Synesthesie Serpent

Correspondances et L’Albatros 1 Tables des matières I. Introduction 2-3 II. Problématique et but 3-5 III. À la recherche de l’image de la femme 5-17 Parfum exotique 5-7 L’invitation au voyage 7-9 Le serpent qui danse 9-11 Le chat, XXXIV 11-12 À celle qui est trop gaie 13-15 Le vampire 16-17 IV. Inspirations biographiques pour l’image de la femme 17-20 V. Conclusion 20-22 VI. Bibliographie 23 VII. Appendice 2 I. Introduction

dix-huit poèmes dans La Revue des Deux Mondes: C'est un titre qui reflète la poésie déchirée, il associe au mal la beauté d'une fleur. Correspondances Baudelaire joua tout au long de son œuvre sur les correspondances verticales et horizontales (ou synesthésies baudelairiennes) qui inspirèrent par la suite de nombreux poètes. Dans son ensemble, son œuvre est construite sur un cheminement moral, spirituel et physique, mettant également en évidence les relations entre les cinq sens et les émotions humaines

Ce n'est qu'en 1855 que Baudelaire choisit Fleurs du mal pour intituler dix-huit poèmes dans La Revue des Deux Mondes. Correspondances[modifier] Baudelaire joua tout au long de son œuvre sur les correspondances verticales et horizontales (ou synesthésies baudelairiennes) qui inspirèrent par la suite de nombreux poètes. Dans son ensemble, son œuvre est construit sur un cheminement moral, spirituel et physique, mettant également en évidence les relations entre les cinq sens et les émotions humaines

Plaisir Poétique - Perfection dans la beauté inutile. - Poésie et enfance : retour à un paradis perdu que l’on tente de retrouver par les mots. - Poésie et jeux : => Jeu sur le signifiant/ signifié, analogies, correspondances, synesthésies... 12) Poésie et rêve : Les poètes méconnaîtraient la réalité, chimères. La poésie est proche du rêve parce qu’il y a une énergie de libre de l’inconscient qui s’exprime au moyen de processus. Les jeux de langages, les associations d’idées

‘’Voilà le tac-tac-tac Des mitraillettes qui reviennent à l’attaque’’ chante Gainsbourg dans « Bonnie & Clyde », nous ressentons alors ces mitraillettes qui passent à l’assaut. Nous aurions pu aussi citer le vers d’Andromaque ‘’Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes’’. Le son est évidement capital dans la poésie ; mais ce n’est pas le seul élément pouvant être vu comme ‘’harmonieux’’. Nous retrouvons l’idée d’une

énumération et fait dans la même phrase la description de la « chimère », où l’auteur fait de nouveau une énumération des attributs. Une chimère est une autre créature mythologique - grecque cette fois-ci - avec un assemblage de lion, de chèvre et de serpent. Cette dernière est en « terre polychrome » et suggère une idée de couleur qui s’oppose au « marbre noir » du sphinx. De plus, cela indique toujours le goût de des Esseintes pour les objets luxueux, pour l’art. La chimère est comme rendue vivante

nature primitive * Poète complice de cet univers : « familiers » * Sensations auditives et visuelles 2ème quatrain : développement * Illustration de la théorie du premier quatrain * L’odorat, la vue et l’ouïe sont évoquées * Synesthésie : correspondance entre les sens 1er tercet : * L’odorat le touché, l’ouïe * Nouvelle illustration : comparaisons * Vers 9 et 10 : comparaisons négatives * Vers 11 : corruption : négatif 2ème tercet : * Comparaisons *

vivacité et d’un éclat insoutenable“ ou bien le fait qu’ „elle redressait la tête avec un mouvement onduleux de couleuvre“[21] ou encore „une main de femme [qui] était froide comme la peau d’un serpent, et l’emprunte m’en resta brûlante comme la marque d’un fer rouge“[22] font clairement allusion au serpent symbole du mal dans la bible. C’est bien sous la forme d’un démon qu’apparaît Clarimonde mais Romuald se laisse emporter par les sensations surtout visuelles qui affluent à son cerveau et ne voit

représentants du laid et du mal, articulent leur grimace non équivoque, que le parfum provoque la pensée et le souvenir correspondants ; que la passion murmure ou rugit son langage éternellement semblable. »[27] Baudelaire utilise régulièrement la synesthésie pour rapprocher les sens, notamment dans le poème Correspondances. Seul Gérard de Nerval, avant lui, avait créé une poésie qui ne fût pas littérature. Libérée du joug de la raison, la poésie peut désormais exprimer la sensation. « En faisant de

mon cœur qui s’oublie aux soleils couchants (Verlaine) Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Ex : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine,) Figures de style (les plus courantes): Figures de style La comparaison : rapproche deux éléments pour mettre en évidence une caractéristique qui leur est commune, à l’aide d’un outil grammatical :