Synesthesie Serpent

répétitions, séries, ruptures, etc.) ; conventions (normes, paradigmes, modèles, etc.). * L’œuvre d’art et le dialogue des arts : citations et références d’une œuvre à l’autre ; échanges et comparaisons entre les arts (croisements, correspondances, synesthésies, analogies, transpositions, parangons, etc.). Repères Inspiration. Imitation, tradition. Académisme / originalité. Modèles, canons, conventions. Composition / décomposition. Réécritures, dialogues, etc. 38 III. Acquis attendus À la fin

est virtuellement impossible de distinguer la perception des phénomènes enregistrés des événements réels du monde tri-dimensionnel. En outre, l’écoute d’enregistrements holophoniques d’événements qui stimulent les autres sens tend à produire une synesthésie : les perceptions correspondantes dans les autres régions sensorielles. 38 Ainsi, le son d’une paire de ciseaux s’ouvrant et se fermant à proximité du cuir chevelu d’un individu lui donnera le sentiment réel qu’on lui coupe les cheveux ; le

pas gymnastique, le saut périlleux, la gifle et le coup de poing. 4° Nous déclarons que la splendeur du monde s’est enrichie d’une beauté nouvelle : la beauté de la vitesse. Une automobile de course ac son coffre ornée de gros tuyaux tels des serpents { l’haleine explosive…une automobile rugissante, qui a l’air de courir sur de la mitraille, est plus belle que La Victoire de Samothrace. 7° Il n’a plus de beauté que ds la lutte. Pas de chef-d’œuvre sans un caractère agressif. La poésie doit

brouiller les repères en créant des images poétiques singulières. Paul Éluard, auteur surréaliste, écrit par exemple : « la terre est bleue comme une orange ». La synesthésie Le sujet vous demande d’utiliser dans votre poème des sensations. Pour enrichir cette évocation des sensations, vous pouvez utiliser la synesthésie. La synesthésie est une figure de style qui consiste à mélanger différentes sensations afin de donner une image plus riche et plus complexe de la réalité. Baudelaire utilise souvent

l’expérience poétique. Ce point de vue est soutenu par le registre de la confession. Le poète avoue, non sans douleur, la difficulté d’une telle entreprise. Cependant, force est de constater que le texte existe, qu’il s’appuie sur la théorie des synesthésies énoncée dans Correspondances. Malgré le pessimisme de Baudelaire, ce poème en prose peut donc également se lire comme une mise en œuvre de sa poétique et, par conséquent, une réussite. Le poète, en exprimant les limites de l’expérience poétique

Enfin le refus des artifices de l’éloquence et de la rime savante en faveur d’une Rime assagie (v. 23) et de sensations délicates est mis en évidence dans la dernière partie du poème où les rimes sont généralement pauvres ou suffisantes et où la synesthésie de la musique et du parfum offre un dernier accord particulièrement heureux (strophes 8 et 9). VERS LE COMMENTAIRE Plan du commentaire : I. Un mélange de conseils et de critiques A. Les trois mouvements du poème : Quatrains 1 à 4 : l’éloge de

perceptif ? Percevoir un paysage par exemple c’est simplement être en présence des éléments qui le constituent et comme en contact avec eux : le vert des prairies qui contraste immédiatement avec celui des chênes qui les bordent, le ruisseau qui serpente plus bas, que l’on ne voit pas encore, mais qui s’annonce dans un murmure cristallin, les lointains où ondule la cime de grands pins, et, derrière, une mer immobile qui semble vouloir se confondre avec le ciel … Rien qui ne soit l’indice d’un problème

60. 18 Op. cit., p. 65. 19 Ibidem. 200 Le symbole consiste, non pas en l’équivalence « serpent »-« phallus », mais en ce que, par la visualisation du mot « serpent » on met en scène à l’intention de quelqu’un l’horreur qu’on éprouverait de toucher au phallus […]. 20 Autrement dit, dans un symbole-opérant le dédoublement « serpent »-« phallus » perd progressivement ses frontières intérieures, et « serpent » devient « phallus ». A côté de l’intégration de l’imago à la structure symbolisante, son

cobaltic adj. (chim.), cobaltique cobaltite n. (géol.), cobaltite f. cobaltous adj. (chim.), cobalteux cobol n. (common business oriented language) (info.), cobol m. (langage de programmation orienté sur la gestion) cobra n. (rept.), cobra m., naja m., serpent m. à lunettes cocaine n. (bot., pharm.), cocaïne f. coccus n. (bio., zoo.), coccus m., coque f. coccyx n. (anat.), coccyx m. cochlea n. (anat.), cochlée f., limaçon m. (partie de l’oreille interne) cochlear canal n. (anat.), canal m. cochléen cochleate

cobaltic adj. (chim.), cobaltique cobaltite n. (géol.), cobaltite f. cobaltous adj. (chim.), cobalteux cobol n. (common business oriented language) (info.), cobol m. (langage de programmation orienté sur la gestion) cobra n. (rept.), cobra m., naja m., serpent m. à lunettes cocaine n. (bot., pharm.), cocaïne f. coccus n. (bio., zoo.), coccus m., coque f. coccyx n. (anat.), coccyx m. cochlea n. (anat.), cochlée f., limaçon m. (partie de l’oreille interne) cochlear canal n. (anat.), canal m. cochléen cochleate