Syllepse

|Parole |Stéréotype | |Alinéa |Citation |Hypothèse |Paronomase |Syllepse grammaticale | |Allégorie |Cliché |Hypotypose |Passage |Syllepse de sens | |Allitération |Comparaison |Idiotisme |Pensée |Syllogisme | |Allusion

mais avec des souvenirs : « assise à sa mémoire », le terme abstrait prend un sens concret. Ces souvenirs sont cruels, « maudits » s’appliquent au monde comme au miroir. Ils évoquent des amis résistants,déportés ou torturés. Par le procédé de la syllepse qui intègre le même élément « tragédie » au couple et au monde, nous passons de la poésie lyrique à la poésie militante. Le lecteur perçoit alors différemment les mots « martyrisait à plaisir sa mémoire » et « l’incendie » du premier quintil. De

braver l’irreprésentable pour leur être fidèle. Monter Godot, constitue toujours un risque : celui de passer à côté du texte. Cela explique peut-être le renoncement de Brecht, qui avait un temps songé à monter la pièce. La syllepse L’auteur a parfois recours à la syllepse, c’est-à-dire le jeu grâce auquel un mot unique, un seul signifiant, renvoie à plusieurs signifiés, à plusieurs sens, exploités différemment par chacun des auditeurs. Le « Rien à faire » initial d’Estragon signifie d’abord, en

l'acte I supprime même toute "réponse" de Winnie). Le malentendu est une variante de ces propos parallèles qui ne conduisent à aucun échange. Il ouvrent de manière significative G (commenter rapidement le "Rien à faire", p. 9), et développent des syllepses qui permettent, tout à fait traditionnellement : - soit d'alimenter le comique du double sens (cf. G, 45 : le retenir / il s'est retenu tout seul), - soit de cultiver l'ironie tragique (BJ, 13 : "plus pour longtemps" > tube de dentifrice / Willie)

peine de mort. L’adjectif « nécessaire » illustre son bien fondé. Cette thèse, Hugo l’expose pour mieux la réfuter. D’où : l’emploi de connecteurs logiques : « d’abord », « parce que » (l. 2) Emploi judicieux du verbe « retrancher » : double sens (syllepse) Couper la tête d’un individu néfaste le retire de la société (on éradique le mal) mais on lui « tranche » aussi la tête. Rappel d’un rituel sanglant et barbare. Dimension visuelle du texte. Or Hugo va rigoureusement organiser son discours : sa démarche

celle de Dieu oui. On dénonce une situation, inégalités entre les hommes. III) Il désigne des responsables 1) L’égoïsme des négociants et des colons La recherche de profit à tout prix par les colons et les négociants montre leur égoïsme : syllepse de sens (vie esclave + prix esclave) Il y a une disproportion entre le but et les moyens, entre le prix du sucre et la privation de liberté (l5). Montesquieu utilise de l’ironie donc quand il parle d’exploitation pour payer son sucre moins cher

structure, l'accumulation des adjectifs, produisent un effet d'insistance.Jadis, l'esprit « goûtait » (v.7) l'amour et la dispute. On retrouve ici les deux termes déjà vu dans la strophe un (« amoureux de la lutte »). A noter que la dispute par syllepse peut signifier deux choses : une discussion animée et agressive (sens actuel) mais aussi un débat universitaire tel qu'il était conduit au Moyen-Âge : la dispute théologique était alors l'exercice principal pour s'entraîner à l'éloquence. Ainsi,

nerveux ; roman moderne, recherche d’effet hypallage Fait de reporter grammaticalement une détermination sur un autre mot que celui auquel il se rapport par le sens Le marchand accoudé sur son comptoir avide Style poétique personnifiant les choses syllepse Accord selon le sens et non selon les règles grammaticales On est bien jolie aujourd’hui ! Langue courante Zeugma ou attelage Construction d’un mot polysémique avec 2 compléments n’appartenant pas aux mêmes catégories d’emploi de ce mot « Plus

un autre mot que celui auquel|comptoir avide | | | |il se rapport par le sens | | | |syllepse |Accord selon le sens et non selon les règles |On est bien jolie |Langue courante | | |grammaticales |aujourd’hui ! |

Les Fleurs du Mal (3) - Baudelaire « L’albatros »Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, héritier du romantisme, un temps Parnassien, instigateur du symbolisme, publie Les Fleurs du Mal en 1857. Il y remet au goût du jour la forme du sonnet, tandis qu'il popularise le poème en prose dans Le Spleen de Paris . Le poème « L'Albatros » suit le prologue « Au lecteur » et le poème liminaire « Bénédiction » qui introduit la section