Systeme Educatif Platon

que l’on doit admettre par la croyance (ressurection du Christ chez les catholiques). Adhérer à l’idée même si elle n’est pas rationnel : la raison humaine à des limites. ISOCRATE (436-338) Professeur de rhétorique athénien, contemporain de Platon LA CULTURE Carctéristiques du modèle classique de l’éducation et de la culture : trois caractéristiques : ▪ définit les règles de conduites personnelle parfaitement convenable tant au plan moral, politique qu’esthétique.consiste en une attitude

Sorbonne et les conservateurs. L'éducationGargantua suit deux modèles d’éducation diamétralement opposés :L'éducation médiévale Grandgousier confie l’éducation du jeune Gargantua à des docteurs sophistes : Thubal Holoferne. Ce système éducatif est un héritage du Moyen âge : l’éducation scolastique traditionnelle. Cet enseignement pratiqué à partir du 11e siècle privilégiait l’acquisition d’un savoir livresque qui éclaire la foi chrétienne sans réel rapport avec la vie concrète, et

de Rabelais, qui nous et au défi de trouver un sens caché dés le début du roman, et le termine en nous dissuadant d’y trouver autre chose qu’un divertissement. L'ABBAYE DE THELEME - La fondation de l’abbaye de Théléme fait intervenir un autre systéme d’éducation, qui complete le précédent : Gargantua faisait I’ objet d'une éducation individuelle, les Thélémites recoivent une éducation collective. Alors que l’éducation de Gargantua est celle d’un prince, ’ éducation des Thélémites est celle de

ont échangé par internet. - Les professionnels interrogés ont exprimé à 63 % leur mécontentement de ce qui est actuellement proposé en protection de l’enfance, c'est-à-dire : - soit le placement - soit l’AEMO, (l’Accompagnement Educatif en Milieu Ouvert, c'est-à-dire que l’enfant reste dans sa famille, il est accompagné par un travailleur social garant de cette mesure devant le juge). - 64 % des professionnels inventent des modalités non répertoriées bien avant la loi du

est plus noble ‘’ La politique renvoie à ce champ social dominé par des conflits d’intérêts régulés par un pouvoir lui-même, monopolisateur de la coercition légitime ‘’ Béraud, sociologie. La 2eme distinction : - Policy : les produits du système politique - Politics : La compétition politique / jeu pour le pouvoir / proche de LA politique - Polity : l’espace politique global, la communauté politique, proche de LE politique. On parle d’une réalité polymorphe. 2 .Une approche

sous son sens littéral : derrière le comique apparent de l’œuvre se dissimule une grande sagesse. Le lecteur dit donc découvrir le sens caché de l’œuvre par l’analyse, ce que l’auteur montre à l’aide d’une référence au Livre II de La République de Platon, dans lequel le philosophe développe le parabole du chien qui tombe sur un os, le brise et en suce la moelle : → le chien va au-delà des apparences et suce le cœur de l’os, ce qu’il y a de meilleur et qu’il tient caché. → Le lecteur doit

recherche du vrai. * Anthropologie : Socrate [-469 – -399] étude de l’homme introspection « connais-toi toi-même » * Aristote [-384 – -322] : nature + homme, approche systématique : base de savoir pendant 1500 ans, inventaires + citations. Platon : la théorie de l’âme : âme = immatérielle donc pas besoin de corps. Mais pour Aristote : empirisme : connaissances vient des sens, âme = inséparable du corps. Contrôle les fonctions du corps (locomotion, mouvement, croissance, reproduction) et les

correspond pas exactement à l’origine de la psychologique scientifique (19ème siècle). Avant, l’enfant était considéré comme un petit adulte. Les méthodes adaptées aux enfants ont donc été très tardives. Cette étude a une influence des philosophes. Selon Platon, « l’enfant est un adulte en miniature », il n’est donc différent de l’adulte qu’au point de vue quantitatif. Tout est fixé à la naissance, l’éducation et l’environnement n’ajoutent rien. C’est un auteur au point de vue innéiste. Il fallait que l’enfant

Nous ne pensons pas les choses selon leur propre nécessité, nous projetons sur elles ce qui nous arrange. Dans une perspective légèrement différente, Platon dirait, comme dans le Phédon, que « l’âme pense pour le compte du corps » : on croit penser selon le vrai, mais on pense selon ce qui est utile immédiatement à la vie humaine et sociale. Platon nous met en garde contre les tromperies du corps en matière de morale, pour la recherche des valeurs principalement, mais cet avertissement est valable

recherches actuelles, des idées nouvelles ont émergé, mettant en question le schéma traditionnel STR (StimulusTraitement-Réponse), et mettant plus en valeur le rôle de la perception, des structures conceptuelles et de la décision dans le fonctionnement du système cognitif. Non seulement ça, mais ces idées prônent l’intégration des traitements émotionnels et motivationnels à ces trois composantes. Le présent travail a l’ambition de montrer à la fois les rôles centraux que jouent la perception, les concepts