Syriaque

amalgamées pour constituer un unique Coran. Selon certaines informations répétées, Abd al-Malik a dit lui aussi « avoir rassemblé le Coran ». Deux témoignages extérieurs viennent apporter des indications. Le premier provient d’une controverse en syriaque datant sans doute du début viiiè, poutant attribué à Abraham moine de Beth Halé (m. 670). Nous pouvons en conclure, au moins dans ce qu’en connait le moine, que certains éléments qui font aujourd’hui partis du Coran, en étaient extérieurs, notamment

rédigés dans l'objectif de colliger différentes versions de la légende. La Vie de Sylvestre aurait connu une large diffusion au Moyen-Âge: plus de 300 codex pour la version latine, et au moins 90 pour a version grecque, outre les rédactions en langue syriaque. Comme il n'existe pas actuellement d'édition critique des Vie de Sylvestre, les auteurs ont recours à une compilation effectuée au milieu du XIIIe siècle, la Légende dorée, complétée en 1265. Il s'agit d'un recueil de lectures pour l'année liturgique

original avec une transcription en caractères modernes, et accompagnée de notes grammaticales et critiques, où l'interprétation donnée à chaque mot est prouvée par son analyse radicale, et sa confrontation avec le mot analogue samaritain, chaldaïque, syriaque, arabe, ou grec. PAR FABRE-D'OLIVET. DISSERTATION INTRODUCTIVE [V] § I. Sur l'origine de la Parole, et sur l'étude des Langues qui peuvent y conduire. L'ORIGINE de la Parole est généralement inconnue. C'est en vain que les savants des siècles

les étangs… » Nivard aurait répondu : « Vous prenez le ciel, vous me laissez la terre… Je n’accepte pas le partage ! » Cette mentalité correspond assez au personnage de Nivard : « Il ne faut pas se contenter de peu ! » 2. Awen : Awa en langue syriaque, c’est l’Eve des chrétiens. Elle représente la lumière et en tant que telle, elle guide véritablement Nivard. 3. Soma : c’est évidemment le Σωμα des Grecs, le corps. A un moment, Nivard se promène dans une église dont il doit vitrer les baies ;

développée dans ce qu’on appelle le « croissant fertile » (carte de gauche cidessous), délimité par les deux vallées presque parallèles du Tigre et de l’Euphrate, fleuves descendus des montagnes d’Arménie, coulant entre le plateau iranien et le désert syriaque, et se réunissant pour former le Chatt-El-Arab. La présence de ces deux fleuves, navigables et en crue d’avril à juin, a rendu ces régions riches. Pourtant, à l’inverse de ce qui s’est passé en Égypte, ce n’est pas un facteur d’unité, mais un élément

langues en question. Certaines langues d'Afrique, comme le haoussa et le somali, s'écrivirent par des adaptations de l'alphabet arabe avant d'être écrites avec l'alphabet latin. On fait remonter cet alphabet à l'araméen dans sa variante nabatéenne ou syriaque, lui-même descendant du phénicien (alphabet qui, entre autres, donne naissance à l'alphabet hébreu, à l'alphabet grec et, partant, au cyrillique, aux lettres latines, etc.). La première attestation d'un texte en alphabet arabe remonte à 512. C'est

la prière. [2]. Comme le texte n’est pas clair, qu’il y a à la fois du « comme du lion » en hébreu, mais on ne perce pas les pattes d’un lion ?) ; du « creusent » en grec (ce qui serait le plus proche du trou des clous) ; et du « déchirent » en syriaque, les interprétations sont variées.

religion et en tant que civilisation. * L'islamisme est une doctrine politique qui vise à l'expansion de l'islam. Le mot « islam » est la translittération du mot arabe الإسلام, transcrit « islām » écouter écouter, qui possède un équivalent en syriaque comme en hébreu, mais pas en français. Il possède, comme de nombreux termes de cette religion, deux significations : une signification générale propre à la langue arabe, et une signification religieuse plus spécifique. En arabe, « islam » signifie

philosophie grecque, le droit romain, les religions du livre… « …Mais le noyau le plus important de traducteurs se consacra à faire passer le meilleur et le plus important de la production Grecque. Leur travail se fonda d’abord sur des versions syriaques réalisées à partir du 3eme siècle par de nombreux orientaux en Arabe à la fin du 8eme siècle »(1) Sa littérature a engendré une grâce du verbe qui tient une connivence profonde au terme des longues errances de ce qui est écrit dans l’isolement

Vasco de Gama va utiliser sa légende (comme celle d'être le premier voyageur à atteindre l'Inde, terre nouvelle, alors que le pays est depuis longtemps traversé par des pilotes arabes, marchands vénitiens, juifs, malais ou musulmans, chrétiens syriaques s'y approvisionnant en poivre) pour construire sa carrière11. La cour de Manuel Ier, qui s'est autoproclamé « seigneur de la conquête, de la navigation et du commerce d'Éthiopie, d'Arabie, de la Perse et de l'Inde »12, s'entiche de Gaspar, un juif