Synesthesie Serpent

Résumé 31 La question de l’imitation de la nature 34 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 34 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 34 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 35 Autres remarques 35 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 35 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 37 Sensibilité et résonance (Proust) 37 Le rire 37 Autres thèses 37 Illustrations et références 38 Exemples 38 Citations

distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 2 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 2 Autres remarques 2 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 2 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 2 Sensibilité et résonance (Proust) 2 Le rire 2 Autres thèses 2 Illustrations et références 2 Exemples 2 Citations 2 Bibliographie 2 Sujets de dissertation

La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 36 L’art est-il réservé à une élite ? 36 L’évolution du regard (Walter Benjamin) 36 Y a-t-il une culture de masse ? (Hannah Arendt) 36 L’art contemporain, c’est n’importe quoi ? 36 Autres remarques 37 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 37 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 38 Sensibilité et résonance (Proust) 39 Le rire 39 Autres thèses 39 Illustrations et références 39 Exemples 39 Citations 40 Bibliographie 41

représentants du laid et du mal, articulent leur grimace non équivoque, que le parfum provoque la pensée et le souvenir correspondants ; que la passion murmure ou rugit son langage éternellement semblable. »43. Baudelaire utilise régulièrement la synesthésie pour créer une fusion des sens, notamment dans le poème Correspondances. Avant lui, seul Gérard de Nerval avait pratiqué une poésie qui ne fût pas littérature. Libérée du joug de la raison, la poésie peut désormais exprimer la sensation.

temps intérieur se manifeste à travers les souvenirs qui ressortent grâce à la mémoire involontaire de façon tout à fait irrationnelle, par association d’idées. Le point de départ de cette illumination est le mécanisme du déjà-vu, une manifestation synesthésie à partir d’un objet matériel, comme la madeleine. Une autre caractéristique c’est le style de Proust. Ses phrases très longues sont comme des échos de la conscience qui font du temps le personnage principal. 13.

imiter la nature (Hegel) _______________________________________________35 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) ___________________________________________________36 Autres remarques ________________________________________________________ 37 Synesthésie et significat ion des sensations (Kandinsky) _____________________________________37 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) ________________________________________38 Sensibilité et résonance (Proust) _______________________________________________________39

Roger et Angélique montés sur l’hippogriffe, 1840 Bronze. Romantisme et troubadour. Montre l’engouement pour les récits romanesques. Traitement : sculpture instable, traitement des surfaces (surfaces lisses/mouvementées, détaillées) Lion au Serpent, 1832-35 Barye, grand sculpteur animalier. Sujet romantique car il s’agit de montrer les instincts animaux pour la défense de la vie. Force, vitalité : rendre énergie première de la nature. Barye et Delacroix gout pour l’animalier. Autres sculpteurs :

que l’environnement. La couleur de la femme renvoie à la couleur du verre d’absinthe → résultat de la consommation exagérée d’alcool à cette époque. · La chanteuse de café, 1878. La voix, le son est au centre de la toile. Développement de la synesthésie càd la capacité de rendre par l’image d’autres sens que la vue. Ici, l’ouïe. Cadrage spécifique : vision sur toute l’ouverture de la bouche. Construction verticale : hauteur du son de cette femme. Lignes verticales colorées de l’arrière-plan

des passions: voir notamment J. Pommier (1932), p. 77 et suiv., 109. On considérera dans ces diverses perspectives la modification du v. 2, dans un exemplaire offert au graveur Bracquemond, vers 1860 (P.): "Les ours, les scorpions, les singes, les serpents". Cf. aussi Pl. II, p. 1367-1368, 954, 569. 128. Cf. La Destruction, poème CIX, v. 11; le v. 2 de la pièce XXV; le deuxième Spleen (poème LXXVII), v. 15 à 18; Le Possédé (poème XXXVII), v. 4; ce passage d'une lettre de Baudelaire à sa mère, du 3 février

de « confuses paroles ». Bizarrement, on a appelé « symbolisme » chez Baudelaire ce qui n’est qu’un résidu d’illuminisme romantique, venu de Swedenborg, d'Hoffmann ou de Ballanche. Le transfert d’épithètes, conséquence logique de la doctrine des synesthésies, fait une apparition timide ( « des parfums verts ») et comme excusée par les deux qualifications plus attendues qui la précèdent ( « des parfums frais », « des parfums doux »). On a exagéré en Baudelaire le précurseur en dissimulant « l’homme