Synonymie

L’analyse sémique (10pts) L’analyse sémique consiste à comparer les sémèmes d’une série de lexèmes pour en justifier leur appartenance au même paradigme d’un côté, et de l’autre pour dégager leur(s) différence(s), étant donné qu’il n’existe pas de synonymie parfaite entre deux lexèmes. La série proposée est : magasin – boutique – supermarché – épicerie local de vente de vêtements de vente des produits alimentaires où un marchand, un artisan expose et vend sa marchandise au détail regroupant les

libidinale, la libido étant désexualisée, déviée de son but sexuel. Libido : désigne l’énergie sexuelle, la force avec laquelle se manifeste l’instinct sexuel. L’énergie sexuelle, pour Freud, ne se confond pas avec la génitalité. Il y a donc pas synonymie entre le sexuel et le génital. La libido désigne l’énergie psychique du plaisir. Les foules gardent leur unité sous l’effet d’une illusion : « c’est ainsi que dans ces foules bruyantes, éphémères, superposées, on observe le miracle de la disparition

FICHE DE LANGUE : Le champ sémantique La sémantique est l'étude scientifique du sens des unités linguistiques et de leurs combinaisons. Elle s'attache à l'étude de la langue sur le plan de la signification : synonymie, changements de sens d'un mot, structure du vocabulaire... Le champ sémantique est l'ensemble des différentes significations d'un même mot dans les différents contextes où il se trouve. Dans chacune des expressions, le même mot a un sens précis différent

hyponymes de fleur, et fleur est l'hyponyme de plante. Par contre fleur est l'hyperonime de lys, car on ne peut pas dire qu'une fleur est un lys, mais on peut dire qu'un lys est une fleur. Ces deux termes permettent une hiérarchisation des mots. Synonymie : Deux signifiant ayant le même signifié. Exemple : Rhume/Rhinite. Mais malgrè leur signification identique ces deux termes ne sont pas employés au hasard, et dépendent du contexte. Un médecin dira "Vous avez une rhinite", mais nous nous dirons à

combinaison. Sur le thème de l’enfant, le locuteur fait un choix parmi une série de noms existants : enfant , gosse, mioche, gamin. Ces mots sont plus ou moins équivalents. La sélection est produite sur la base de la similarité, dissimilarité, de la synonymie et de n’antinomie. Pour commenter ce thème « enfant », le locuteur fait le choix d’un des verbes sémantiquement apparentés «  dort / sommeille / somnole ». Les deux mots choisis ( enfant dort ) se combinent dans la chaîne parlée. Cette combinaison

complexe par subordination. La transformation syntaxique engendre des modifications dans la disposition des propositions et dans le choix du mode à utiliser, dicté par le mot subordonnant. 1- Cette question porte sur les relations sémantiques : la synonymie et la polysémie (explicitées dans les énoncés des questions a et b par : « un mot de sens équivalent » et « le mot a un sens différent » a) la lecture de la phrase dans son contexte permet de cerner le sens de l’expression dans son « environnement

la contemplation de beaux corps prépare celle des belles âmes, ce qui nous élève à l’idée du beau, celle-ci échappe à toute prise véritable du fait de sa nature singulière. Idée, essence ou forme pure, qui plus est la plus haute, du fait de sa synonymie, chez les Grecs, avec le bien, aucune contemplation des essences n’accède à elle, toutes la manquent. On comprend alors les difficultés que nous éprouvons à l’entendre et, probablement, à nous entendre sur le beau et, partant, les contenus variables

êthos indiquant la vertu, le caractère dans sa forme d’excellence. Ainsi, le mot « éthique » fait référence aussi bien à l’esprit (Ethos, séjour de la pensée ») qu’au corps de l’action (ethos, « habitude, usage ») et au jugement de l’action. Cette synonymie pourtant confirmée par les dictionnaires usuels est remise en cause per les philosophes. En travail social cette proximité entre les deux notions pose également question, la recherche du sens étant la base de l’action des travailleurs sociaux.

Il montre ainsi que l’équivalence entre signifiant et signifié est relative et qu’il faut utiliser avec précaution des synonymes, surtout dans la traduction. Umberto Eco souligne qu’il ne faut pas mettre un signe d’égalité entre « signifié » et synonymie. Le signifié doit être plutôt compris comme ce qu’une entrée de dictionnaire ou d’encyclopédie fait correspondre à un terme donné. ………………………………………….3 Selon Peirce, pour etablir le signifie d’un signe, il est necessaire de le remplacer par un autre

groupes de mots, particules et conjonctions, codes typographiques, ponctuation, étymologie, ainsi de la hypotaxe, l'asyndète ou la figura etymologica. Enfin, sur le sème soit la connotation, la polysémie, le lexique, le vocable, les antonymie, synonymie, ou paronymie, sur les champs sémantiques aussi. C'est le cas des figures les plus connues : métaphore, comparaison, oxymore. Néanmoins il s'agit ici moins d'un critère de définition, puisqu'on exclut de fait l'effet et l'intention, que d'une façon