Systeme Redistributif Avantages Et Limites

va mettre en place via les prestations sociales autrement dit le déficit public est quasi obligatoire il finance les dépenses de santé et de retraite et c'est un acteur majeur de la redistribution. C'est ce rôle redistributif de l'Etat qui a amorti la crise internationale, qui a limité le coût pour la population de la crise économique. En France, il y a 10% de la population qui vit avec moins de 800€ par mois et 50% avec 1500€ par mois. A l'autre extrême, 10% vivent avec plus de 3000€ par mois

que l’Europe est prête à payer ce prix ? Si l’Europe ne se maintient pas dans la course économique mondiale, elle n’aura plus les moyens de financer la politique sociale qui la caractérise. Il faut donc améliorer la croissance sans détricoter le système de sécurité et d’intervention publique européens. La stratégie définie au sommet de Lisbonne est de faire de l’économie européenne, « l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici 2010, capable d’une croissance

ECONOMIE PUBLIQUE Master Droit Pro 2 - Droit social Année 2004-2005 I. Introduction générale 1. L’intervention de l’Etat dans l’économie L’intervention des pouvoirs publics dans le système économique est un fait majeur de toutes les sociétés contemporaines. Chaque année, l’Etat prélève près de 45 pour-cent des revenus générés dans la Nation, gère un patrimoine important (réel et financier), produit des biens et services, subventionne des activités, effectue des transferts… Mesurer l’ampleur

produit vendu sur le marché ». Robbins utilise le mot « rare » car les ressources naturelles que l’on utilise sont en quantité finie (rapport Meadows avec le club de Rome au début des années 70, Rio 1992). Pour lutter contre cette rareté, on peut limiter notre consommation de ces biens rares de manière autoritaire (en faisant appel à l’état, institutions, amendes, etc.), on peut aussi socialiser à utiliser moins tous ces biens rares, ou alors on peut jouer sur les besoins mêmes. L’anthropologue

| Politique économique conjoncturelle: 2 grands instruments de la politique économique: • Politique monétaire : La stabilisation ou l’expansion économique dépend de la Banque centrale. La Banque centrale est un système fédéral, qui décide du taux d’intérêt. La politique monétaire se fait au niveau européen, et c’est la banque centrale européenne (BCE) qui décide d’une augmentation ou diminution du taux d’intérêt. • Politique budgétaire :

ainsi de relayer la croissance sur fonds privés des ONG des années 80 par un développement sur fonds publics. L’action frondeuse, bruyante et « symbolique » des petites associations sans-frontiéristes du début des années 80 se mue donc en un système d’aide impliquant une multitude d’institutions importantes et de donateurs internationaux. 3. La situation particulière des associations privées de solidarité par rapport aux entreprises commerciales et aux organisations publiques. L’auteur

s’adapte difficilement aux besoins des salariés et des entreprises……………………… 20 A - Une offre très hétérogène…………………………………………. B - Des prestataires publics de formation contraints à des mutations rapides……………………………………………………. III - L’incapacité du système à sécuriser les parcours professionnels………………………………………………… A - L’insuffisante prise en compte de la situation des personnes les moins qualifiées………………………………………………… B - La difficile gestion de la formation au profit des demandeurs d’emploi………………………………………………

objet sans utilité ne donne lieu à aucune décision humaine et ne saurait intervenir dans un problèmes de choix, un objet en abondance ne serait pas « limité » par rapport à ses besoins. Pour ce type de biens appelés biens libres, le calcul économique et donc l’économiste sont inutiles. b) A l’opposé, les biens économiques sont ceux qui sont limités par rapport aux besoins : ils sont rares au sens économique du terme. Pour l’économiste, la rareté d’un bien ne désigne pas un degré d’abondance physique

permettant à la population d’habiter dans des logements plus grands au sein d’espaces plus agréables. Ces éléments sont particulièrement prégnants aux lendemains de la seconde guerre mondiale durant laquelle le logement fut l’un des piliers du système d’accumulation fordiste s’appuyant sur la promotion de biens de consommation durables (Swyngedow & Kesteloot, 1991, p. 251). Aussi, avant le début des années 70, la consommation d’espace1 , la surconsommation d’énergie ou les effets indirects de

l’organisation des collectivités territoriales. Le Conseil des prélèvements obligatoires s’est efforcé, en conséquence, de remettre en perspective les enjeux fiscaux des finances locales, de proposer une analyse d’ensemble des acquis et des limites du système actuel, et d’esquisser des scénarios cohérents de réforme dont les effets positifs attendus sont liés au degré d’ambition qui les sous-tend. Le présent rapport général vise à offrir une restitution synthétique et accessible de ces travaux. Le