Syllogisme Dialectique

EXPOSE SUR : LA MÉTHODE CORDA EXPOSANTS FATOU LEYE MOHAMED ALY SIDIBE ABDOULAYE NDIAYE OUSMANE SOW LA MÉTHODE CORDA Il s’agit d’un processus logique en 5 phases de la démarche d’analyse d’un problème. A noter que ce processus prévoit une phase d’ajustement qui peut être activée à chaque niveau du déroulement pour remettre en cause la phase précédente. DEMARCHE DE LA METHODE CORDA C : COMPRENDRE / CHOISIR A J U S T E R O : OBSERVER R : REFLECHIR D : DECIDER A : AGIR C – CHOISIR ET DÉFINIR

antique, aussi bien dans le domaine mathématique que dans celui de la logique. Être rationnel, l'homme a en effet la possibilité d'articuler des jugements prédicatifs (du type « Sujet est Prédicat ») dans des raisonnements en trois temps nommés syllogismes, et qui sont la forme même de la démonstration. 1. Qu'est-ce que la logique formelle ? Il existe différents genres de jugements prédicatifs qui vont permettre différents types de combinaisons. Il faut en effet distinguer quatre quantités dans nos

illusion qui semble mathématiquement correcte. Le syllogisme 1-Le modèle du raisonnement Aristote a défini le syllogisme comme le modèle du raisonnement démonstratif. Le syllogisme est un raisonnement formel qui établit une conclusion nécessaire déduite à partir des prémisses. Une prémisse est une proposition, considérée comme évidente par elle-même ou démontrée dans un autre raisonnement, sur laquelle on base un raisonnement et une conclusion. Un syllogisme se fait en trois étapes : une prémisse majeure

vérité de l'aumône, remet en cause la prière. Il l'insulte en disant: "Eh! prie-le... des autres". Axe II: L'inutilité de la prière: On trouve des répliques ironiques de la part de Dom Juan qui est motivé par un raisonnement logique, le syllogisme: le pauvre prie toute la journée, or il reste pauvre, donc la prière est inutile. "il ne se peut donc pas que tu sois bien à ton aise ?" Dom Juan prend la pauvreté, le dénuement du pauvre, comme une preuve contre l'utilité de la prière, donc contre

constituent pas une méthode parfaite, dans la mesure où, toute vérité repose sur des propositions admises comme évidentes mais non démontrables (prémisses). Ainsi le syllogisme Aristotélicien : A, or B donc C part du principe que A et B sont vrais: « Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme donc Socrate est mortel ». L’étude des syllogismes nous a montré une chose : tout ce qui est démontrable n’est pas nécessairement vrai car une démonstration peut être fausse ou à la fois vraie et fausse. Outre

n’est pas simplement donner un exemple, ou persuader ou encore intimider, mais c’est donner un argument qui est nécessairement valide et universellement vrai, donc une preuve. Élaborée par Aristote, philosophe grec du IXème siècle, la théorie du syllogisme consiste en un raisonnement déductif basé sur l’enchaînement logique de trois proposition : deux prémisses, qui sont des vérités que l’on a déjà admises, et une conclusion. Ce raisonnement nous montre clairement que lien entre chaque idée est nécessaire

naissance”.  C’est  un  raisonnement  par  déduction   qui  serait prémice majeure, les hommes connaissent le beau or  les  Indiens  sont  dépourvus  de  tout  accès  au  beau.  (prémice  mineure),  donc  les  Indiens  ne  sont pas des humains (syllogisme).  Le  problème  est  le  mot  “beau”  car   la  beauté  est  relative.  Pour  ce  camp,  la  statue  est  condamnée  pour  une  raison  esthétique  :  à  la  ligne   5,  Sepulveda  parle  de  l’art   des  Indiens  entre  guillemets,  qui  est 

plusieurs sens). Le Droit en plus a besoin de notions floues qui sont difficilement définissables (par exemple la faute, l’urgence, l’intérêt) ces notions floues, permettent d’introduire l’équité dans les décisions. 2) Le raisonnement du droit : Le syllogisme Le raisonnement juridique repose normalement sur la logique, mais pas n’importe quelle logique, car il ne repose pas sur la logique formelle mais fonctionnelle. La logique formelle c’est celle qui vaut par sa forme indépendamment de l’objet auquel

légitimer son argumentation) - Argument d’expérience (témoignage concret) - Argument logique (ex : « je pense donc je suis ») - le recours aux faits (exemples clairs : historiques, chiffrés, d’actualité, économiques, scientifiques, philosophiques) - le syllogisme (à partir de deux prémisses ou affirmations, déduire une conclusion particulière) : « Tous les hommes sont mortels ; Socrate est un homme ; donc Socrate est mortel ». - Argument de cause à effet, ex : « si tu ne travailles pas, tu vas rater tes

type de construction chaque affirmation doit amener nécessairement à la suivante. On l’appelle aussi « syllogisme nécessaire », qui part d’une vérité générale appelée majeure pour en déduire une vérité particulière : la conclusion, grâce à une vérité intermédiaire appelée mineure. Ce type de raisonnement se rencontre essentiellement dans les textes scientifiques ou philosophiques. « Le syllogisme probable » ou enthymème est le mode de déduction que l’on retrouve dans les textes argumentatifs littéraires ;