Syllogisme Dialectique

. . . 3.1.1 Un seul concept . . . . . . . . . . . 3.1.2 Deux concepts . . . . . . . . . . . 3.1.3 Une question . . . . . . . . . . . . 3.1.4 Une citation . . . . . . . . . . . . . 3.2 Quelques types de plan . . . . . . . . . . . 3.2.1 Le plan dialectique . . . . . . . . . 3.2.2 Le plan de réhabilitation . . . . . . 3.2.3 Le plan de dégradation . . . . . . . 3.2.4 Le plan criticiste . . . . . . . . . . 3.2.5 Le plan inconnu . . . . . . . . . . . 3.3 Comment soutenir une thèse . . . . . . . . 3.3

permet de mettre de l’ordre en calculant. Quand on dit que l’on a une raison de dire cela, on veut signifier que l’on a un argument qui appuie notre affirmation qui peut se fonder sur un calcul logique comme on le verra plus loin par exemple dans le syllogisme(13). On voit donc que l’on peut opposer la réflexion rationnelle à ce qui est de l’ordre du sentiment, de la passion. C’est ce sens du mot raison qui est essentiellement développé dans le domaine des sciences. * Si l’on suit l’origine

théologie, c’est les sciences modernes, essentiellement la physique. Newton affirme que la physique doit être basée sur des outils mathématiques. Comment se produit cette révolution ? Solution soutenue en petit comité de lettrés. Il y a une relation dialectique entre les mathématiques et les observations. C’est un moment où on négocie quels seront les outils sur lesquels on va s’appuyer pour fonder le savoir scientifique. Les régularités du ciel L’astronomie est tout d’abord une observation du ciel

convition, de croyance. Historiquement, la fides s’est transformé en croyance ; dans les textes de logique de la fin de l’antiquité on trouve le terme. Facere fidem ; syllogisme dialectique (endoxon, l’opinion communément admise, en opposition au probable, qui produit une cryance, confiance, conviction), différente au syllogisme apodictique qui est de l’ordre du nécessaire. C’est-à-dire : la fides produit une conviction rhétorique, opposé au faciens scientiam qui produit du savoir. La religion

implique d'établir de façon rigoureuse la vérité d'un énoncé ou d'une idée par la voie de la déduction, en les rattachant par un lien nécessaire à d'autres propositions ou idées évidentes ou déjà démontrées. Le modèle de toute démonstration est le syllogisme. Le modèle de toute démonstration s'impose dans les mathématiques, plus précisément dans la géométrie euclidienne, qui procède par voie déductive à partir de principes premiers (axiomes, postulats, définitions) : chaque proposition ou théorème

comme effort pour passer du Sensible à l’Intelligible. Platon envisage comment se fait l’union du discours et de la Raison, distinguant deux formes de persuasion : la rhétorique, qui produit la croyance sans la Science, et la dialectique, qui produit la Science. La dialectique platonicienne est ainsi primitivement « l’art du dialogue ou de la discussion » : elle traduit le mouvement de l’esprit qui s’élève des Sensations aux Idées pour passer du monde Sensible au monde Intelligible. Logos/Doxa Le logos

|solutions |(syllogisme incomplet qui |- argt du lien de cause à effet | |entraîne telle conséquence …) |(technique d'enfermement) |entraîne la participation du | | | | |destinataire) |b) du général au particulier ; SYLLOGISME | | |-

Philosophie : Explication de texte Dans ce texte, l’essence du christianisme, l’auteur parle de la conscience et de son rôle dans la capacité de science. En effet L.Feuerbach évoque ce thème au travers d’une thèse qu’il argumente tout au long d’un texte. Ainsi, l’auteur nous fait partager son regard sur tout ceci au travers de son idée directrice : l’homme à une conscience unique à l’origine de sa capacité de science. A cette argumentation l’auteur se pose une question philosophique majeure :

analyse/synthèse. c – la théorie du syllogisme L’idée centrale est celle du « moyen terme », soit le terme qui permet d’établir un lien, qui sert d’intermédiaire entre le sujet et le prédicat qu’on veut relier. On veut démontrer que S est P, c’est la conclusion : le tout est de trouver M, tel qu’il existe un lien entre M et P (exprimé dans la première prémisse, la majeure) et un lien entre Met S (exprimé dans une seconde prémisse, la mineure). Un syllogisme est donc un enchaînement de 3 propositions

Mais Aristote va plus loin dans l'explication dans un modèle de démonstration, le syllogisme : « l’homme est mortel, Socrate est un homme, Socrate est donc mortel […]. Quand trois termes sont entre eux dans une relation telle que le dernier est contenu dans celui du milieu et celui du milieu dans le premier, il est nécessaire qu´il y ait un syllogisme parfait reliant les termes extrêmes ». En effet, dans le syllogisme, cette forme particulière de la démonstration, c'est la position des éléments à l'intérieur