Syndicalisme jaune

Novembre 2005 : Congrès du Mans  Défaite à l'élection présidentielle de 2007  Et la suite nous la connaissons !! Conclusion L'histoire des socialistes a été constamment marquée par – Les fusions / recompositions / divisions – Le lien avec le syndicalisme – La volonté de renouer avec les classes populaires – Les remises en question après les élections Mais ce qui a permis aux socialistes de rester unis ce sont … leurs convictions. 1905 26 avril Naissance de la SFIO Après des premiers mouvements

Socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne depuis 1875 Le socialisme, mouvement né au début du ​ XIX​ e siècle, a été une des grandes idéologies qui ont marqué l'Europe depuis ce siècle. Pour parvenir à l'égalité et à la liberté, les socialistes souhaitent mettre en commun les outils de production. Certains choisissent la voie de la réforme, d'autres, celle de la révolution. À partir de 1867 et de la publication du ​ Capital​ , la figure de Karl Marx domine la pensée socialiste avec la théorie

 conflits  du  travail  dans   la  France  contemporaine,  Bellecombe-­‐en-­‐Bauges,  Éditions  du  Croquant.       Tableaux  et  graphiques  extraits  de  :  L.  Wolff,  2008,  «  Le  paradoxe  du  syndicalisme  français  :  un  faible  nombre  d’adhérents  mais   des  syndicats  bien  implantés  »,  Premières  informations,  Premières  synthèses,  n°  16-­‐1  ;  A.  Naboulet,  2011,  «  Les  accords

français: le syndicalisme de service. Une application de celui-ci en France serait elle profitable? Les syndicats français se sont véritablement fondés en 1864, sur le principe des groupements corporatifs médiévaux. Ils ne seront légalisés réellement qu'en 1884 par la loi Waldeck-Rousseau (de Pierre Waldeck Rousseau, ministre de l'intérieur à cette période, même si certaines restrictions subsistent du coté du public. Onze ans plus tard, se créé la CGT, nait alors le syndicalisme français.

Introduction I/Historique du syndicalisme II/ définitions des syndicalismes : les différentes formes de syndicats III/ les différents moyens de lutte d’un syndicat en France IV/les différentes approches théoriques du syndicalisme V/comparaison européenne sur les diverses conceptions d’actions et de traitement d’un conflit Introduction Un syndicat est "une association privée que forme un groupe d'individus pour défendre leurs intérêts". Il peut réunir des copropriétaires

d’ouvriers. Pendant les 30G le salariat va changer de nature : le statut salarial se généralise, on est dans une période de forte croissance, le rapport employés/employeurs est en faveur des employés et il ya institutionnalisation des syndicats. Le syndicalisme et l’engagement politique ont permis de faire des revendications sociales (qualitatives et quantitatives). Entre 1950 et 1975 on a un salariat uni qui se retrouve autour de syndicats tels que la CGT pour faire pression. C’est là qu’on va créer

Fédération des Bourses du Travail au congrès d’Alger, revendique un syndicalisme d’action directe - avec, comme méthode d’action politique et sociale, la grève générale - et prône, déjà avant la création de la SFIO, son indépendance par rapport au Parti socialiste. La SFIO, aux mains des anciens leaders du Parti socialiste, Guesde et Vaillant, vit dès ses débuts des divisions internes qui reposent principalement sur la conception du syndicalisme et son rapport au parti. Ainsi, Stéphane Sirot, docteur en histoire

augmentation de la part de la valeur ajoutée redistribuée aux salariés, à travers l’augmentation des charges du personnel, soit d’une augmentation des impôts, taxes et versés assimilés à l’Etat. Comme le laisse entrevoir la théorie monopolistique du syndicalisme (néoclassique), la présence syndicale est en partie responsable de la réduction du ratio de rentabilité économique. Certaines études, dans le contexte français, mettent en évidence des gains salariaux de l’ordre de 3 à 5 % dans les établissements

réclamation de la part des travailleurs est vue comme de la flemmardise. Détentrices d’un savoir de métier, ces corporations ont eu un pouvoir de négociation et de résistance important sur un marché du travail peu régulé. -> base militante du syndicalisme naissant. Les savoir sont collectifs et communautaires: ils sont partagés, transmis. Situation = contraire à l’intérêt général défendu par l’alliance du marché et de la connaissance scientifique, contraire aux intérêts du « peuple ». Selon

syndicalisation diminue fortement dans la majorité des PDEM (en France ce taux est particulièrement bas) mais l’influence des syndicats reste importante et ils conservent surtout dans le secteur public une capacité de mobilisation certaine. Cette crise du syndicalisme peut notamment être expliquée par : o le déclin de la classe ouvrière et les différents facteurs de ce déclin, o la coupure entre les syndicats et les salariés, o le rapport avantages / coûts de l’action collective (action