Syllepse

substitution Comparaison-Métaphore-Métonymie-Antonomase-Catachrèse-Hypallage Thème de l’exagération et de l’atténuation Accumulation Hyperbole Gradation (et inverse) Euphémisme Litote Asyndète Thème des jeux de mots Allitération-Paronomase-Syllepse-Antanaclase-Métaplasme Thème de la personnification Réification-personnification-Allégorie- Prosopopée Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant.

c’est l’anéantissement familial. Sans famille, elle pourrait vivre à Paris dans une liberté heureuse et sans contraintes. Pour Thérèse, il n’y a pas de salut. La fin, qu’on pourrait croire ouverte, libératrice pour son héroïne. Cela est montré par la syllepse, cette figure de rhétorique qui consiste à glisser du sens propre au sens figuré, souvent employée par Mauriac, laisse entendre dans le dernier chapitre, le plus remarquable du livre, que Thérèse se perdra par la chair et ne trouvera pas la libération

idée de vieux, dépassé, poussiéreux. Hugo devient même épique et drôle avec le terme militaire « bataillon d'Alexandrin carrés »qui peut faire penser a la bataille d'Hernani. Il utilise également l'humour en personnifiant les figures de style, « syllepse, hapallage, litote » (L33) qui frémissent a son discourt affreux, et qui se cachent sous les jupons de l'Académie comme des enfants apeurés. Il utilise un parallélisme « plus de mots sénateurs, plus de mots roturiers » (L27) qui donne une idée

2.1.1. La souffranceCyrano se sent mal, il explique son malaise par une vieille blessure reçue pendant le siège d’Arras, un coup mortel à la tête. Le spectateur comprend mieux que Roxane que cette «blessure» fait l’objet d’une syllepse (mot au sens propre et figuré à la fois). Au sens figuré, cette blessure est celle qui persiste dans le cœur de Cyrano, elle est «vive » et concrète comme le montre répétition de l’expression « elle est là ».On peut également remarquer le motif des

tire des effets comiques inattendus (un humour parfois noir), des significations doubles ou encore des images insolites. De même ses poèmes fourmillent de jeux de sons, de combinaisons pour l'oreille (allitérations, rimes et rythmes variés). La syllepse est la figure de style favorite de Prévert : elle consiste à opérer des glissements entre le sens propre et le sens figuré des mots. Par exemple, dans un texte de Paroles, intitulé « La Lessive », Prévert joue avec une expression populaire "laver

explicative, mais elle propose de comprendre à travers le récit mythologique de l'aveuglement de l'amour le constat du caractère irrationnel de celui-ci : la clarté des cieux du vers 17 correspond à l'aveuglement, mais cette périphrase est aussi une syllepse : clarté, lumière, s'entendent comme les métaphores de la raison. Tomber amoureux, c'est renoncer à la raison, car elle en est dissociée . La Fontaine retrouve ainsi une fonction première de la mythologie, qui est d'expliquer des phénomènes naturels

travers un discours diglossique exploitant le dédoublement, la déconstruction narrative et ce jusqu’à la crise d’un nynegocentrisme multiple. Dès lors, le poète s’adonne à des dédoublements variés : le prosaïsme se confronte au lyrisme, les syllepses décuplent les possibilités de sens, de même que les jeux d’antithèses, de sorte que l’interprétation est rendue difficile. En premier lieu, le lyrisme le dispute au prosaïsme de façon circulaire et imprévisible. Les prosaïsmes de langue sont

v34 : « Oasis » = Orient. → ♥ de B pour la chaleur, les pays chaleureux v12 « ardeur des climats » v16 « brûlante Afrique » v20 « éternelle chaleur » = champs lexical de la chaleur. → richesse et luxuriance . V11 : « pleins de sève » = syllepse :Accord d'un mot en fonction du sens sans tenir compte des règles grammaticales. = énergie, sang de l'H‭♂ v18 : « dans l'or et dans la moire » = matériaux précieux. V15 : «  de voiles, de rameurs, de flammes et de mâts » = pluriel il aime l'abondance

n’est pas dit. | Eh bien si c'est comme ça… | solécisme n. m. / GRAM | Faute de syntaxe (c. f. barbarisme). | L’affaire que je m’occupe pour dont je m’occupe. | suspension n. f. / RHET | Figure consistant à tenir l’auditeur en suspens. |   | syllepse n. f. / GRAM | Accord d’un mot selon le sens plutôt que selon les règles grammaticales. | Minuit sonnèrent. « C'est la sentinelle qui le premier s'inquiète »(Perret). | synalèphe n. f. / GRAM | Réunion de deux syllabes en une seule dans la prononciation

extrême. De plus, les deux références intertextuelles, « Les vacances » et « La Guerres des Mondes » illustrent la néccécité de la censure, bien que ces deux œuvres soient opposées au niveau difficultés, elles illustrent les interdits. On a une syllepse de sens avec les épingles « par des épingles » (l.24) qui maintienne la censure de la jeune fille. Il y a une longue énumération de négation (l.11 à 16), composée de sept négations qui se succèdent et se répètent selon un parallélisme de construction