Sylvie et le Fantôme

"Un enfant psychotique" Anny Cordié. 1. Histoire de Sylvie. Sylvie a 3ans quand ses parents me l'amènent pr la 1ère fois. L'angoisse, la terreur semblent l'habiter. Elle ne tolère aucun contact venant de l'autre: la laver, la coiffer snt quasiment impossibles tant elle hurle. Elle ne supporte pas d'ê nue, cependant s'apaise lorsqu'on la prend ds les bras si ds des vêtements très serrés, de préférence tabliers de sa mère.Sylvie refuse de manger seule, et exige pr se nourrir, une série de conduites

les plus connues. En janvier 1854, il publie le recueil de nouvelles et de poésies Les Filles du feu où se mêlent sept portraits (chiffre récurrent et sacré chez Nerval, ainsi dans Aurélia, il se sent sept en lui) de jeunes femmes. Il qualifie Sylvie de « sa meilleure nouvelle », nouvelle dans laquelle une actrice que la narrateur idéalise se nomme Aurélie... Contrairement au narrateur anonyme d'Aurélia qui « n'a pas choisi la mort », Nerval se pend le 26 janvier 1855 à Paris, laissant Aurélia

1967. Il est considéré maître de l’horreur et il occupe la place la plus importante au sein de l'école belge du fantastique. Malpertuis, publié en 1945, est son premier roman fantastique. Son œuvre se caractérise surtout par des histoires pleines de fantômes et de créatures fantastiques ainsi que par les mondes intercalaires. La peur, l'idée de la survivance des dieux ainsi que l´identité de chaque individu sont les moteurs principals de ce roman. En plus, ce roman a été aussi adapté au cinéma par Harry

Paris" dès 1934. C'est l'admirateur des films burlesques américains, il décide de co-réaliser des courts métrages, notamment avec René Clément (Soigne ton gauche, 1936). Après la guerre, il fait quelques apparitions dans des longs métrages (Sylvie et le fantôme) et Le diable au corps de Claude Autant-Lara). En 1947, il s'attaque à un court L'école des facteurs, prélude à Jour de fête (1947) qu'il entreprend la même année. Ce premier long remporte un succès inattendu à la Biennale de Venise en 1949

couvert d'une évasion dans un monde sombre et irrationnel, ce "mauvais genre" vient nier les idéologies, défier le masque des conventions morales et braver l'oppression des religions, tant celle des Eglises que celle du progrès. "Croyez-vous aux fantômes ? Non, mais j'en ai peur" : ainsi répondait Mme Du Deffand à son ami Horace Walpole. Homme des Lumières, il est aussi auteur du Château d'Otrante (1764), premier roman noir bientôt imité aux quatre coins de l'Europe, de Shelley à Sade. Comment expliquer

Point raconte l’histoire de trois personnages, qui vivent la même histoire, qui rêvent la même histoire. La pièce nous à donne à voir leur trois points de vue leur trois rêves, leur trois souvenirs de la même histoire. Le premier voyage de Suzanne W. (Sylvie Léonard) est celui qu’elle entreprend depuis son garage où, arrimée au volant de sa voiture, elle s’abandonne aux gaz verdâtres qui envahissent l’habitacle. Ce faisant, elle part. Et quand sa tête faiblit lentement, s’affaisse et touche le klaxon

folie, l’amour se voulant plus fort que la mort. L’image de la femme, fortement érotisée et mortifère, est un fil conducteur de la poétique maupassantienne, brouillant la frontière entre réalisme et fantastique et en- tre réalisme et décadence. Du fantôme au fantasme, Maupassant transporte le lecteur dans l’inconscient de sa créature et dans une œuvre qui oscille entre fantastique et fantasmatique. MOTS-CLÉS: Fantastique, Femme, Erotisme, Surnaturel, Prostituée, Rêve, Inconnu « L’angoisse véritable

folie, l’amour se voulant plus fort que la mort. L’image de la femme, fortement érotisée et mortifère, est un fil conducteur de la poétique maupassantienne, brouillant la frontière entre réalisme et fantastique et entre réalisme et décadence. Du fantôme au fantasme, Maupassant transporte le lecteur dans l’inconscient de sa créature et dans une œuvre qui oscille entre fantastique et fantasmatique. RESUMÉ: MOTS-CLÉS: Inconnu Fantastique, Femme, Erotisme, Surnaturel, Prostituée, Rêve, « L’angoisse

elle renvoi le spectateur aux troubles que gagnent l’esprit de Macbeth au fur & à mesure qu’il accomplit ses meurtres. « Lequel de vous à fait ça ? » III, 4, page 171, signifie = qui de vous joue à être Banquo ? Qui de vous a fait de Banquo un fantôme ? Ce sont ces images mises en scène que Lady Macbeth va tenter d’annihiler. II. Le retour à l’ordre Lady Macbeth relie la vision précédente de Macbeth à celle qu’il lui avait mise sous les yeux : le poignard, II, 1, page 103. Cependant, Lady Macbeth

A- Un imaginaire collectif métissé : Plusieurs mythes structurent l’œuvre de Garcia Marquez , ainsi l’étude du réalisme "magique" permet-elle la découverte de quelques thèmes communs à ceux de la littérature fantastique ; notamment celui du fantôme, du mort qui continue de hanter les vivants (Melquiades, les morts qui déambulent en plein jour dans la maison des Buendia quand Macondo commence à vieillir). On peut relever aussi le climat de l’angoisse, de la peur, du rêve et d’hallucination