Syllabe

quatrains. Les rimes sont dites croisées car elles ont la même sonorité un vers sur deux. Cet écrit est un alexandrin. L'alexandrin ou "dodécasyllabe", vers de douze syllabes, est en principe un vers parfaitement équilibré. Il comporte en effet un temps fort sur sa sixième syllabe qui scinde le vers en deux parties égales (de six syllabes) que l'on nomme hémistiches. Le thème principal de ce poème est la souffrance amoureuse. Ce texte comporte différentes figures de styles telles que des sens figurés

décédé un an auparavant. Du cavalier qui galope "sans mors et sans rêne", il ne reste finalement qu'un squelette d'homme avec ses 32 dents. C'est un poème disposé en quintils (5 vers) selon une alternance 7/4, de 4 vers impairs de 7 syllabes et d'un dernier vers de 4 syllabes. Cette alternance de vers pairs et impairs ne se retrouve que dans "Chanson d'automne" avec une alternance 4/3. 1 Un cavalier fantomatique Un cavalier qui porte un glaive et un sablier (et non un bouclier comme on le voit

nom propre qui se dégage du miroir ; l’homophonie à l’initiale des deux premiers mots, l’abondance de la liquide [r], ces redites en fait, participent à cette incarnation de l’Identité du poète. Le rythme n’est pas de reste : première mesure : 1 syllabe, deuxième mesure : 2, troisième : 3, avec l’ouverture de la diphtongue finale, comme un cri de victoire : la quête du moi a été accomplie. Ici, le pseudonyme devient, par la transmutation poétique, la véritable identité : son pseudonyme littéraire

dépendent plus ou moins des sons environnants et de l'accent. Les voyelles ont leur position forte sous l'accent. La voyelle peut se trouver alors à l'état isolé ou devant une consonne allongeante ou encore dans la syllabe ouverte. La position faible c'est la place de la voyelle dans une syllabe inaccentuée, ouverte eu fermée. On s'apercoit alors des différences plus ou moins marquées dans son articulation par rapport à la voyelle accentuée. Par exemple, [o] non accentué est plus ouvert qu'un [o] accentué

Baudelaire '' Tout ce qui n'est pas vers est prose " La différence entre les deux est qu'un vers est une ligne avec un rythme qui dépendra du nombre de syllabe, dans un texte poétique Il y a 2 sortes de vers : a) ceux qui obéissent a des règles de versification : . alexandrins ( 12 syllabes ) . 10 syllabes décasyllabe . 8 syllabes octosyllabe etc b) ceux qui n'obéissent pas aux règles de versification : Vers libres . hétérométrie : varié la longueur des vers

vers avec aussi peu de syllabes que 4 ou autant que 17. De plus, il n’y a pas beaucoup de régularité dans l’enchainement de ces différents vers, il n’y a pas de motif rythmique cernable d’une strophe à l’autre, et les vers semblent être arbitrairement mis un après l’autre. Parfois, quand un vers a douze syllabes, ce n’est même pas un alexandrin, par exemple le vers 28 : « Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre ». Ici, la césure se trouve à la cinquième syllabe, c'est-à-dire après le

grâce aux vers. - Vers réguliers: une alternance régulière de plusieurs mètres ou les vers ont le même mètre, la même longueur, le même nombre de syllabes. - Vers libres: la forme signifiante. ~ Versets: choisi par des poètes inspirés par Dieu. ~ Diphtongues: quand deux voyelles se suivent, on considère soit que ça forme une syllabe soit une liaison. ex: é|vo|lu|tion| autre possibilité: é|vo|lu|ti|on| ~ Diérèse: met l’accent sur le mot et le ralenti ex: li|on ~ Alexandrin:

exprimer 'en ce moment'. Attention aux exceptions : - Quand le verbe se termine par un seul 'e', le verbe en -ing perd son 'e'. Exemple : COME -> COMING - Quand le verbe fait une syllabe et se termine par 'consonne - voyelle - consonne', il faut doubler la consonne finale. Exemple : STOP (une syllabe et se termine par une consonne, voyelle, consonne) ce qui donne au final : STOPPING. Be + Adjectif I am happy - Je suis content You are happy - Tu es content He is happy - Il

établit que le vers alexandrin admet douze combinaisons différentes, en partant du vers qui a sa césure après la première syllabe, pour arriver au vers qui a sa césure après la onzième syllabe. Cela revient à dire qu’en réalité la césure peut être placée après n’importe quelle syllabe du vers alexandrin. De même, il établit que les vers de six, de sept, de huit, de neuf, de dix syllabes admettent des césures variables et diversement placées. Faisons plus : osons proclamer la liberté complète et dire qu’en

Crescendo/decrescendo. Hugo raconte la peur qu'il ressent lorsqu'il entend les Djinns, des esprits invisibles, qui font un vacarme selon lui. La forme donne l'effet du poème : plus les Djinns approchent, plus les vers sont grands et plus il y a de syllabe, mais aussi les exclamations sont de plus en plus présente, notamment vers la strophe 8 où le bruit est, d'après Hugo, le plus fort. A partit de la strophe 9, les Djinns sont passés et le bruit diminue. A la strophe 15, il n'y a plus un bruit, les