre les deux amants de Paquita, on comprend enfin toute les subtilités du livre tel : «  la même voix » , « la même odeur » de Paquita lorsqu’elle rencontre De Marsay.

elle dissimule qu’elle souffre du rejet, comme l’indiquent les mots “dissimulation” et “souffrance”, qui la blesse dans son ego et explique cette pensée. “Enfin sa dernière consolation lui échappa” est une phrase qui anticipe et qui instaure donc le suspense. Le narrateur raconte en mettant en scène cette phrase “Je suis la plus belle!” qu’elle devait se répéter à elle-même tel un mantra, pour se rassurer, car c’est ce qu’elle désir au fond: être admirée, courtisée. Vaniteuse, orgueilleuse et cherchant