Syndicalisme de lutte

Pologne 1939. Les Alliées vont également adopter cette technique à partir de 1944. Février 1945 une ville en Allemagne détruite par le phosphore par les Alliées (dénazification). Les civiles vont être ciblés car dans les pays occupés la résistance à la lutte contre les occupants se fait par des populations civiles (comptés en mort militaire) Soldat mort au combat en uniforme : 150 milles FFI (civiles membre des Forces Françaises de la résistance) : 20 milles Résistants : 30 milles

antitrust,et qui conduisent à une sorte de cartellisation corporatiste de l’industrie américaine) sont proposés aux entreprises d’une mm branche en vue d’harmoniser les conditions de production. L’adhésion aux codes devient mm un critère de civisme ds la lutte contre la crise :l’Etat réserve ses aides aux entreprises signataires dont les produits sont par ailleurs signalés au public par le dessin d’un aigle bleu accompagné de la mention « we do our part »,le NIRA a aussi d’importante clauses sociales car

réalité sociale, l'existence du prolétariat et l'importance de la lutte des classes. - le socialisme scientifique : son principal théoricien est Karl Marx, économiste allemand. Il défend une théorie politique basée sur la conception matérialiste de l'histoire (lutte des classes), et caractérisée par l’objectif de la mise en commun des moyens de production et d'échanges ainsi que par la répartition des biens équitablement à tous. Il lutte pour un monde sans classes sociales, sans états et sans oppression

: Jacques Blois (Ifocap — Afdi Poitou-Charentes), Christian Bosséno (Crédit agricole), François Clerc (Fnsea), Olivier Hammel (Ccama), Raymond Lacombe (Fnsea), Médard Lebot (syndicalisme agricole), Guy le Fur (Confédération paysanne), Jean Mordrel (Anda), Henri Nouyrit (Cfca), Jacques Pinon (Fngeda), Jean Prévost (syndicalisme agricole). La coordination de ce dossier a été assurée par Médard Lebot, membre du bureau de l’Inter-Réseaux et Denis Pesche, secrétaire exécutif de l’Inter-Réseaux. La rédaction

développer certaines ressources au plan de l’établissement afin de renouveler le pouvoir syndical. Pour faciliter la compréhension de notre approche et mieux cerner sa pertinence dans d’autres contextes nationaux, un bref rappel des grands traits du syndicalisme nord-américain s’impose (voir Murray et Verge, 1999). La représentation syndicale en Amérique du nord est fortement marquée par son encadrement juridique. Il s’agit d’un régime inspiré dans ses aspects essentiels du Wagner Act américain de 1935

dans la seconde moitié du XIXe et devenir dominant au sein du mouvement ouvrier international c’est le marxisme. Renvoie à une lecture de l’histoire dont le moteur est la lutte des classes, idée selon laquelle la révolution française serait né de l’opposition de la bourgeoisie et de l’aristocratie. L’étape suivante étant la lutte entre la bourgeoisie et le prolétariat. La révolution prolétarienne doit mettre fin au capitalisme et mettre au place une sociétés sans classes avec comme fin une société

qui prend conscience de ses spécificités et de sa condition. Dans un contexte de lutte contre l’exploitation ouvrière dans un monde du travail où la réglementation sociale est inexistante, naît le socialisme, idéologie nouvelle qui s’articule autour de la lutte des classes et de la révolution pour renverser l’ordre bourgeois. Dans l’empire allemand, le socialisme, organisé autour d’un puissant parti et d’un syndicalisme de masse, devient une force politique et sociale majeure. Au cours du XXe siècle

Très souvent, nous remarquons que le terme conflit est confondu avec les notions de tension et violence et la distinction entre ces trois notions semble importante. Le conflit : Etymologiquement, conflit vient de conflictus et signifie choc, lutte et combat, c’est pourquoi l’essentiel des recherches a d’abord été réalisé dans le domaine de la guerre. A partir du XVIIe siècle, le mot de conflit est appliqué aux relations interpersonnelles, il est envisagé comme « dualisme intérieur » et par

Ainsi, un plus grand nombre de salariés pourront s’impliquer dans l’élaboration des accords et contribuer au développement du syndicalisme. Alors que sont apparus à certaines époques des groupements spontanés à l’occasion des conflits, l’augmentation du nombre d’organisations syndicales n’a pas amélioré le taux global de syndicalisation. Les difficultés du syndicalisme résultent en partie de l’environnement socio-économique. Dans la phase d’expansion des trente glorieuses pendant laquelle s’est

d'Ivoire (UGEECI), des formations d'obédience marxiste. La plupart des étudiants de cette époque étaient engagés dans l'Union des Etudiants Communistes (UEC) ou dans le parti communiste français lui-même. A partir de 1961, l'UGEECI opte pour le syndicalisme révolutionnaire qu'il annonce à travers sa revue "Kô Moe", dissout par le PDCI. Apparaît alors le premier parti d'opposition au PDCI, le Mouvement Ivoirien de Libération (MIL) qui publie un organe, "le Pilon", au sein duquel Nokan ne militera