Swatch

continuent à exercer leur force. Après une période hédoniste et pragmatique, les marques adoptent beaucoup aujourd'hui le registre de la contrainte paradoxale en créant un climat d'achat pulsionnel et soi-disant structurant. Des entreprises comme Benetton, Swatch ou Lacoste se positionnent ainsi comme des prédicateurs; situées au sommet de la pyramide des marques internationales, elles fixent arbitrairement l'ordre ou la transgression en s'appropriant le pouvoir symbolique. Dans son livre Du Ricard dans mon

Switzerland Switzerland Switzerland Switzerland Germany / USA Switzerland Switzerland Switzerland Switzerland Switzerland Liechtenstein Switzerland Notes Owned by BASF Roche Patent litigator ("patent troll") Nestle Subsidiary of Swatch Group Subsidiary of Swatch Group German co., owned by Danaher (USA) Incorporated in Delaware Education / Research institution Patent acquirer / licensor Source: US Patent Trademark Office. 10    Country Diamond Switzerland’s Factor Conditions are a

voire unique par le consommateur. Elle peut porter sur le produit mais aussi sur la marque, l’emballage, la publicité, l’image de marque. Elle caractérise souvent les entreprises leaders considérées comme les benchmarks sur les marchés : exemple de SWATCH ou de HARIBO). Elle vise à créer un marché captif. Lien avec le cycle de vie : c’est une stratégie souvent imposée par les marchés et développée en phase de maturité (réponse à la demande de nouveauté). Exemples en marketing industriel : différents

personnalité et inventer sa vie. * S’amuser pour rester jeune et vivre de nouvelles aventures. A quoi reconnaît-on un adulescent ? « Ils roulent en New Beelte jaune acidulé, se sont choisi une coque de portable à l’effigie de Bob Marley, portent une Swatch fluo au poignet et sont analystes financiers, formateurs, commerciaux, attachés de presse, chefs de projets ou directrices marketing. Quand ils sortiront du travail, ils prendront leur scooter ou bien enfileront leurs rollers. S’ils ne vont pas au

dans le monde s'il n'y avait les lecteurs dans des endroits spécifiques à travers le monde. Les renseignements personnels mai également être incorporés dans ces balises donnant des informations aussi détaillées que vos antécédents médicaux. Prada et Swatch utilisation intégrée des balises dans leurs vêtements, et Benetton ont réussi aussi bien, mais un boycott de Benetton a été une réussite et ils ont enlevé leurs tags. Il n'existe aucune loi contre les entreprises enrobage balises, et seulement par

d’optimiser les rapports produit/consommateur et client/enseigne. Domaine d’application : essentiellement MDD, premier prix, packaging, merchandising d) Le merchandising de séduction Quiksilver New York / Nike Town (Paris :plus magasins vitrines) /Swatch Soho/Swaroski Tokyo e) La collaboration industriel-distributeur En merchandising, l’industriel a des informations sur ses produits, ses marchés, ses clients, ses concurrents. Le distributeur a des informations sur ses ventes. A partir de

son pôle luxe emmené par Gucci, qui comprend aussi Bottega Veneta, Yves Saint Laurent, Balenciaga ou Boucheron. Et le ciel est tout aussi bleu pour les suisses Richemont (Cartier, Piaget, Baume & Mercier, Van Cleef & Arpels, Montblanc, Lancel) et Swatch Group (Breguet, Blancpain, Omega, Longines), le britannique Burberry ou l'italien Prada. Le problème d'un Hermès ou d'un Vuitton ? Produire suffisamment pour satisfaire une demande qui explose. Entre 1995 et 2011, le marché du luxe est passé de 77

• Extension de la gamme => vers le bas. Armani = costume 4500 euros Giorgio Armani = costume 2500 euros Emporio Armani = jean 100 euros Largeur changement de marques mais profondeur changement de produit. • Extension vers le haut Swatch ; Ralph Loren, Lorsque l’on travaille sur la profondeur, on travaille sur le volume de clients. La marque : Tous les produits ont une marque. • Soit bon de marque individuel : lessive. • Marque ombrelle : un seul nom qui va couvrir

masse. D’ailleurs, les symboles de cette occidentalisation du monde ne sont pas tous américains : on cite Coca-Cola et MacDonald’s, certes, mais on pourrait ajouter le yaourt Danone, le baladeur Sony, le téléphone portable Nokia, la montre-bracelet Swatch, etc... III. LES RÉSISTANCES À LA MONDIALISATION 1) Un « choc des civilisations » ? DOCUMENT L'article de Samuel Huntington, paru en 1993 dans la revue Foreign affairs, « Le choc des civilisations », a immédiatement concentré l'attention

procès : modifie ou améliore le processus de fabrication. Attitudes typiques : → Suivi du leader : on laisse l'entreprise leader prendre les risques & en subir les conséquences, puis d'autres entreprises lancent des produits approchant (ex : swatch). → Occupation des créneaux : on cherche de nouveaux utilisateurs, utilisations, ou utilisations + fréquentes ou variées d'un produit existant sur le marché. Ex : ordinateurs portables. → Entreprises à capital risque : ont pour objectif de financer