Suzanne Duchamp

Intro : Jeff KOONS est un artiste américain né en 1955. Plasticien touche-à-tout, il s’intéresse aussi bien à la sculpture qu’à la peinture, en passant par le collage. Dans son œuvre des années 80, il a haussé l'héritage du ready-made de Marcel Duchamp sur un nouveau plan : il y a appliqué les principes pop du consumérisme de masse. Il est généralement considéré comme un artiste néo-pop de par ses œuvres et les enjeux de ces dernières, mais nous verrons qu’il n’est pas classé que dans un seul mouvement

puisque le futurisme dure de 1904 à 1920 et que l’œuvre est datée de 1913. Même si le futurisme est surtout représenté en peinture, cette sculpture y correspond de par ses caractéristiques. 
Elle est par exemple très similaire à l‘œuvre de Marcel Duchamp Nu descendant l’escalier (1912) qui peut aussi être rattaché à la tendance futuriste. Le mouvement de déplacement (ici vers le bas) est bien présent tout comme chez Boccioni. La représentation du corps y est aussi très modifiée, géométrique. Les jambes

et Merce Cunningham. En 1958, lors de sa première exposition solo à la Galerie Leo Castelli de New York, Jasper Johns présente ses premières peintures à la cire représentant des drapeaux, des cibles et des nombres. Après sa rencontre avec Marcel Duchamp, Johns commence vers 1960, une série de sculptures représentant des objets ordinaires, comme des ampoules électriques ou des boîtes de bière. Il réalise également des dessins et des lithographies. Jasper Johns compte parmi les représentants majeurs

Lamba et leur fille Aube arrivés depuis peu à Marseille[10]. Les dimanches après-midi, la villa reçoit d'autres artistes, surréalistes ou non : Arthur Adamov, Hans Bellmer, Victor Brauner, René Char, Frédéric Delanglade, Oscar Dominguez, Marcel Duchamp, Max Ernst, le photographe André Gomès, à qui l'on doit de nombreuses photos de cette période, Peggy Guggenheim, Jacques Hérold, le comédien Sylvain Itkine, Wifredo Lam, André Masson, Péret, Tristan Tzara, Remedios Varo, Wols et Ylla (Camilla Koeffler)[11]

Emmanuel Rudnitsky, dit Man Ray Artiste américain (Philadelphie 1890-Paris 1976). Il se consacre à la peinture en 1907, en vient à un cubisme ironique proche de l'abstraction (1915), découvre la photographie et anime, avec Duchamp et Picabia, l'activité dada à New York (premiers objets, 1917). En 1921, il s'installe à Paris comme photographe (l'un des plus rigoureux portraitistes de l'époque) et se joint au mouvement surréaliste. Il invente, en 1922, les rayographes (silhouettes d'objets posés

utilisé le collage selon leurs personnalités propres, mais Dada n’a vraiment révélé à Paris que deux artistes majeurs : Marcel Duchamp et Francis Picabia. Réformés dès 1914, Duchamp et Picabia, s’embarquent pour l’Amérique, où ils rejoignent un autre Dadaïste célèbre outre-atlantique, ManRay. Dès lors, les maîtres mots ne sont plus que dérision, et Marcel Duchamp pousse la dérision jusqu’à affubler d’une moustache et d’un petit bouc, La Joconde de Léonard De Vinci, l’œuvre la plus célèbre

18 novembre 1976, à Paris en France. Représentant du dadaïsme a New York puis du surréalisme a New York il est un ami proche de Marcel Duchamps avec qui il forme la branche américaine du dada et avec qui il collaborera sur de nombreux cliche dont celui de Marcel Duchamps déguise en Rrose Sélavy Sa carrière commence à New York. Avec son ami proche Marcel Duchamp, ils forment la branche américaine du mouvement Dada. Après quelques expériences artistiques infructueuses, notamment une publication sur

MARCEL DUCHAMP 1887 - 1968 Marcel Duchamp est le troisième d'une famille de six enfants, dont quatre sont des artistes reconnus. Ce sont d'ailleurs ses frères aînés qui l'initient à l'art. Après une scolarité à Rouen, Marcel Duchamp rejoint ses frères en 1904 à Paris et suit des cours à l'Académie Julian. A partir de 1909, il commence à réaliser des toiles inspirées de Cézanne et fréquente les "cubistes dissidents", comme Gleizes et Metzinger. En 1913, "Le Nu descendant l'escalier" est exposé

marché de l’East Village, à Manhattan, que l’artiste dispose sur des plaques de miroir ou de Plexiglas. Koons raconte s’être arrêté de peindre pour acheter des objets, ayant à cœur de rejouer le «readymade », geste clé de la modernité dont Marcel Duchamp est l’initiateur. Les objets choisis par Koons véhiculent une esthétique fortement liée à la culture populaire, rappelant le pop art. À travers l’usage des miroirs, les Inflatables citent ostensiblement le vocabulaire plastique minimaliste de l’artiste

désorientation, la démoralisation de toutes les valeurs admises sont pour nous d’indiscutables directives. Le mouvement ne dure pas très longtemps puisqu’il n’a pas vraiment de ligne directive (avec sens), désorganisé, se référé à rien. Marcel Duchamp et le ready-made (déjà fait) Fontaine, 1917 ( Urinoir à l’envers) C’est une œuvre d’art qui est faite à partir d’un objet fabriqué en industrie, choisi par l’artiste, Doté d’un titre, signé par l’auteur, parfois modifié, transformé ou assemblé, parfois