Sylla Plutarque

(412–485) conclut la polémique dans sa Vie d'Homère, en disant que celui-ci fut avant tout un « citoyen du monde ». En fait, nous ne savons presque rien sur la vie d'Homère. Huit biographies anciennes nous sont parvenues, faussement attribuées à Plutarque et Hérodote : elles s'expliquent par l'« horreur du vide » des biographes grecs[5]. Elles datent pour les plus vieilles de l'époque hellénistique et regorgent de détails aussi précis que fantaisistes, dont certains remontent à l'époque classique

toute la ville des Mamertins, contre laquelle il estoit fort animé, en consideration de la vertu et magnanimité du citoyen Zenon, qui se chargeoit seul de la faute publique, et ne requeroit autre grace que d'en porter seul la peine. Et l'hoste de Sylla, ayant usé en la ville de Peruse de semblable vertu, n'y gaigna rien, ny pour soy, ny pour les autres. Et directement contre mes premiers exemples, le plus hardy des hommes et si gratieux aux vaincus Alexandre, forçant apres beaucoup de grandes

débris de sa flotte disparaissent près du promontoire de Mycale. Sous le règne d’Artaxerxés-Longue-Main, les victoires de Cimon donnent à Athènes l’empire de la mer, rêvé par Thémistocle. La révolte d’Inarus en Égypte, quoique étouffée, 1 Plutarque, Vie d’Alexandre. Alimentum fame sœvius. Senec., De Ira. 3 Daniel, cap. XI. 2 I. LA GUERRE DEPUIS LE COMMENCEMENT DU MONDE 13 coûte aux Perses 300.000 hommes. La révolte de Mégabyze leur coûte encore plus cher. De nouvelles victoires

pour la liberté, contre Sylla. L'un et l'autre n'arrivent point à se mettre d'accord, mais se tiennent en haute estime. Sertorius accorde alors à Pompée une entrevue avec Aristie. On découvre que Pompée aime toujours sa première femme, et qu'il a été contraint par Sylla d'épouser Émilie. Il supplie Aristie de ne point se remarier. De son côté, Viriate ne peut se résoudre à épouser Perpenna, malgré l'insistance du généreux Sertorius. La nouvelle se répand tout à coup que Sylla a abandonné le pouvoir

pour la liberté, contre Sylla. L'un et l'autre n'arrivent point à se mettre d'accord, mais se tiennent en haute estime. Sertorius accorde alors à Pompée une entrevue avec Aristie. On découvre que Pompée aime toujours sa première femme, et qu'il a été contraint par Sylla d'épouser Émilie. Il supplie Aristie de ne point se remarier. De son côté, Viriate ne peut se résoudre à épouser Perpenna, malgré l'insistance du généreux Sertorius. La nouvelle se répand tout à coup que Sylla a abandonné le pouvoir

Marius qui avait battu les Syndres en tant que sauveur de la république a pu être consul sans délais. Il y a une division entre 2 options politiques : les optimates (conservateurs) et les populares et Auguste va réussir à effacer ce clivage. Sylla lui prétend rétablir la constitution à la lettre prêt et va éviter les débordements. En démissionnant les troubles vont revenir avec instauration d’un triumvirat qui est un partage des hautes fonctions de l’empire. Le premier était avec Crassus, César

l’Écluse, où passe aujourd’hui la grand-route de Lyon à Genève. La montagne nommée le Plat des Roches et plus loin, le Grand Credo. Les Allobroges s’étaient révoltés en 61 et avaient été « soumis » en 62 par Caïus Pomptinus. Le 28 mars 58. César, selon Plutarque, étant venu en huit jours de Rome à Genève, serait donc parti de la ville le 20 mars. Des marches de cent mille par jour environ. La dixième légion. Jules César, La guerre des Gaules (1964) 15 envoient en ambassade les plus illustres citoyens

des aspects politiques les plus intéressant. C’est sans doute par cette association, que la conquête est rendue possible.  Mais, il ne faut pas y voir une volonté de fusion des peuples de la part d’Alexandre. Cette vision vient de la lecture de Plutarque. Dans l’union des perses au pouv = intérêt politique. Il n’associe que deux peuples, et en priorité l’élite dirigeante pour éviter les rebellions et construire son pouvoir. Par ailleurs dans d’autre régions, il s’appuie essentiellement sur les

puis, l'air de Macedoine. Mieux il en avoit esté servy, d'autant le jugea il avoir esté plus meschamment et punissablement. L'esclave qui trahit la cachette de P. Sulpicius son maistre, fut mis en liberté, suivant la promesse de la proscription de Sylla : Mais suivant la 10 promesse de la raison publique, tout libre, il fut precipité du roc Tarpeien. Et nostre Roy Clovis, au lieu des armes d'or qu'il leur avoit promis, fit pendre les trois serviteurs de Cannacre, apres qu'ils luy eurent trahy

changeait sans cesse; le peuple étonné cherchait la démocratie et ne la trouvait nulle part. Enfin, après bien des mouvements, des chocs et des secousses, il fallut se reposer dans le gouvernement même qu'on avait proscrit. Quand Sylla voulut rendre à Rome la liberté, elle ne put plus la recevoir; elle n'avait plus qu'un faible reste de vertu, et, comme elle en eut toujours moins, au lieu de se réveiller après César, Tibère, Caïus, Claude, Néron, Domitien, elle