Syntaxe abstraite

accumule en quelques vers une série de termes extrêmement valorisants : « innocence » (v. 14), « confiance » (v. 15), « amour », « justice », « liberté » (v. 16), « gentillesse » (v. 17), « courage » et « découvrir » (v. 19) qui évoquent des notions abstraites, des valeurs morales positives ; « enfant » (v. 17), « frère », « camarade » (v. 20), et « Péri » (v. 23) qui donnent une dimension concrète, humaine et fraternelle à cette énumération. Le poète donne enfin une dimension universelle à cette liste

t'apprends » (l.55-56) : Sganarelle se place en position de maître et considère Gusman comme son élève , « je n'en ai point de certitude » (l.54) : il utilise un langage de maître, une tournure alambiquée (= raffinée jusqu'à la complication) et une syntaxe élevé. Le “je“ domine : « je n'ai » (l.51), « moi » (l.51), « je ne » (l.53), « je » (l.56), « me » (l.63) : il se met en avant. et il est fier de son effet : « tu demeures surpris » (l.71) : il a réussi à impressionner Gusman mais ce n'est qu'une

PARADOXE : énoncé qui parait contenir une contradiction. Le paradoxe est très efficace dans une argumentation, car il surprend et remet en cause les évidences. L’ATTELAGE : il rapproche deux compléments désignant un élément concret et un élément abstrait. IV. Les figures de substitution : LA MÉTONYMIE : on remplace un mot par un autre terme avec lequel il entretient une relation logique (d’appartenance, d’origine, de contiguïté). LA SYNECDOQUE : est une forme de métonymie qui consiste à remplacer

décroissante ♥ Le parallélisme : reprend une structure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) ♥ La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois figures d'analogie : ♥ L'allégorie : on représente des valeurs abstraites avec des images concrètes ♥ La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal... ♥ La comparaison : Il y a un comparé (celui que l'on compare à quelque chose), un comparant ('quelque chose') et un outil grammatical

vocabulaire, ajoutée aux familiarités d’expression (« ça », reprise du sujet répétée aux vers 3, 9, 20) et au manque d’originalité des actions, attire l’attention du lecteur sur un processus de banalisation de la guerre. Partie 2 : 1/ L’intégration par la syntaxe et les sonorités • La « guerre » n’est à aucun moment présentée comme quelque chose d’anormal. Dans les phrases, elle est en effet mise sur le même plan que d’autres occupations anodines. • Le mot « guerre » est complément du verbe « faire » comme

d’une activité de classe, écrire de manière autonome un texte de façon à pouvoir le relire (brouillon, compte rendu d’expériences...) ; - en situation de dictée à l’adulte (d’un texte narratif ou explicatif), proposer des corrections pertinentes (syntaxe, lexique) ; - rédiger un texte bref dans le cadre d’une activité de la classe en se faisant clairement comprendre et en adaptant le niveau de langue à la situation de production (courte lettre, récit, résumé...). Pilier (s) concerné(s) Pilier 1 :

universitaire : Bitexte (compréhension et rédaction) Outils pour explorer le langage. Terminologie technique. Chapitre 1, Texte 1 : quelques réflexions et mes réponses • • • • Ton ironique (« poignée d'épileptiques ») Excès (flamboyant, vocabulaire, syntaxe (exemple ?) ) Afrique : Tokor (aigrettes, Européens, Russes, marabout) Guerre en Afrique (triste lieu commun) Pendant ce long prélude ____1____, somnifère (puisque c'est long), flamboyant ? Tokor cédant à son goût du cabotinage ____2____ à outrance

Cette première lettre de Mme de Sévigné à sa fille après son départ invite à s'interroger sur la tournure que prend la lettre sous la plume d'une épistolière. Elle apparait d'abord comme un moyen d'expression des sentiments intimes à travers le thème de la souffrance d'une séparation mère-fille. Mais la lettrepossède également des fonctions sociales et narratives indispensables. Cette lettre montre également la féminisation du genre, qui permet d'élever une épistolière inconnue au rang de femme écrivain

c'est-à-dire, celle que l'on peut exprimer avec notre langage. Par contre, la langue materne, avec sa syntaxe, sa grammaire et sa morphologie, s’apprend en la pratiquant et se fixe dans la mémoire procédurale (qui comprenne les habiletés motrices, les savoir-faire, les gestes, comme, par exemple, faire du vélo), qui est situé aux ganglions de la base. Si la deuxième langue s’apprenne avec des explications, la syntaxe et la grammaire cherchent une place dans la mémoire déclarative et pas dans la procédurale

écrivant, on est lecteur de soi-même), l’acquisition des habiletés et des stratégies de lecture doit se faire concomitamment à celle des habiletés rédactionnelles. -Stratégie linguistique : connaissance du fonctionnement de la langue-lexique, syntaxe, orthographe, ponctuation -Stratégie cognitive : images mentales, émission d’hypothèses de sens, anticipation sur le sens du texte, inférences, écriture d’un jet, révision du jet, réécriture, stabilisation -Stratégie sur l’organisation textuelle