Symbolique Personnification Des Animaux

Les Fleurs du Mal (3) - Baudelaire « L’albatros »Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, héritier du romantisme, un temps Parnassien, instigateur du symbolisme, publie Les Fleurs du Mal en 1857. Il y remet au goût du jour la forme du sonnet, tandis qu'il popularise le poème en prose dans Le Spleen de Paris . Le poème « L'Albatros » suit le prologue « Au lecteur » et le poème liminaire « Bénédiction » qui introduit la section

chevelure noire. » Tout le long du texte, les lieux sont décrits, très détaillés souvent, tout comme les personnages. La description est présente dans presque toutes les pages du texte, si on la retirait, il ne resterait que peu de pages. La personnification, notamment de la Lison, transformée par sa description en femme « C'était une de ces machines d'express, à deux essieux couplés, d'une élégance fine et géante, avec ses grandes roues légères réunies par des bras d'acier, son poitrail large

parcours, quête, déchiffrement) 2ème quatrain : explication de cette théorie avec le principe particulier des synesthésies Les 2 tercets : illustrations 1er tercet : illustration concrète : correspondances horizontales 2ème tercet : illustration symbolique : correspondances verticales Volonté didactique apparaît dans cette structure. I- DECOUVERTE DES SYNESTHESIES : La synesthésie (du grec syn, avec, et aesthesis, sensation) est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont

l'ortie est une couleuvre,     L'araignée un gueux ; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes,     Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes     De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure,     Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre,     Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ;     Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie     De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins

a Fontaine, grande figure du classicisme, remet au goût du jour le genre de la Fable au XVIIème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. Dédicacées au Dauphin (l’héritier de Louis XIV), il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». (contexte littéraire et auteur). Le récit met en scène un loup misérable, mais libre, et

réaliser ce projet Hugo utilise beaucoup des instrument du genre romanesque, comme des personnages héroïques, terrifiants ou pathétiques, mis en scène spectaculaires ou dramatiques, tableaux pittoresques ou réalistes, suspens, passages poétiques ou symboliques· Hugo en écrivant son oeuvre s'adresse à tous grâce à sa capacité de mêler des formes littéraires en apparence étrangère les unes aux autres.· en conclusion, on peut dire que le roman de Victor Hugo témoigne de son époque qu’il est capable de décrire

des périphrases désignant l’oiseau, comme facilitant le rapprochement : les expressions « indolents compagnons de voyage », « ces rois de l’azur », « ce voyageur ailé » étaient toutes des personnifications (animal → homme). Inversement, le dernier vers fait du poète un oiseau : « Ses ailes de géant… » (homme → animal). Le motif de l’aile peut être mis en parallèle du motif de la plume de l’écrivain et l’on comprend sans doute mieux pourquoi cette image conduisait tout le texte (« leurs grandes ailes

de son autobiographie La Vita,comporte un grand nombre d'incohérences lorsqu'on les confronte à l'œuvre. La première d'entre elles correspond davantage au modèle en cire qu'il avait au préalable effectué. La seconde exprime mieux les intentions symboliques qu'avaient Cellini, mais elle ne correspond pas parfaitement non plus. La description la plus proche est celle se trouvant dans le Trattato dell'oreficeria (ou en français, « traité d'orfèvrerie ») malgré le fait qu'il l'ait écrite vingt après avoir

apparaissent comme instinctifs ou automatiques ⇨ Meursault semble donc ici étranger à son acte, acte d’autant plus absurde qu’il le renouvelle inutilement 3) Un personnage tragique ⇨ l.20 : « mes yeux étaient aveuglés » : le motif symbolique de l’aveuglement permet de rapprocher Meursault d’Œdipe, personnage de la mythologie grecque qui symbolise le héro tragique qui finit par s’aveugler. Cet aveuglement symbolise l’impuissance de la condition humaine face au destin, ici incarné par

localiser le moment de la journée, pas de rayons de soleil. D'où vient la lumière ? De la fenêtre ? De la lampe ? Certes, nous continuons à distinguer des êtres humains et des animaux, mais c'est à la faveur d'une ressemblance que nous y parvenons. Allégorie donc ; non pas au sens ordinaire du mot pourtant : nulle personnification ici, aucun dieu. C'est dans l'imagination de l'artiste qu'elle a ses racines On profite de ce faite de diminuer la sincérité de la scène et non pas sa vérité. On