Sylla Plutarque

ni méme une ancienne actrice, alors que ce mariage est permis aux autres citoyens romains. La petite fille, généralement, est donnée par son père à  un mari avant méme la puberté. Dès qu'elle atteint douze ans, l'union est consommée. A en croire Plutarque, contrairement aux Grecques mariées après la puberté, les Romaines traumatisées par une défloration précoce ont peur de leur mari. Néron fétant ses noces homosexuelles va, dit Suétone, jusqu'à  imiter les cris et hurlements des vierges que l'on déflore

fondation de Rome A) Les sources Tite-live, Denys d’Halicarnasse : fin du Ier siècle avant JC Plutarque : Ier et IIème siècle après JC -> vie de Romulus : les historiens du passé ne sont pas d’accord sur la formation de Rome : qui a fondé Rome ? Pourquoi ce nom ? 25 versions différentes. Il évoque Romanus, fils d’Ulysse. La version de la fondation de Rome par Romulus est la plus vraisemblable selon Plutarque. Diocles de Pérapethos : plus ancien, il aurait écrit des histoires en grec vers -300, auteur

la Gaule dite chevelue (Gallia Comata), c'est-à-dire le reste des Gaules, entre 58 et 51 : “800 villes prises de force, 300 peuples soumis, un million d'ennemis tués, un autre million réduit en esclavage", selon le bilan terrible et laconique de Plutarque (Vie de César, 19). Intérêt et limites des sources textuelles Le premier visiteur digne d'intérêt est un voyageur grec, qui a décrit avec un œil d'ethnographe les moeurs des Gaulois : il s'agit de Poseidonios d'Apamée dont l'œuvre est

oriental à la mort d'Alexandre. Cette analogie a sans aucun doute contribué à ressusciter Alexandre à Rome : en présentant Alexandre, ainsi que Pyrrhus et Hannibal, comme des imperatores, on tentait de légitimer le pouvoir syllanien. Plutarque (Syl., 5, 8 sq.) rapporte que Sylla se vanta d'avoir été le premier Romain a avoir pris contact avec les Parthes: faut-il conclure à l'imitation d'Alexandre ou à des liens établis après une prise de conscience de l'analogie? 3) Une vision trouble des barbares

est sa doctrine universelle, son universalisme politique. On la connaît par Plutarque, auteur grec qui vivait sous l’empire romain. Il a écrit pour un public distingué Vies des hommes illustres ainsi que des trentaines de traités philosophiques. Parmi ces traités, il y a un discours sur la fortune et la vertu d’Alexandre. Le but de ce discours est de savoir à quoi Alexandre doit son succès: sa fortune ou la vertu? Plutarque cite la République de Zénon: ce dernier a rêvé d’une cité universelle, mais

enfants bâtards du libéralisme, où bout, à nos dépens, la marmite de ce bon Paul Courrier.) ? On raconte que Lycurgue, législateur de Sparte, avait nourri deux chiens, tous deux frères, tous deux allaités du même lait ( Ceci est pris d’un traité de Plutarque intitulé : Comment il faut nourrir les enfants, de la traduction d’Amiot), et les avait habitués, l’un au foyer domestique et l’autre à courir les champs, au son de la trompe et du cornet ( Du cor « Huchet, dit Nicot, c’est un cornet dont on huche

Arrivés au palais d’un Perse, nommé Hydarnes, lieutenant du roi pour toutes les qui ces prétendus gouvernements représentatifs, enfants bâtards du libéralisme, où bout, à nos dépens, la marmite de ce bon Paul Courrier. 24 Ceci est pris d’un traité de Plutarque intitulé : Comment il faut nourrir les enfants, de la traduction d’Amiot 25 Du cor « Huchet, dit Nicot, c’est un cornet dont on huche ou appelle les chiens et dont les postillons usent ordinairement. » 26 Héraut d’Agamemnon, qui participa avec lui

songes de l’humaine vanité, de faire de la Lune une terre celeste ? y deviner des montaignes, des vallées, comme Anaxagoras ? y planter des habitations et demeures humaines, et y dresser des colonies pour nostre commodité, comme faict Platon et Plutarque ? et de nostre terre en faire un astre esclairant et lumineux ? Inter cætera mortalitatis incommoda, et hoc est, caligo mentium : nec tantum necessitas errandi, sed errorum amor. Corruptibile corpus aggravat animam, et deprimit terrena inhabitatio

temps-là cachée en ténèbres fort épaisses. Et même Platon confesse qu'elle était si obscure qu'on n'y voyait presque rien ; et s'il y en avait quelques-uns, entendus au maniement des affaires d'état, on les appelait les sages par excellence, comme dit Plutarque. Car ceux qui depuis en ont écrit à vue de pays, et discouru des affaires du monde sans aucune [p. 48] connaissance des lois, et [pareillement] du droit public, qui demeure en arrière pour le profit qu'on tire du particulier, ceux-là dis-je ont profané

chapitres n'en couvrent pas toujours le sujet ; souvent ils n'y font qu'une allusion, par quelque côté, comme ces titres : l'Andrienne, l'Eunuque ou ceux de : Sylla, Cicéron, Torquato. J'aime que l'on écrive de façon poétique, en sautillant, en gambadant. C'est, comme le dit Platon, un art léger, volage, inspiré. Il est des ouvrages de Plutarque où celui-ci oublie son sujet, où l'on ne trouve son développement que par hasard, noyé qu'il est parmi d'autres choses : voyez par exemple comment il fait dans