Syndicalisme révolutionnaire

Chapitre 7 : Conflits et mobilisation sociale Problématiques : Dans quelle mesure les transformations du marché du travail expliquent-elles l'émergence des nouvelles formes d'actions collectives ? Nous assistons depuis les années 70 à une crise du syndicalisme, vous analyserez ce phénomène. Peut-on affirmer que nous assistons à la fin de la classe ouvrière ? L'action collective : moteur ou frein du changement social ? I) Les conflits du travail dans la société industrielle : Remarque préliminaire : définition

société plus juste. 2. Karl Marx (5 mai 1818 - 14 mars 1883) était un historien, journaliste, philosophe, économiste, etc. Il est connu pour sa conception matérialiste de l'histoire, sa description des rouages du capitalisme, et pour son activité révolutionnaire au sein des organisations ouvrières en Europe. Il a notamment participé à l'Association internationale des travailleurs. Il a eu une grande influence sur le développement ultérieur de la sociologie. 3. Pour Marx, le capitalisme conduit à des

français (PCF), Parti de gauche (PG), la Gauche unitaire (GU))   Parti socialiste (PS)   Europe écologie les verts (EELV) Dirigeant   Premier secrétaire : Jean-Christophe Cambadélis. Secrétaire nationale : Emmanuelle Cosse.    Grandes idées   Révolutionnaire, pour les travailleurs. Intervention de l’Etat dans la vie économique et sociale. Solidarité, justice sociale. Redistribution des richesses. Protection de l’environnement. Accroissement du pouvoir des régions et de la démocratie directe.   2)…de

reconstruction du mouvement ouvrier français a été longue et difficile. D’un coté, le syndicalisme qui est un mouvement ouvrier qui s’identifie comme porteur de revendications professionnelles, il ne prétend pas à l’exercice du pouvoir politique. A l’intérieure du mouvement syndical il y a de nombreuses divisions, organisations et ce morcellement affaiblie la capacité d’action des organisation ouvrières. A coté du syndicalisme, le mouvement socialiste, qui au contraire est organisé en partie politique et

les moyens de production) le prolétariat (= les ouvriers des usines et des mines, exploités par les patrons). Les intérêts de ces deux classes sont opposés, c’est pourquoi on parle de « lutte des classes ». Karl Marx propose un changement révolutionnaire. Ainsi, il fonde à Londres la 1ère internationale des travailleurs. Dans ses ouvrages, il présente la lutte des classes comme inévitable. Selon lui, le prolétariat vaincra et instaurera la communisme : c'est-à-dire une société sans classe.

travail ( action  « revendicatrice quotidienne » ➢ « émancipation des classes laborieuses » par « expropriation » des capitalistes et disparition du salariat ( action nécessaire : la « grève générale » ( la CGT est un syndicat d’inspiration révolutionnaire Les moyens d’action des syndicats sont donc notamment les grèves autorisées par la loi + ou - tardivement (1825 : RU, et 1864 : FR ( 3 p 42 : toujours difficile, 1913…) et souvent brutalement réprimées : 2 ex / revendication journée

bourgeoise. Le contexte de difficultés économiques, à partir de 1885, favorise les contestations. Le mécontentement social se traduit par une multiplication des grèves et manifestations. Il est incarné, dans sa forme la plus radicale, par un syndicalisme révolutionnaire actif ainsi que par des courants virulents préconisant une action violente pour renverser ce pouvoir. C'est le cas en particulier de l'anarchisme, qui connaît au début des années 1890 un regain d'activité spectaculaire. * 30 janvier

d'une ampleur inédite. Le point d'orgue est évidemment le mouvement de grèves de 1936 : 12 000 entreprises touchées de mai à juillet, dont 9 000 occupées par leurs employés. S'il rappelle que les grévistes "ne se placent pas dans une perspective révolutionnaire où leur pouvoir remplacerait celui des patrons", l'historien refuse de dépolitiser l'événement pour n'y voir qu'une explosion de joie. La grève peut être une liesse, mais elle reste avant tout une lutte. "Ce qui est en jeu, dans les occupations

Plan I. Introduction : II. Généralités sur le syndicalisme 1. Apparition et évolutions du syndicalisme au Maroc 2. Rôle des syndicats 3. caractères du syndicalisme 4. domaines d’intervention III. Les principaux syndicats au Maroc : 1. L’Union Marocaine du Travail (UMT) 2. La Confédération démocratique du travail (CDT) 3. L’Union Générale des Travailleurs du Maroc(UGTM) 4. L’Union Nationale

police communiste. Une vaste purge politique frappe alors les étudiants et conduit à l'expulsion des juifs du Parti ouvrier unifié polonais. Au printemps, l’Italie connait des mouvements spontanés de colère et de révolte dans des industries où le syndicalisme est faible, les syndicats décrètent une grève générale qui obtient un grand succès. Le 4 avril, des émeutes éclatent dans la plupart des grandes villes des États-Unis après l'assassinat de Martin Luther King. Le 11 avril : Attentat contre Rudi